Vous avez été 4368 à participer, et il est maintenant temps d’annoncer les 10 gagnants du Jeu-Concours lancé le 29 avril 2020!
Félicitations à :
Jocelyne R.
Lyne G.
Luc C.
Jules Pierre L.
Gilles B.
Dan N.
Claudine P.
Jean-Guy B.
Liette N.
André D.
Les gagnants ont pu choisir entre un abonnement annuel à Généalogie Québec, 1000 requêtes sur PRDH-IGD et 200$ de crédit sur notre boutique en ligne.
Un grand merci à tous pour votre participation. À la vue de l’engouement généré par ce concours, il ne fait aucun doute que nous allons répéter l’expérience. Gardez l’oeil ouvert!
60% de réduction sur la boutique de l’Institut Drouin jusqu’à la fin mai
Si vous n’êtes pas l’un de nos 10 gagnants, ne vous en faites pas! Avec le code DROUIN2020, profitez de 60% de rabais sur toute commande effectuée sur notre boutique en ligne dès aujourd’hui. Cette offre est valide jusqu’au 1er juin 2020.
Le code DROUIN2020 doit être entré durant le processus de paiement.
La boutique de l’Institut Drouin comprend tous les livres et CD-ROM produits par l’Institut généalogique Drouin, soit plus de 4000 items. On y trouve aussi des répertoires et livres historiques provenant de diverses sociétés d’histoire et de généalogie du Québec, de l’Ontario et des États-Unis.
Encore une fois merci de votre participation et de votre confiance!
L’Institut Drouin vous offre la chance de remporter, au choix, un abonnement annuel à Généalogie Québec, 1000 requêtes sur PRDH-IGD.com, ou 200$ à dépenser sur notre boutique en ligne. Participer est simple, rapide et gratuit!
Comment participer
Pour participer, il vous suffit de posséder un compte sur Généalogie Québec et de vous y connecter au moins une fois entre le 29 avril 2020 et le 13 mai 2020 à 15:00 heure de l’Est. Vous n’avez PAS besoin d’avoir un abonnement actif sur le compte pour être éligible au tirage.
Si vous ne possédez pas de compte sur Généalogie Québec, vous n’avez qu’à en créer un (pas de carte de crédit nécessaire). Vous en aurez pour une minute!
Si vous possédez déjà un compte sur Généalogie Québec, il vous suffit de vous y connecter au moins une fois entre le 29 avril 2020 et le 13 mai 2020, 15:00 heure de l’Est, afin d’assurer votre participation au concours.C’est tout!
10 gagnants seront choisis au hasard le 13 mai 2020 à 15:00 heure de l’Est parmi les participants.
Assurez-vous que le courriel utilisé sur votre compte Généalogie Québec est valide! C’est via cette adresse courriel que vous serez contacté si vous remportez un prix. Vous aurez alors jusqu’au 15 mai 2020 à 16:00 heure de l’Est pour choisir et réclamer votre prix. Si nécessaire, un second tirage aura lieu le 15 mai 2020 à 16:00 heure de l’Est afin d’attribuer le ou les prix non réclamés à de nouveaux gagnants.
Les prix
Abonnement annuel à Généalogie Québec (Valeur de 100 $CAD)
Un abonnement annuel à Généalogie Québec vous donne accès au site et à toutes ses collections pour une durée de 365 jours. Généalogie Québec est un site de recherche par abonnement qui regroupe l’ensemble des collections et données généalogiques acquises par l’Institut Drouin au cours de son existence.
Au total, 46 millions d’images et de fiches sont regroupées en 15 outils et collections divers couvrant l’ensemble du Québec ainsi qu’une partie de l’Ontario, des États-Unis et de l’Acadie de 1621 à aujourd’hui. Généalogie Québec est de loin la plus grande collection de documents généalogiques et historiques québécois sur le Web. Vous trouverez plus d’information à propos du site dans cet article de blog.
1000 requêtes sur PRDH-IGD.com (Valeur de 79,99 $CAD)
Le PRDH-IGD est un répertoire de tous les actes de baptême, mariage et sépulture catholiques enregistrés au Québec entre 1621 et 1849, soit plus de 2,5 millions d’actes répertoriés, ainsi qu’un dictionnaire généalogique des familles qu’on surnomme les reconstructions familiales.
Ce qui fait du PRDH-IGD une ressource unique est la structure de sa base de données. En plus des actes de baptême, mariage et sépulture, le PRDH-IGD contient ce qu’on appelle des fiches d’individu et des fiches de famille.
Tout individu mentionné dans un acte de la base de données se voit attribuer sa fiche individuelle. De même, tout couple marié mentionné dans un acte se voit attribuer une fiche de famille. Ces fiches regroupent tous les actes et l’information disponible sur les individus et familles en question.
Les abonnements au PRDH fonctionnent par requête. Ces requêtes vous permettent de consulter l’entièreté des éléments du site (fiches d’acte, d’individu, de famille ou d’union) jusqu’à leur écoulement. Ces requêtes sont valides pour 23 mois.
