32 000 actes de baptême ont été ajoutés au LAFRANCE, un des 15 outils offerts aux abonnés de Généalogie Québec.
Ces actes proviennent de l’Acadie et du Québec.
Acte de baptême de Ellen Broomer à Québec, ajouté lors de la dernière mise à jour du LAFRANCE. Source: Acte 13528024, LAFRANCE, GenealogieQuebec.com
Le LAFRANCEcontient 11 millions d’actes de naissance, mariage et décès du Québec, de l’Ontario, de l’Acadie et des États-Unis, avec lesquels vous serez en mesure de remplir votre arbre généalogique jusqu’aux premiers immigrants de votre famille en sol québécois.
On trouve dans le LAFRANCE:
Tous les mariages catholiques du Québec de 1621 à 1918
Tous les mariages protestants du Québec de 1760 à 1849
Tous les mariages enregistrés par le gouvernement du Québec entre 1926 et 1997
Tous les baptêmes et sépultures catholiques de Québec de 1621 à 1861
Tous les décès enregistrés par le gouvernement du Québec entre 1926 et 1997
1,7 million de mariages de diverses sources au Québec, en Ontario et aux États-Unis de 1919 à aujourd’hui
Des dizaines de milliers d’actes supplémentaires du Québec, de l’Ontario et de l’Acadie
Retracez vos ancêtres et découvrez l’histoire de votre famille avec plus de 100 millions d’images et de documents historiques en vous abonnant à Généalogie Québec dès aujourd’hui!
La résolution de ces nouvelles images est de deux à trois fois plus élevée que celle de la copie initiale, ce qui assure une lisibilité inégalée.
Consultez tous les registres paroissiaux du Québec ainsi que des millions d’autres documents historiques en vous abonnant à Généalogie Québec dès aujourd’hui!
Les Registres du Fonds Drouin
Les Registres du Fonds Drouin, aussi appelés “collection Drouin”, sont une collection d’images de registres paroissiaux (baptêmes, mariages et sépultures) couvrant l’entièreté du Québec et de l’Acadie française ainsi qu’une partie de l’Ontario, du Nouveau-Brunswick et du Nord-Est des États-Unis, de l’ouverture des registres paroissiaux jusqu’aux années 1940 et parfois 1960.
Vous pouvez les consulter avec un abonnement à Généalogie Québec à cette adresse.
L’outil LAFRANCE, aussi disponible aux abonnés de Généalogie Québec, est un engin de recherche vous permettant d’explorer ces registres paroissiaux en cherchant par le nom du ou des individus mentionnés dans les actes.
Exemple d’une recherche dans l’outil LAFRANCE de GenealogieQuebec.com
Près de 75 000 documents historiques ont été ajoutés aux collections de Généalogie Québec. Il s’agit de journaux, d’annuaires, d’avis de décès et d’autres documents d’intérêt historique et généalogique.
Retracez vos ancêtres et découvrez l’histoire de votre famille avec des dizaines de millions d’archives historiques en vous abonnant à Généalogie Québec dès aujourd’hui!
Voici un aperçu plus détaillé des documents ajoutés lors de cette mise à jour.
Journaux Anciens (11 239 documents)
L’Artisan (Montréal), revue de la compagnie d’assurance Société des Artisans Canadiens-Français de 1905 à 1921
La Revue Moderne (Montréal) de 1920 à 1926
La Revue Présentine (Saint-Hyacinthe), organe du Pensionnat de la Maison-Mère de l’Association des Anciennes, de 1932 à 1953
Le Front Ouvrier (Ottawa) de 1948
Le Passe-Temps, revue musicale, de novembre 1946
Rigolades et Nouvelles (Châteauguay), journal régional, de 1956 à 1959
L’Opinion Publique (Montréal) de 1870 à 1874 et 1878
Ces journaux peuvent être consultés dans les Collections diverses Drouin sous le dossier 23 – Journaux anciens.
Annuaire et bottins (294 documents)
L’Annuaire minier du Québec de 1940-1941
Cet annuaire peut être consulté dans l’outil Annuaires sous le dossier Annuaire minier 1940-1941.
