Bonjour,

Noëlla Cloutier (n 1904 - d apr 1996, fille de Jean-Baptiste Cloutier et de Malvina Poirier), épouse Louis-Philippe Nicol (n 1906 - d 1953, fils de Sam Nicol et Anna Sirard) en 1926 en l'église Baptiste de Roxton Pond. Noëlla épouse Roland Drouin (n 1916, fils de James Drouin et Victorine Daoust) en 1940 à Montréal (St-Stanislas-de-Kostka).

Dans l'acte de mariage à St-Stanislas-de-Kostka, l'officiant écrit que Roland est majeur et célibataire, mais que Noëlla est majeure sans mention de statut marital. Étant donné que le premier époux de Noëlla est toujours vivant en 1940 et que son second mariage se fait devant l'Église, est-il possible de trouver un acte ou un décret quelconque qui annulerait le premier mariage?

Merci de vos lumières.

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"1926 en l'église Baptiste de Roxton Pond"
je ne vois pas cet acte : ça passe de 1923 à 1937 ...
je me serais attendue à "annulé" dans la marge (registre civil)


ont-il eu des enfants? - si c'est la cas - l'annulation est très improbable.
est-ce que l'époux était déjà marié ? (il faut une incapacité ou une tricherie)
que dit le r.1931 ?
j'ai cherché sans succès dans "journaux" BAnQ.

m. 1926
https://central.bac-lac....pp=census1931&op=img 
au r.1931 - ils n'ont pas d'enfants.


Suggestion : tenter de les voir dans le Lowell ... entre 1931 et 1940.

Merci pour vos réponses.
Sur la Formule E (Bulletin Statistique de Mariage) (fiche 26-109878) on lit que l'époux est âgé de 20 ans et l'épouse de 22 ans. Ce qui donne une année de naissance approximative de 1906 pour Louis-Philippe. Cependant l'année 1906 est manquante dans le registre de l'église Baptiste de Roxton Pond.
La recherche d'enfants s'est aussi révélée infructueuse.
Dans les décès du Québec, on trouve un Louis-Philippe Nicol né le 12 novembre 1906 et décédé le 21 novembre 1953. Il n'y a aucune indication sur le nom des parents ou d'une éventuelle conjointe.
J'ai pensé que, vu l'absence de progéniture et le mariage hors Église catholique, celle-ci aurait pu accorder une annulation du mariage de 1926 pour permettre celui de 1940. J'ai mis 1 + 1, mais dans ce cas-ci ça ne fait peut-être pas 2.
Et une recherche dans le Lovell n'a rien donné.

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S'il avait une incapacité à procréer - et qu'il le savait et l'a caché avant le mariage, ce peut être une cause d'annulation.
Ce n'est pas publié (comme un divorec).
Et, des listes, de Rome, pour ces années-là, ça n'existe pas.
Et, écrire à l’archevêché - j'attends depuis 10 ans une réponse pour une excommunication ...

* l'université st-paul a une liste de dispense de Rome, mais c'est au XIXe s.

2 idées :

1. écrire à la société de généalogie des Cantons-de-l'Est. (si l'acte existe).
2. Attendre l'an prochain - ça fera 100 ans . Et demander aux Archives Nationales, si l'acte de 1926 existe, s'il y a une note sur la version civile - d'"annulation".


3. si vous êtes zélé - demander au Régistraire/Directeur de l'état civil.