Une requête se comptabilise à chaque fois qu’une fiche d’acte, d’individu, de famille ou d’union est affichée. Cependant, la recherche initiale qui permet d’atteindre une liste de résultats est gratuite. Vous trouverez plus de détails sur la structure de la base de données à cette adresse.
200$ à dépenser sur notre boutique en ligne (Valeur de 200 $CAD)
La boutique de l’Institut Drouin comprend tous les livres et CD-ROM produits par l’Institut généalogique Drouin, soit plus de 4000 items. On y trouve aussi des répertoires et livres historiques provenant de diverses sociétés d’histoire et de généalogie du Québec, de l’Ontario et des États-Unis. Vous aurez 200$ de crédit à l’achat de tout produit sur la boutique si vous choisissez ce prix.
Règles
Pour être éligible au tirage, vous devez posséder un compte Généalogie Québec qui a été créé ou sur lequel vous vous êtes connecté au moins une fois entre le 29 avril 2020 et le 13 mai 2020 à 15 h 00 heure de l’Est.
Ce concours prend fin le 13 mai 2020 à 15 h 00 heure de l’Est, auquel moment les gagnants seront choisis aléatoirement. Le tirage aura lieu à cette heure.
Les 10 gagnants seront contactés par courriel une heure après le tirage (13 mai 2020 à 16 h 00 heure de l’Est), et auront jusqu’au 15 mai 2020 à 16 h 00 heure de l’Est pour réclamer leur prix. Les prix non réclamés à ce moment feront objet d’un nouveau tirage le 15 mai 2020 à 16 h 00 heure de l’Est, et ne pourront plus être réclamés par les gagnants initiaux.
48 h après le tirage initial, si nécessaire, un nouveau tirage sera effectué pour attribuer les prix non réclamés à de nouveaux gagnants. Ceux-ci auront aussi 48 h pour réclamer leur prix. Ce processus sera répété tant que les 10 gagnants n’auront pas été sélectionnés.
Les 10 gagnants seront annoncés publiquement sur notre Page Facebook et via notre infolettre une fois les 10 prix distribués.
Sont exclus de ce concours : Tout employé ou représentant de l’Institut généalogique Drouin et les personnes avec qui il sont domicilié. Tout compte institutionnel (bibliothèque, société, musée, établissement scolaire, etc.).
Un différend quant à l’organisation ou à la conduite d’un concours publicitaire peut être soumis à la Régie des alcools, des courses et des jeux afin qu’il soit tranché. Un différend quant à l’attribution d’un prix peut être soumis à la Régie uniquement aux fins d’une intervention pour tenter de le régler.
Il est interdit de créer plusieurs comptes Généalogie Québec afin d’augmenter ses chances de remporter le tirage. Les individus créant plus d’un compte à cette fin seront disqualifiés.
Afin de sélectionner les 10 gagnants, une liste sera produite à partir des personnes éligibles au tirage. Chaque individu dans cette liste se verra attribuer un nombre spécifique (1, 2, 3, et ainsi de suite). Un générateur de nombres aléatoires sera utilisé pour produire une liste de 10 nombres, et les individus associés à ces nombres seront les gagnants du concours.
Un abonnement présentement ou anciennement actif sur Généalogie Québec n’est PAS nécessaire afin d’être éligible à ce concours.
Bien que les restrictions engendrées par la pandémie de COVID-19 posent de nouveaux défis, les activités de l’Institut généalogique Drouin se maintiennent en télétravail.
Nous venons par ailleurs d’atteindre le cap des 46 millions d’images et de fiches sur Généalogie Québec! Il s’agit d’une autre étape importante dans notre effort de préservation du patrimoine québécois, qui ne serait pas possible sans nos abonnés. Un grand merci à vous!
De plus, l’indexation des registres paroissiaux de l’Ontario et de l’Acadie se poursuit sur Généalogie Québec, avec l’ajout de quelque 5920 actes de baptême, mariage et sépulture au LAFRANCE en avril.
Acte de mariage tel que présenté dans le LAFRANCE de Généalogie Québec
Voici la liste des paroisses concernées par cette mise à jour et le nombre d’actes ajoutés pour chacune :
Nom de la paroisse
Type d’acte
Plage de dates
Nombre d’actes
Amherstburg (St-Jean)
b
1802
1861
3990
Amherstburg (St-Jean)
m
1825
1861
516
Amherstburg (St-Jean)
s
1803
1861
1374
Ile-Royale
b
1751
1757
3
Ile-Royale
m
1742
1742
1
Ile-Royale
s
1732
1744
8
Orléans
b
1861
1861
1
Ottawa (Notre-Dame)
b
1852
1852
1
Ottawa (St-Joseph)
b
1858
1861
3
Paincourt
b
1857
1859
8
Port-Royal
m
1707
1747
2
Williamstown
b
1855
1861
13
b = baptêmes m = mariages s = sépultures
Tous ces actes peuvent être consultés dès maintenant dans le LAFRANCE, qui contient aussi TOUS les mariages catholiques du Québec de 1621 à 1918, TOUS les baptêmes et TOUTES les sépultures catholiques du Québec de 1621 à 1861 ainsi que TOUS les mariages protestants du Québec de 1760 à 1849. Vous trouverez davantage d’information à propos du LAFRANCE sur le blog de l’Institut Drouin.