Documents historiques divers (2361 documents)
Documents divers et coupures de journaux des années 1940 à 1990
Livre sur les descendants de Napoléon Gareau
Vous pouvez consulter ces documents dans les Collections diverses Drouin sous le dossier 18 – Autres documents.
Fonds d’archives (61 000 documents)
Fonds Société de généalogie de Saint-Hubert, contenant des avis de décès et des photos d’individus
Fonds Ronald-Léger, contenant des images des journaux L’Avenir, le Guide et L’Express de 2008 à 2011
Fonds André-Hurtubise, ajout de négatifs numérisés
Fonds Lavallée du Centre d’histoire de Saint-Hyacinthe, 17 219 pages des recherches généalogiques de M. Lavallée
Fonds René-Jetté, complément des Fiches René Jetté, ajout de près de 13 000 fiches manuscrites en ordre alphabétique. Ajout de près de 7000 fiches complémentaires à ses recherches
Ces fonds d’archives peuvent être consultés dans les Collections diverses Drouin sous le dossier 14 – Fonds d’archives.
Plus de 110 000 fiches de naissance, mariage et décès ont été ajoutées aux Fiches BMS, un des 15 outils disponibles aux abonnés de Généalogie Québec.
Il s’agit de naissances, mariages et décès non-catholiques provenant du district judiciaire St-François, qui englobe la majeure partie des Cantons-de-l’Est.
Elles peuvent être consultées sous les dossiers BMS non-catholique, district St-François et Sépultures non-catholiques, district de Huntingdon, que vous trouverez sous le dossier Fiches BMS (villes) à cette adresse.
Vous pouvez consulter les Fiches BMS et retracer vos ancêtres à l’aide de dizaines de millions de documents historiques en vous abonnant à Généalogie Québec dès aujourd’hui!
Qu’est-ce que l’outil Fiches BMS?
L’outil Fiches BMS contient des fiches de naissance, mariage et décès provenant du Québec, de l’Ontario et des États-Unis et couvrant du 17e siècle à aujourd’hui.
Les documents de cette collection sont organisés en arborescence. Dans la majorité des cas, les fiches sont classées par ordre alphabétique selon le nom de famille du sujet de la fiche ou le nom du lieu le cas échéant.
À ce jour, la collection contient plus de 2,7 millions de fiches. Vous trouverez plus d’information ainsi que des conseils de recherche sur le blog de l’Institut Drouin.
Lorsqu’on s’intéresse à son ascendance et qu’on reconstruit une lignée à travers des recherches généalogiques, on voit aussi se dresser sous nos yeux l’histoire de la transmission d’un, ou de plusieurs, nom(s) de famille. Cela peut nous paraître insignifiant, parce que cette histoire a longtemps été évidente : la question de la transmission du nom de famille ne se posait pas vraiment, puisqu’on donnait systématiquement le nom de famille du père aux enfants (d’où l’appellation « patronyme » d’ailleurs). Pas de réflexion à y avoir.
Mais en 1981, la réforme du code civil, et plus précisément du droit de la famille, a permis aux femmes québécoises de donner leur nom de famille à leurs enfants. Soudainement, le choix du nom de famille à transmettre est devenu un enjeu : on pouvait donner un nom de famille, celui du père ou de la mère, ou encore choisir de transmettre les deux. Dans ce contexte, il devient particulièrement intéressant d’observer les façons dont les noms de famille sont passés d’une génération à l’autre. 40 ans plus tard, quels ont été les impacts de la réforme de 1981 ? Quelles relations les Québécoises entretiennent-elles avec leur nom de famille, et pourquoi choisissent-elles (ou pas) de le transmettre ?
Le premier acte de baptême disponible sur le LaFrance après la réforme du droit de la famille où on retrouve un nom de famille double. Source : LaFrance, Généalogie Québec.
Ces questions, Marie-Hélène Frenette-Assad a décidé de les explorer en réalisant le balado Le nom de ma mère (Frenette-Assad, 2020) disponible gratuitement sur la plateforme Ohdio, de Radio-Canada1.
Marie-Hélène Frenette-Assad est réalisatrice de balados, musicienne, consultante et formatrice en audio numérique. Elle a aussi, comme vous l’avez peut-être remarqué, deux noms de famille, celui de son père et celui de sa mère. Toutefois, elle constate que ses amies, les femmes de sa génération, ne transmettent pas souvent leur nom à leurs enfants, et que ce n’est pas non plus un sujet de discussion qu’elles abordent souvent. Et ce n’est pas seulement un constat anecdotique – les statistiques indiquent aussi une diminution de la transmission du nom de famille double au Québec (Frenette-Assad, 2020 : épisode 5).
Dans Le nom de ma mère, Marie-Hélène discute avec sa propre mère des raisons qui l’ont poussée à lui donner un nom de famille de double et elle explore, tout au long du balado, son rapport à son nom de famille. Mais elle fait aussi intervenir des femmes ayant participé à la réforme de 1981, des expertes qui étudient la question, et toute une variété de femmes de sa génération qui ont un rapport différent à leurs noms de famille et qui décident de le donner à leurs enfants, ou pas, pour différentes raisons. Souvent, ce sont des femmes qui elles-même ont un nom de famille double, et qui devraient potentiellement le scinder pour n’en donner qu’un à leurs enfants.
Image de couverture du balado « Le nom de ma mère », réalisé par Marie-Hélène Frenette-Assad. Source : Radio-Canada (Frenette-Assad, 2020).
Parce que oui, une génération après la réforme de 1981, il est devenu possible de se retrouver face à un couple de parents qui ont tous les deux un nom de famille double. Ça deviendrait évidemment rapidement ingérable que les deux parents transmettent leurs deux noms de famille et qu’on se retrouve avec des noms de famille quadruples, puis octuples, etc. ! Si on a un nom de famille double et que nous et notre partenaire voulons tous deux transmettre notre nom de famille à nos enfants, nous allons donc devoir faire un choix. Dans le balado, on apprend que les instigatrices de la réforme avaient d’abord pensé que les mères pourraient transmettre le nom de famille de leur mère, et les pères, le nom de famille de leur père. L’idée se rapproche de la proposition de Pierre-Yves Dionne (2004), dont j’ai parlé dans de précédents articles2 – celui-ci suggérait en effet de transmettre aux futures générations de femmes le nom d’une ancêtre commune (la pionnière utérine), afin que le nom de famille des femmes cessent de toujours leur venir d’un homme.
Toutefois, en pratique, ce n’est pas toujours ce qui arrive. On se rend compte que plusieurs facteurs autres que le genre entrent en compte lorsque vient le temps de prendre une décision par rapport à la passation de son nom. Certaines femmes par exemple choisissent de transmettre le nom lié à la famille élargie de laquelle elles se sentent le plus proche, peu importe le genre du parent. Certaines réfléchissent aussi à la présence ou l’absence de d’autres personnes portant le même nom dans la famille et qui l’ont transmis ou pourraient le transmettre à leurs enfants. Elles mentionnent ainsi par exemple vouloir transmettre un de leur nom qui autrement s’éteindrait.
D’autres femmes ne se voient pas choisir entre leurs deux noms – soit parce que pour elles, leur nom est un tout indivisible, ou alors parce qu’elles ne veulent pas faire de peine au parent dont le nom serait « rejeté ». Puisque ce n’est pas une option envisageable pour elles, elles préfèrent alors ne pas donner leur nom du tout !
D’autres encore réfléchissent à l’effet qu’aura le nom sur la vie de leurs enfants : le double nom est parfois vécu comme un obstacle, que ce soit dans certains milieux professionnels où le branding de soi est important, ou encore dans le quotidien parce qu’on devient agacé·e que les gens oublient notre nom complet ou parce qu’un des noms est difficile à prononcer par exemple. Mais le double nom est aussi parfois perçu comme une force, quelque chose qui permet de se démarquer et dont l’unicité fait la beauté, voire qui peut devenir poétique (comme pour la chroniqueuse Rose-Aimée Automne T. Morin).
Acte de baptême dans lequel la mère a choisi un de ses deux noms de famille pour le transmettre à son enfant. Source : LaFrance, Généalogie Québec.