Pour conclure, nous aimerions souhaiter à vous et votre famille santé, sécurité et courage dans le contexte de la crise sanitaire que nous vivons. Nous espérons que la généalogie vous apportera un peu de joie dans cette période difficile.
Les maladies contagieuses ont frappé à plusieurs reprises le Québec depuis le 17e siècle. Les épidémies apportent certes leur lot de décès, mais elles font évoluer à chaque fois les mesures sanitaires et les croyances. Cet article raconte, par l’entremise des journaux d’époque et des actes paroissiaux, l’histoire de l’épidémie de choléra qui frappe le Québec en 1832, puis dans une moindre mesure en 1834. Les documents utilisés dans cet article proviennent de PRDH-IGD.com ainsi que des Collections diverses de l’Institut Drouin et du LAFRANCE, disponibles sur GenealogieQuebec.com.
Le choléra à Quebec – Joseph Légaré
Nommée indifféremment choléra asiatique, morbus ou spasmodique, la maladie, originalement limitée à l’Asie, se répand au cours du 19e siècle dans le monde occidental par l’entremise d’une série de pandémies. Partie de l’Inde vers 1826, la deuxième pandémie de choléra gagne les Îles Britanniques en février 1832. Les immigrants irlandais sont responsables de l’introduction de cette maladie infectieuse au Bas-Canada. Elle y fait des ravages et constitue la première épidémie de grande envergure au Québec.
C’est en février 1832, en prévision de l’arrivée du choléra, qu’est créé le poste de quarantaine de Grosse-Île, qui accueille les immigrants avant de leur permettre l’accès au port de Québec. L’île, située une cinquantaine de kilomètres avant Québec, est aujourd’hui un lieu historique national.
Québec est le premier foyer de l’épidémie en Amérique. Le 4 juin, le Quebec Gazette annonce l’arrivée imminente du Carricks à la station de Grosse-Île :
« Capt. Park de l’Astrea, arrivé hier, a communiqué avec le Carricks, [capitaine] Hudson, de Dublin, à Grosse Isle samedi [2 juin 1832]. Le Carricks a perdu 42 passagers, son charpentier et un garçon [d’équipage] d’une maladie inconnue. Le reste des passagers et de l’équipage sont maintenant en bonne santé. »
Source: The Quebec Gazette, 4 juin 1832. Image QG_13_0020, Collections diverses de l’Institut Drouin (23 – Journaux anciens/The Quebec Gazette/1832/06), GenealogieQuebec.com
Il est pourtant déjà connu en Amérique que cette « maladie inconnue », le choléra, fait des ravages en Europe, et les journaux suivent la situation de près. Pour ne pas alerter la population, le surlendemain, le Quebec Gazette .écrit:
« Des rumeurs circulent de façon très générale comme quoi le choléra morbus a atteint la station de quarantaine, etc. Il est nécessaire de réitérer que, jusqu’à ce qu’une annonce officielle soit faite à ce sujet, elles sont à rejeter entièrement. »
Source: The Quebec Gazette, 6 juin 1832. Image QG_13_0021, Collections diverses de l’Institut Drouin (23 – Journaux anciens/The Quebec Gazette/1832/06), GenealogieQuebec.com
Les autorités officielles, par l’entremise du nouvellement créé Bureau de santé, confirment que « [l]a rumeur selon laquelle il y aurait à la station des personnes malades du choléra est entièrement sans fondement. »
Source: The Quebec Gazette, 8 juin 1832. Image QG_13_0022, Collections diverses de l’Institut Drouin (23 – Journaux anciens/The Quebec Gazette/1832/07), GenealogieQuebec.com
Elles indiquent que le Carricks subit les procédures de désinfection et sont confiantes que le choléra n’atteindra pas le Canada. Cette conviction est fondée sur une opinion favorable de la situation sanitaire du peuple canadien :
« Il a été trouvé dans toutes les parties du monde que le cholera spasmodique envahit et détruit uniformément, à la vitesse de l’éclair, ceux qui s’adonnent aux boissons fermentées, et à l’intempérance de toute sorte, – ceux qui sont dissolus – fainéants – sales – deviennent ses victimes, alors que ceux qui sont propres, tempérés et industrieux y échappent.
Ceci est un élément de consolation et d’espoir, surtout pour un peuple qui, comme les Canadiens, dans les districts ruraux en particulier, se distinguent par leur sobriété, leur industrie et leur propreté; et qui, de surcroît, puisqu’ils sont exempts des maux de l’extrême pauvreté, sont proportionnellement protégés des attaques les plus sévères de la maladie.