Toutefois, malgré tous ces raisonnements qui s’éloignent des préoccupations de genre, l’enjeu reste clairement politique et féministe. Certaines femmes affirment qu’elles « se sont donné la chance d’exister dans le nom de leurs enfants » (Frenette-Assad, 2020 : épisode 2 et 3). Elles le voient comme une façon de reconnaître le rôle des femmes dans la filiation et la passation de l’héritage. D’autres mentionnent l’importance d’honorer les luttes féministes passées en exerçant leur droit de transmettre leur nom à leurs enfants. De mon côté, en écoutant le balado et en entendant à répétition des femmes se demander si leur nom est « trop long », je n’ai pas pu m’empêcher de penser aux multiples façons dont on demande constamment aux femmes de se faire plus petites. De nombreuses chercheuses et théoriciennes féministes ont notamment documenté la façon dont diverses normes sociales (et l’attitude de certains hommes) poussent les femmes à porter des vêtements contraignants (des corsets aux talons hauts), à ne pas parler trop fort ou trop longtemps, à ne pas prendre trop de place avec leurs corps, etc (Young, 2005 ; Yaguello, 2002). Le manspreading a notamment fait bien du bruit dans les dernières années (Morin, 2017). Pourrait-on ajouter le fait d’avoir un nom de famille « pas trop long » à la liste ?
Il est très intéressant de constater que l’enjeu a aussi une composante intersectionnelle : il se pose en effet différemment par exemple pour les personnes adoptées, qui ont souvent un rapport différent avec leur nom de famille parce qu’il ne reflète pas leur héritage génétique ; ou pour les personnes issues de l’immigration, dont le nom de famille est parfois porteur de préjugés, mais représente aussi un lien important avec le pays d’origine. D’un point de vue plus personnel, j’ai grandi avec une maman monoparentale qui m’a transmis son nom de famille – et seulement son nom de famille. Je le porte fièrement : il représente un peu pour moi la force des femmes qui se retrouvent, par dépit ou par choix, à être la seule figure parentale.
La réalité des couples homosexuels, et en particulier des couples lesbiens, est également particulière et occupe un épisode complet du balado (Frenette-Assad, 2020 : épisode 4). En effet, dans leur cas, la passation du nom de famille ne peut pas « aller de soi » : lorsque les deux parents sont des femmes, on ne peut pas faire l’économie d’une véritable réflexion en invoquant la tradition puisqu’il n’y a de parent masculin qui pourrait transmettre son nom « par défaut ». Bien sûr, la plupart des enjeux dont nous avons déjà discuté s’appliquent dans le cas des couples lesbiens également, mais comme très souvent, l’enfant ne porte le bagage génétique que de l’une de ses deux mères, une préoccupation s’ajoute : celle d’une transmission symbolique d’un héritage qui n’est pas biologique, à travers la transmission du nom.
Si la question des noms de famille double vous intéresse, je vous recommande en tout cas chaudement l’écoute du balado Le nom de ma mère, disponible gratuitement sur la plateforme Ohdio de Radio-Canada.
Audrey Pepin
1 Un merci tout spécial à la documentariste Fanny Germain qui lors d’une discussion sur la matrilinéarité m’a fait découvrir ce balado fort intéressant !
Dionne, Pierre-Yves (2004). De mère en fille : comment faire ressortir la lignée maternelle de votre arbre généalogique. Sainte-Foy : Éditions MultiMondes ; Montréal : Éditions du Remue-Ménage, 79 p.
Yaguello, Marina. (2002 [1978]). Les mots et les femmes. Paris : Éditions Payot. 257 p. Young, Iris Marion (2005). On Female Body Experience : « Throwing Like a Girl » and Other Essays. Oxford University Press : 192 p
18 500 actes de baptême, mariage et sépulture ont été ajoutés au LAFRANCE, un des 15 outils offerts aux abonnés de Généalogie Québec.
Ces actes proviennent de l’Acadie ainsi que de paroisses protestantes du Québec.
Acte de sépulture de John Alexander Graham à Montréal, ajouté lors de la dernière mise à jour du LAFRANCE. Source: Acte 13332939, LAFRANCE, GenealogieQuebec.com
Le LAFRANCEcontient près de 11 millions d’actes de naissance, mariage et décès du Québec, de l’Ontario, de l’Acadie et des États-Unis, avec lesquels vous serez en mesure de remplir votre arbre généalogique jusqu’aux premiers immigrants de votre famille en sol québécois.
On trouve dans le LAFRANCE:
Tous les mariages catholiques du Québec de 1621 à 1918
Tous les mariages protestants du Québec de 1760 à 1849
Tous les mariages enregistrés par le gouvernement du Québec entre 1926 et 1997
Tous les baptêmes et sépultures catholiques de Québec de 1621 à 1861
Tous les décès enregistrés par le gouvernement du Québec entre 1926 et 1997
1,7 million de mariages de diverses sources au Québec, en Ontario et aux États-Unis de 1919 à aujourd’hui
Des dizaines de milliers d’actes supplémentaires du Québec, de l’Ontario et de l’Acadie
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Il faut le reconnaître: les tests ADN ont redéfini la généalogie!
Ces outils démontrent depuis plus de deux décennies leur importance pour l’histoire des familles et des parentés. Que ce soit par la société FamilyTreeDNA (2000), pionnière dans le domaine, ou par celles qui ont suivi comme 23andMe (2006), AncestryDNA (2012) et MyHeritage (2016), on parle à ce jour de plus de 40 millions d’analyses génétiques vendues. Mais ces tests sont-ils tous équivalents et interchangeables?
Dans cet article, nous répondrons à cette question et nous explorerons plus en détail les différents types de tests ADN disponibles sur le marché.
Les tests ADN disponibles sur le marché
Il existe deux types de tests ADN commerciaux sur le marché : ceux pour l’ADN proche (autosomal), et ceux pour l’ADN profond (ADN-Y et ADNmt).
ADN proche (autosomal)
L’ADN proche (autosomal) rejoint jusqu’à 7 générations, soit 128 ancêtres potentiels. Cependant, une partie de cet ADN ancestral se perd à chaque génération. À partir de la 8e, les dernières traces de certains ancêtres disparaissent complètement, et il n’est alors plus possible d’établir de concordance avec eux. Les tests de cette catégorie (autosomal) occupent de loin la plus grosse part du marché de la généalogie génétique. Entrent dans cette catégorie le test « FamilyFinder » de FamilyTreeDNA, ainsi que tous les tests ADN de 23andMe, Ancestry, et MyHeritage. Ce sont des tests de cousinage qui portent sur la parenté proche, dont ils reconnaissent les degrés de relation avec grande précision.
ADN profond (ADN-Y et ADNmt)
L’ADN profond est celui qui nous parvient seulement par les lignées du père et de la mère; l’ADN du chromosome Y transmis de père en fils, et l’ADN mitochondrial transmis par la mère. C’est avec cet ADN qu’on est en mesure d’identifier les pionnières et pionniers de la Nouvelle-France. Par exemple, tous les descendants masculins du patriarche Jean Côté doivent en principe porter le même ADN; celui du chromosome Y transmis de père en fils. Cet ADN profond identifie les lignées et non les individus, contrairement aux tests sur l’autosome.
Un homme qui porte le nom de Côté peut donc vérifier, avec l’aide du test Y-37 de FamilyTreeDNA, qu’il possède bel et bien la signature ADN ancestrale du patriarche de la famille Côté, Jean Côté. Parmi les grandes entreprises offrant des tests ADN, seule FamilyTreeDNA offre des analyses spécifiques du chromosome Y.
Les pionnières ne sont pas en reste car les matrilignages portent également des signatures ADN profondes de plusieurs siècles. Le test mtFullSequence (aussi appelé FMS) de FamilyTreeDNA analyse la signature ADN transmise de la mère aux enfants par les mitochondries. Par exemple, si votre matriarche en matrilignage est Marie Rollet, la courageuse épouse de Louis Hébert, vous devriez porter sa signature génétique et le test mtFullSequence pourra vous le confirmer. Les résultats de vos tests rejoignent ainsi les origines de la Nouvelle-France.