Si le choléra spasmodique devait donc apparaître dans un tel peuple, il serait probablement très limité dans son étendue, et atténué dans sa sévérité. »
Source: The Quebec Gazette, 11 juin 1832. Image QG_13_0023, Collections diverses de l’Institut Drouin (23 – Journaux anciens/The Quebec Gazette/1832/07), GenealogieQuebec.com
En effet, le choléra est le plus meurtrier dans les quartiers populaires. La contagion est favorisée par la forte densité de population et les mauvaises pratiques d’hygiène. Contrairement aux projections du Bureau de santé, le tableau suivant, publié le 2 juillet 1832 dans le Quebec Gazette, soit un mois après l’arrivée du Carricks, montre l’évolution rapide des cas de choléra dans les hôpitaux de la capitale. L’absence de mesures strictes pour contenir la maladie permet au choléra d’atteindre Montréal, qui sera aussi frappée de plein fouet.
Source: The Quebec Gazette, 4 juillet 1832. Image QG_13_0036, Collections diverses de l’Institut Drouin (23 – Journaux anciens/The Quebec Gazette/1832/07), GenealogieQuebec.com
Parmi les milieux les plus à risque, l’insalubrité et la promiscuité des prisons les rendent particulièrement vulnérables au développement de l’épidémie. Le 17 juin 1832, deux semaines seulement après l’arrivée du Carricks à Grosse-Île, sont inhumés à Montréal « deux hommes de noms inconnus, morts du Choléra morbus dans la prison de cette ville ».
Néanmoins, la haute société n’est pas épargnée. L’acte suivant consigne le 2 juillet à Beauport le décès du choléra de Marie Louise Fleury De La Gorgendière, veuve de l’Honorable Louis Antoine Juchereau Duchesnay, seigneur de Beauport et homme politique et militaire.
Les comptes-rendus de l’époque indiquent que le choléra peut agir de façon foudroyante : il n’est pas rare qu’un individu d’apparence saine le matin décède dans la journée de déshydratation rapide causée par des diarrhées extrêmes. Cette réalité est reflétée dans les actes paroissiaux : le suivant révèle qu’Angélique Angers est morte le 8 août à Neuville « du choléra après dix heures de maladie ».
Le cimetière Saint-Louis de Québec, installé au coin de la Grande Allée et de l’avenue De Salaberry, est ouvert en 1832 pour accueillir les victimes du choléra. Il prend rapidement le surnom de cimetière des Cholériques et accueillera notamment jusqu’en 1855 les morts du choléra et du typhus.
Les décès s’accumulent à un tel point que les prêtres ont de plus en plus recours aux sépultures de masse. En voici la première occurrence :
« Le treize Juin, mil-huit-cent-trente-deux, nous Diacre de ce Diocèse, soussigné, par l’autorisation spéciale de l’Evêque de Québec, avons inhumé dans le Cimetière Saint Louis, cinquante-quatre individus, dont nous n’avons pu nous procurer les noms tous décédés du Choléra-Asiatique à l’Hôpital des Emigrés, et de professions et d’âges à nous inconnus. »
Si les deux grandes villes du Québec connaissent chacune quelques milliers de décès, la contagion étant évidemment favorisée par la densité et les mouvements de population, le choléra sévit aussi dans les campagnes. Penchons-nous par exemple sur le cas de cette famille de La Prairie : Félicité Denault et sa fille nouvellement mariée Émilie Chabot s’éteignent toutes deux le 23 juin 1832. Trois jours passent avant que leur mari et père Louis Chabot ne les rejoigne dans la tombe. Cette famille avait déjà été durement frappée par la mortalité juvénile, qui avait emporté au moins sept de leurs douze enfants.
Les registres montrent aussi que l’épidémie voyage au-delà des frontières canadiennes par l’entremise des fréquents va-et-vient des Canadiens français émigrés dans le nord des États-Unis. Le curé de Marieville, en Montérégie, enregistre en février 1833 le décès d’Édouard Bérard, 11 ans, « décédé le vingt quatre août dernier à Franklin, comté de Franklin État de Vermont du colera n’ayant pu le rendre plutôt ». Les registres montrent en effet que le dernier-né de la famille, Marcel, né à Franklin, avait été baptisé à Marieville le 13 juin 1832. Les circonstances portent à croire que c’est à l’occasion de ce voyage familial que la contagion aurait atteint le jeune Édouard.
L’épidémie connaît une seconde vague en 1834, qui sera néanmoins beaucoup moins meurtrière que la première. C’est à cette occasion que les registres de St-Luc-de-la-Grosse-Île s’ouvrent et commencent à consigner baptêmes, mariages, mais surtout sépultures des Irlandais cholériques en quarantaine sur l’île.
« Le présent registre contenant dix-huit feuillets, celui-ci compris, a été par nous l’un des Juges de la Cour du Banc du Roi pour le district de Québec, soussigné cotté et paraphé par chaque feuillet, pour servir à l’enregistrement des actes de Baptêmes, Mariages et Sépultures, qui se feront à la Station de Quarantaine établie à la Grosse-Isle, la dite isle dépendante de la desserte de St. Antoine de l’Isle aux Grues.
Québec, 24 mai 1834. »
Image d1p_10090097, Registres du Fonds Drouin (/Québec/Fonds Drouin/G/Grosse-Île/Grosse-Île (St-Luc)/1830/1834/), GenealogieQuebec.com
Le choléra reviendra au Québec dans le cadre de la troisième pandémie en 1849 et en 1854. Cet épisode sombre cache son lot d’histoires tragiques, mais a permis d’innover en termes de mesures de santé publique, notamment par la création du poste de quarantaine de Grosse-Île et du Bureau de santé. Le savoir et les compétences acquis durant cette période seront précieux dans la gestion des épidémies subséquentes.
Marielle Côté-Gendreau Étudiante et collaboratrice au Programme de recherche en démographie historique (PRDH) de l’Université de Montréal.
Six nouveaux journaux de la région de St-Jean-sur-Richelieu ont été ajoutés aux journaux anciens disponibles sur Généalogie Québec!
Il s’agit des publications suivantes :
Écho d’Iberville (1880 à 1882 et 1919-1920)
La Voix du Peuple (1880)
L’Alliance (1893 – 1894)
L’Essor (1968 à 1970)
Le Protectionniste (1882-1883)
Le Courrier de St-Jean (1887 et 1896 à 1909)
Vous trouverez ces 2891 nouvelles images dans la section Collections diverses de l’Institut Drouin, sous le dossier « 23 – Journaux anciens ». Ces six nouveaux journaux se joignent aux nombreuses publications déjà disponibles dans la section:
La guerre de Sept Ans (1756-1763) a marqué un tournant dans l’histoire de la Nouvelle-France, qui change alors de mains. La première partie de cet article narrait, par l’entremise des registres paroissiaux de l’Église catholique, les événements qui ont mené à l’assaut de la ville de Québec par les troupes britanniques et leurs impacts sur la population de la Nouvelle-France.
Nous reprenons l’histoire en septembre 1759, à l’occasion de la bataille des Plaines d’Abraham. Après un débarquement réussi à l’Anse-au-Foulon, à l’ouest de Québec, les troupes britanniques accèdent aux hauteurs de Québec, où elles s’installent sur les Plaines d’Abraham. Le conflit atteint alors son apogée.
Cette gravure de 1797 est basée sur une esquisse exécutée par Hervey Smyth, aide-de-camp du général Wolfe durant le siège de Québec. Vue de la prise de Québec, le 13 septembre 1759.
L’affrontement se solde par une victoire britannique et le décès des deux commandants ennemis, les généraux Montcalm et Wolfe. La sépulture de Montcalm est effectivement enregistrée dans les livres de Notre-Dame-de-Québec, avec tous les honneurs dus à son rang :
« a été inhumé dans l’Eglise des Religieuses ursulines de Québec haut et puissant Seigneur Louis-Joseph Marquis de Moncalm Lieutenant Général des armées du Roy, Commandeur de l’ordre Royal et militaire de St Louis, Commandant en chef des troupes de terre en l’Amérique Septentrionale décédé le même jour de ses blessures au combat de la veille, muni des sacrements qu’il a reçus avec beaucoup de piété et de Religion »
Les titres de noblesses côtoient dans ces registres les descriptions les plus anonymes. On y trouve par exemple cette curieuse sépulture d’un soldat inconnu.
« un soldat français dont je n’ai pu savoir le nom ni le régiment, tout ce qu’une personne a pu m’en dire, c’est qu’avant sa maladie il portait la perruque, et qu’ayant été blessé au combat du treize de ce mois, il avait été embarqué sur un navire Anglais où il est mort en rade. »
On tend toutefois à oublier que ce n’est pas sur les Plaines d’Abraham que se joue l’ultime manche de ce bras de fer entre les Britanniques et les Français. Alors que Québec est occupée, les commandants français demandent au roi des renforts pour assurer la reconquête de la ville au printemps. Le 28 avril 1760 se déroule la bataille de Sainte-Foy, remportée par les Français contre une armée britannique diminuée par les rigueurs de l’hiver, occasionnant des pertes importantes dans les deux camps.
Liste des décès répertoriés à l’Hopital général de Québec après la bataille de Sainte-Foy. Source: Recherche dans le LAFRANCE, GenealogieQuebec.com.
Cependant, les renforts espérés par les Français n’arriveront jamais et le premier navire à atteindre Québec à la fonte des glaces est anglais. Les Français sont forcés de retraiter vers Montréal, où est signée la capitulation le 8 septembre 1760. Le traité de Paris de 1763, qui met un terme à la guerre de Sept Ans, officialise l’abandon de la Nouvelle-France à la Grande-Bretagne.
Les traces de la guerre de Sept Ans dans les registres paroissiaux ne sont toutefois pas toutes aussi morbides. La cohabitation entre les militaires de l’armée britannique et la population locale occasionne aussi de nouveaux baptêmes et mariages. Le baptême suivant, daté du 21 novembre 1760, est celui de Guillaume, « anglais dont le père et la mère sont inconnus », une formule standard pour les enfants illégitimes.