Tests ADN profond, ADN proche, ou les deux?
Les tests sur l’autosome tels que ceux offerts par 23andMe, MyHeritage et Ancestry ont plusieurs utilités, que ce soit de vérifier la parenté proche, dévoiler des filiations insoupçonnées, ou permettre aux adoptés de retrouver leur parenté. Cependant, ces objectifs ne sont pas les mêmes que ceux des amateurs de généalogie intéressés par les temps plus anciens.
L’ADN profond rejoint les patriarches et matriarches des premières générations qui ont fondé le pays et dont proviennent nos noms de famille. Les signatures ADN des ancêtres de Nouvelle-France vivent par les lignées qui nous lient à eux : les tests sur l’ADN profond visent à découvrir cet héritage qu’ils nous ont transmis.
Un aperçu des signatures ADN-Y des pionniers établies par le Projet ADN Généalogie Québec. Celles-ci sont comparées avec vos résultats de tests ADN-Y afin de confirmer que vous descendez bien du pionnier en question.
Parmi les grandes compagnies, seuls les tests offerts par FamilyTreeDNA mènent à la découverte des signatures ADN historiques précieuses à l’étude du Canada ancien. Si votre intérêt porte sur les origines de la Nouvelle-France, et sur la confirmation de vos recherches généalogiques sur plusieurs générations, les tests sur l’ADN profond sont ceux qui doivent retenir votre attention.
Le bon test ADN pour VOUS!
Les tests sur l’autosome sont très précis pour déterminer les rapports de parenté couvrant quelques générations. En revanche, ils ne le sont pas pour les pourcentages ethniques, qui ne relèvent pas de la généalogie. Autant les calculs de parenté des tests de l’autosome sont justes, autant leur estimation ethnique est aléatoire. Il faut contraster ces deux aspects des résultats.
Ces tests sont donc très différents de ceux qui portent sur l’ADN profond des patrilignages et des matrilignages, dont le but est plutôt l’identification de lointains ancêtres.
Les tests sur le patrilignage ou le matrilignage, l’ADN profond, permettent à l’individu de découvrir ou vérifier qu’il est issu d’une souche biologique et pas d’une autre. En généalogie, ces tests sont souvent utilisés pour établir, hors de tout doute, la validité des recherches généalogiques documentaires, et confirmer ainsi que l’individu testé descend bien des souches identifiées par les archives.
De plus, l’identité génétique du testé ne peut être déduite des résultats, seulement l’origine de sa lignée. La protection de la vie privée est donc possible et l’emploi d’un pseudonyme est même fréquent. Ceux qui souhaitent conserver l’anonymat peuvent se limiter aux tests sur l’ADN profond.
Se procurer son test ADN
ADN profond (ADNy et ADNmt) Si vous souhaitez en apprendre plus sur vos origines et confirmer votre lien de filiation avec un pionnier ou une pionnière.
Avec l’aide de notre équipe, vous pourrez vérifier que votre signature ADN concorde bien avec celle des ancêtres aux origines de votre lignée. Cette correspondance apporte la preuve scientifique de vos recherches documentaires et vous assure par la génétique que vous descendez bien de l’ancêtre en question. Pour en savoir plus, visitez notre section ADN!
ADN proche (ADN autosomal) Si vous souhaitez plutôt découvrir une parenté peu éloignée, et peut-être retrouver des cousins germains, le test FamilyFinder de FamilyTreeDNA et les tests d’Ancestry, Myheritage et 23andMe vous mettront en relation avec des centaines de personnes qui partagent avec vous des segments d’ADN hérités d’ancêtres communs.
Pour toute question à propos de l’ADN et de son utilisation en généalogie, n’hésitez pas à contacter l’équipe du projet ADN Généalogie Québec à l’adresse adn@institutdrouin.com.
De plus, si vous possédez déjà des résultats ADN de Ancestry, 23andMe ou MyHeritage, vous pouvez les transférer sans frais chez FamilyTreeDNA et les combiner avec des tests sur l’ADN profond qui seront consolidés dans un seul compte. Vous pourrez alors joindre gratuitement tous vos résultats au projet ADN Généalogie Québec, dans lequel notre équipe sera heureuse de répondre à vos questions.