On apprend cependant au mariage de ses parents en 1765 que cette petite Élisabeth est née d’un père suisse servant dans les troupes britanniques et d’une mère canadienne.
Des registres paroissiaux surgissent donc les premiers indices des transformations et bouleversements qui marqueront la population canadienne à l’aube d’une nouvelle ère. La guerre a certes causé la mort de nombreux jeunes gens, mais elle apporte aussi sur les rives du Saint-Laurent de nouveaux habitants. Pouvez-vous aussi discerner, dans votre propre histoire familiale, les conséquences de la Conquête?
Marielle Côté-Gendreau Étudiante et collaboratrice au Programme de recherche en démographie historique (PRDH) de l’Université de Montréal.
L’indexation des registres paroissiaux de l’Ontario et de l’Acadie se poursuit sur Généalogie Québec! Ce sont quelque 20 044 actes de baptême, mariage et sépulture qui ont été ajoutés au LAFRANCE au début du mois.
Acte de mariage tel que présenté dans le LAFRANCE de Généalogie Québec
Voici la liste des paroisses concernées par cette mise à jour et le nombre d’actes ajoutés pour chacune :
Nom de la paroisse
Type d’acte
Plage de dates
Nombre d’actes
Baie-Ste-Marie
b
1780
1799
178
Baie-Ste-Marie
m
1781
1799
20
Baie-Ste-Marie
s
1799
1799
2
Beaubassin
b
1717
1748
747
Beaubassin
m
1712
1748
208
Beaubassin
s
1719
1749
28
Belle-Rivière
m
1858
1861
60
Belle-Rivière
s
1860
1861
32
Ecouipahaq
b
1767
1768
155
Ecouipahaq
m
1767
1768
28
Ecouipahaq
s
1767
1768
13
Ile-Royale
b
1714
1757
277
Ile-Royale
m
1717
1756
69
Ile-Royale
s
1726
1756
167
Louisbourg
b
1722
1759
2236
Louisbourg
m
1722
1759
572
Louisbourg
s
1722
1758
1222
Port-Royal
b
1702
1755
2509
Port-Royal
m
1702
1755
540
Port-Royal
s
1702
1754
421
St-Basile
b
1792
1862
6167
St-Basile
m
1792
1861
876
St-Basile
s
1792
1862
1640
St-Charles-les-Mines
b
1707
1748
1407
St-Charles-les-Mines
m
1709
1748
304
St-Charles-les-Mines
s
1709
1748
166
Tous ces actes peuvent être consultés dès maintenant dans le LAFRANCE, qui contient aussi TOUS les mariages catholiques du Québec de 1621 à 1918, TOUS les baptêmes et TOUTES les sépultures catholiques du Québec de 1621 à 1861 ainsi que TOUS les mariages protestants du Québec de 1760 à 1849. Vous trouverez davantage d’information à propos du LAFRANCE sur le blog de l’Institut Drouin.
Les conflits opposant les colonies françaises d’Amérique du Nord aux Britanniques, puis aux Américains, ont forgé leur destin. Les traces de ces conflits sont toujours perceptibles dans les registres paroissiaux, une véritable constante à travers des siècles de changements. Cet article est le premier d’une série ayant pour objectif d’illustrer la puissance historiographique des registres paroissiaux à l’aide de l’outil LAFRANCE de GenealogieQuebec.com et de PRDH-IGD.com.
La guerre de Sept Ans (1756-1763), qui se solde au Québec par la Conquête, bouleverse la jeune colonie alors que la Nouvelle-France devient britannique. Cependant, en dépit des troubles, les prêtres continuent de consigner dans les registres paroissiaux les moments marquants des vies de leurs paroissiens. Ces actes, qui font la richesse de la généalogie canadienne-française, recèlent aussi un trésor historique en révélant l’impact de la guerre sur la population de la vallée du Saint-Laurent.
Dès 1755 sont envoyés en Amérique des régiments militaires en provenance de France pour soutenir le Canada devant la menace britannique alors que les hostilités s’intensifient. La présence de ces soldats en sol américain ne passe pas inaperçue : tout au long de la guerre de Sept Ans, nombre de décès, mais aussi de mariages, sont enregistrés dans les registres paroissiaux. En effet, certains font le choix de s’établir au Québec de façon permanente et constituent le dernier apport migratoire à la population canadienne sous le régime français. L’acte suivant célèbre le mariage, le 11 février 1759 à Charlesbourg, de « jean Schoumarcker dit prêtaboire soldat de la compagnie de la Brenne au régiment de Berry […] et de marie joseph richard ».
Ces soldats sont généralement bien identifiés dans les actes, par leur nom et par leur régiment. À quelques exceptions près : au mois de février 1756, quelques mois après son arrivée, un « jeune soldat du Regiment de Languedoc » se noie dans les eaux du Richelieu. Le prêtre omet son nom mais note que son capitaine, le Sieur Guyon, a pu attester de sa catholicité!
Les nations amérindiennes jouent aussi un rôle prépondérant dans cette guerre, d’où son nom anglais de French and Indian War. Cet acte en fait foi : on y apprend le décès à l’été 1758 de Jean-Baptiste, « sauvage micquemaque », au Fort Saint-Jean, à Saint-Jean-sur-Richelieu, au retour d’un « combat donné contre les anglais » au Fort Carillon, au sud du lac Champlain dans l’actuel État de New York.
La menace britannique en Nouvelle-France se fait inquiétante à l’été 1759, alors que l’ennemi remonte le fleuve Saint-Laurent avec l’objectif de prendre Québec. Le 31 juillet, après deux semaines de bombardements, se déroule le premier affrontement pour Québec, la bataille de Montmorency (ou de Beauport), qui se conclue à l’avantage des Français.
Le mois d’août est marqué par une campagne de terreur de la part des Britanniques, qui saccagent les villages de la côte dans l’espoir de forcer l’armée française à quitter la protection des murs de Québec. Baie-Saint-Paul fait les frais de ces attaques : le curé note le décès de Charles Desmeules, « tué et la chevelure levée […] a la pointe d’aulne par les anglais ou ils firent descente et brulerent tout le bas de la baie st paul », mais aussi ceux de « plusieurs enfants morts dans le temps que nous étions dans les bois, réfugiés », alors que « les Anglais étaient à l’Isle aux coudres et a quebec ».
Saint-Joachim perd son curé, « massacré par les anglais le 23 de ce mois etant a la tete de sa paroisse pour la deffendre des incursions et hostilites que faisait l’ennemi ».
De part et d’autre du fleuve Saint-Laurent, les registres paroissiaux traduisent l’urgence de la situation : enterrés en hâte et « sans cérémonie à cause des anglais », plusieurs corps sont exhumés et inhumés de nouveau après la fin des conflits.
Le conflit atteint son apogée en septembre 1759, à l’occasion de la bataille des Plaines d’Abraham. L’armée britannique, l’armée française, les guerriers amérindiens et la milice canadienne, formée d’habitants, s’affronteront près de Québec pour la possession de la ville. Cette bataille et les événements subséquents seront abordés dans la seconde partie de cet article.
Marielle Côté-Gendreau Étudiante et collaboratrice au Programme de recherche en démographie historique (PRDH) de l’Université de Montréal.
Une mise à jour importante a été effectuée sur le Fichier Connolly, un des 15 outils offerts aux abonnés de GenealogieQuebec.com.
63 356 baptêmes, 51 900 mariages et 32 418 sépultures ont été ajoutés à l’occasion de cette mise à jour.
Qu’est-ce que le Fichier Connolly?
Le Fichier Connolly, produit par la Société de généalogie des Cantons-de-l’Est, est un index de baptêmes, mariages et sépultures catholiques et protestants provenant principalement du Québec mais aussi de communautés francophones aux États-Unis et dans les autres provinces canadiennes et couvrant une période s’étalant de 1621 à 2019. Au total, on dénombre plus de 6 700 000 fiches de baptême, mariage et sépulture dans l’outil.
Vous pouvez consulter le Fichier Connolly avec un abonnement à Généalogie Québec à cette adresse. Vous trouverez des conseils d’utilisation ainsi qu’un aperçu plus détaillé de l’outil dans cet article sur le blog de l’Institut Drouin.
Détails de la mise à jour
Voici la liste des paroisses québécoises concernées par cette mise à jour, avec le nombre d’actes ajoutés pour chaque paroisse ainsi que la période couverte par ceux-ci.
St-Augustin de Woburn Bap. 1898-1940: 1147 fiches Mar. 1899-1940: 189 fiches Sep. 1898-1940: 319 fiches
St-Sauveur de Québec Bap. 1867-1941: 44258 fiches Mar. 1867-1941: 8336 fiches Sep. 1867-1913: 24671 fiches
St-Philémon de Stoke Bap. 1875-1940: 2740 fiches Mar. 1875-1940: 488 fiches Sep. 1875-1940: 1166 fiches
St-Romain co Frontenac Bap. 1865-1940: 3025 fiches Mar. 1865-1940: 496 fiches Sep. 1865-1940: 1150 fiches
Mariages et filiations de l’État civil Mar. 2019: 4240 fiches de l’État civil québécois Fil. 2019: 74 fiches de l’État civil québécois
St-Herménégilde co Stanstead Bap. 1856-2003: 4203 fiches Mar. 1861-2003: 915 fiches Sep. 1865-2003: 1569 fiches
En plus de ces actes du Québec, quelque 34 862 actes de baptême, mariage et sépulture provenant de 18 paroisses américaines ont aussi été ajoutés dans cette mise à jour.
2019 tire à sa fin, et c’est le moment de passer en revue ce qui fut une année occupée pour l’Institut généalogique Drouin. Des centaines de milliers de nouveaux documents, de nombreux articles de blogs, sans parler d’une refonte complète de GenealogieQuebec.com et PRDH-IGD.com! Voici une retrospective détaillée de l’année.