Plus de 54 000 avis de décès ont été ajoutés à la Section Nécrologe, un des 15 outils disponibles aux abonnés de Généalogie Québec.
Ces avis de décès proviennent de divers journaux du Québec et datent du 20e et 21e siècle.
Vous pouvez les consulter avec un abonnement à Généalogie Québec à cette adresse.
Abonnez-vous à Généalogie Québec et retracez vos ancêtres dès aujourd’hui à l’aide de dizaines de millions de documents historiques!
La section Nécrologe
Cette section regroupe la majorité des collections d’avis de décès, de cartes mortuaires et de pierres tombales disponibles sur Généalogie Québec. Elle est divisée en 4 sous-sections:
Avis de décès internet, qui contient 2 850 000 avis de décès publiés sur Internet entre 1999 et aujourd’hui.
Avis de décès journaux, qui contient maintenant plus de 1 400 000 avis de décès publiés dans des journaux entre 1860 et aujourd’hui.
Pierres tombales, qui contient 740 000 photos de pierres tombales provenant de centaines de cimetières du Québec et de l’Ontario.
Cartes mortuaires, qui contient près de 100 000 cartes mortuaires publiées entre 1860 et aujourd’hui.
Ces collections sont indexées et peuvent être explorées à l’aide d’un engin de recherche. Vous trouverez plus d’information à propos de celles-ci sur le blog de l’Institut Drouin.
Une mise à jour a été apportée à l’outil Acadie – Familles reconstituées, une des 15 collections disponibles aux abonnés de Généalogie Québec.
Ce sont 12 414 fiches de famille et 27 689 actes de baptême, mariage et sépulture qui ont été ajoutés à l’outil dans le cadre de cette mise à jour. L’outil Acadie – Familles reconstituées peut être consulté avec un abonnement à Généalogie Québec à cette adresse.
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Qu’est-ce que l’outil Acadie – Familles reconstituées?
L’outil Acadie – Familles reconstituées contient des fiches de familles basées sur les actes paroissiaux de l’Acadie.
Au total, on y dénombre 171 246 fiches de familles. Actuellement, l’outil couvre du début de la colonie acadienne jusqu’à la fin de 1849. De plus 38 lieux couvrant de 1850 à la fin des registres paroissiaux disponibles sont inclus. Une liste des lieux répertoriés ainsi que davantage d’information à propos de l’outil sont disponibles sur le blog de l’Institut Drouin.
Les fiches contiennent généralement le nom et le prénom des parents, le prénom de l’enfant, les dates de naissance et/ou baptême, de décès et/ou d’inhumation, de mariage (un total de 328 623 actes) et la paroisse. Un lien vers l’image du document original est souvent disponible dans la fiche pour les baptêmes, les mariages et les sépultures.
Plus de 135 000 avis de décès ont été ajoutés à la Section Nécrologe, un des 15 outils disponibles aux abonnés de Généalogie Québec.
Ces avis de décès proviennent de divers journaux et sites du Québec et du Canada et datent du 20e et 21e siècle.
Vous pouvez les consulter avec un abonnement à Généalogie Québec à cette adresse.
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La section Nécrologe
Cette section regroupe la majorité des collections d’avis de décès, de cartes mortuaires et de pierres tombales disponibles sur Généalogie Québec. Elle est divisée en 4 sous-sections:
Avis de décès internet, qui contient 2 850 000 avis de décès publiés sur Internet entre 1999 et aujourd’hui.
Avis de décès journaux, qui contient maintenant près de 1 400 000 avis de décès publiés dans des journaux entre 1860 et aujourd’hui.
Pierres tombales, qui contient 740 000 photos de pierres tombales provenant de centaines de cimetières du Québec et de l’Ontario.
Cartes mortuaires, qui contient près de 100 000 cartes mortuaires publiées entre 1860 et aujourd’hui.
Ces collections sont indexées et peuvent être explorées à l’aide d’un engin de recherche. Vous trouverez plus d’information à propos de celles-ci sur le blog de l’Institut Drouin.