Veuillez noter que vous pouvez consulter les détails des mises à jour de 2019 dans cette section du blog de l’Institut Drouin.
Le LAFRANCE
L’année 2019 a commencé en force, alors que nous avons complété l’ajout au LAFRANCE de TOUS les baptêmes et TOUTES les sépultures catholiques du Québec de 1850 à 1861! Ce projet, débuté en 2015, a représenté l’ajout de quelques 652 502 actes de baptême et sépulture provenant de 422 paroisses différentes.
Le LAFRANCE contenait alors, après ces ajouts :
Tous les mariages catholiques célébrés au Québec entre 1621 et 1917
Tous les mariages protestants célébrés au Québec entre 1760 et 1849
Tous les baptêmes catholiques célébrés au Québec entre 1621 et 1861
Toutes les sépultures catholiques célébrées au Québec entre 1621 et 1861
68 401 baptêmes et sépultures catholiques célébrés au Québec entre 1862 et 2019
Pour un total de 3 755 659 actes paroissiaux provenant du Québec.
Par la suite, nous avons ajouté tous les mariages catholiques du Québec de l’année 1918, un total de 11 167 actes.
Acte de mariage tel que présenté dans l’outil LAFRANCE de Généalogie Québec
Mais ce n’est pas tout! Nous avons aussi ajouté au LAFRANCE, en 2019, quelque 33 138 actes paroissiaux provenant de paroisses catholiques de l’Ontario et de l’Acadie française ainsi que de paroisses protestantes du Québec. Et ce n’est que le début!
Du côté de la section Nécrologe, ce sont quelque 30 000 cartes mortuaires et 15 000 avis de décès provenant de journaux qui ont été ajoutés en 2019.
De plus, nous procédons actuellement à la numérisation de centaines de milliers de nouveaux avis de décès qui apparaîtront sur Généalogie Québec en 2020. Ceux-ci rejoindront les 3,7 millions avis de décès, pierres tombales et cartes mortuaires déjà disponibles dans la section Nécrologe.
Près de 180 000 fiches de baptême, mariage et sépulture ont été ajoutées au Petit NBMDS en 2019. Ces dernières proviennent de la Mauricie, de la Nouvelle-Angleterre et de l’Ontario. L’outil contient aujourd’hui plus de 1,3 millions de fiches.
Renumérisation d’images et ajouts divers ont été au menu en 2019 pour les Registres du Fonds Drouin :
14 460 images de registres paroissiaux provenant de l’État de New York, sous le dossier Registres divers
1000 images provenant du Consulat général de France à Montréal et Québec, sous le dossier Registres divers
Registres de l’État de New York provenant du recensement américain de 1890, sous le dossier Registres divers
Les années 1945 à 1993 de la paroisse St-André, sous le dossier Registres paroissiaux du nord-ouest du Nouveau-Brunswick
30 424 images des Registres du Fonds Drouin renumérisées
Les Registres du Fonds Drouin contiennent quelque 5 186 434 images de registres divers provenant du Québec, de l’Ontario, de l’Acadie française, du Nouveau-Brunswick ainsi que du nord-est des États-Unis.
L’outil Fiches BMS contient près de 2,3 millions de fiches de baptême, mariage et sépulture. En 2019, nous y avons ajouté autour de 105 000 fiches provenant du Québec et de l’Ontario.
46 444 fiches de baptême, mariage et sépulture ont été ajoutées au Fichier Connolly dans sa mise à jour annuelle de 2019, ce qui porte le nombre d’actes répertoriés par l’outil à plus de 6,5 millions.
Quelque 45 000 images ont été ajoutées aux Collections diverses de l’Institut Drouin en 2019 :
17 434 nouvelles images provenant de journaux anciens sous le dossier 23 – Journaux anciens
3 909 images de documents juridiques historiques sous le dossier 27 – Trois-Rivières (Juridiction)
2 673 images de contrats notariés provenant de la région de Cornwall en Ontario sous le dossier 26 – Contrats notariés de l’Ontario
2 000 images des archives du notaire Joseph Dionne sous le dossier 18 – Autres documents
18 190 images à caractère historique et généalogique sous le dossier 14 – Fonds d’archives
Les Collections diverses de l’Institut Drouin contiennent un assortiment d’images, de documents, de livres, de photos et de répertoires d’intérêt historique et généalogique.
Consultez toutes ces collections – et plusieurs autres – en vous abonnant à Généalogie Québec dès aujourd’hui!
Blog de l’Institut Drouin
Une nouvelle collaboratrice s’est jointe à l’équipe Drouin cette année! Marielle Côté-Gendreau, étudiante et passionnée d’histoire et de généalogie, compose des articles de blog vulgarisant des concepts linguistiques, généalogiques ou historiques et participe aux activités de rédaction de l’équipe. Vous pouvez consulter ses excellent articles sur le blog de l’Institut Drouin :
Pour conclure, l’équipe Drouin aimerait profiter de cette infolettre rétrospective pour vous souhaiter santé, bonheur et trouvailles généalogiques pour l’année 2020!