Les ajouts se poursuivent sur Généalogie Québec! Cette fois dans la section Nécrologe, qui regroupe tous les avis de décès, cartes mortuaires et pierres tombales disponibles sur le site.
Cartes mortuaires
5 350 cartes mortuaires ont été ajoutées dans la section du même nom, qui contient maintenant un total de 97 802 cartes. Cet outil vous permet de rechercher une carte par nom ou prénom du défunt ainsi que par la date de décès.
La plupart de ces cartes portent sur des individus décédés au Québec entre 1860 et aujourd’hui. Vous pouvez consulter cet outil avec un abonnement à Généalogie Québec à cette adresse.
Avis de décès internet
Le cap des 2 600 000 avis de décès est sur le point d’être franchi dans la section Avis de décès internet.Comme son nom l’indique, cette section contient des nécrologies provenant de diverses sources en ligne et couvre l’entièreté du Canada de 1999 à aujourd’hui.
Cette collection est mise à jour de manière mensuelle et est équipée d’un engin de recherche vous permettant de parcourir les nécrologies par nom, date, ou via le texte de la notice.
Ces documents peuvent être consultés dans la section Nécrologe, ou vous trouverez aussi, en plus des cartes mortuaires et des avis de décès internet, 710000 photos de pierres tombales indexées et 1250000 nécrologies provenant de journaux du Québec et de l’Ontario. Pour plus d’information à propos de la section Nécrologe, vous pouvez consulter le blog de l’Institut Drouin.
Abonnez-vous à Généalogie Québec afin d’avoir accès à la section Nécrologe ainsi qu’à 14 autres outils totalisant près de 47 millions d’images et de fiches!
31 586 actes de naissance, mariage et décès ont été ajoutés au LAFRANCE, un des 15 outils offerts aux abonnés de Généalogie Québec.
Il s’agit d’actes paroissiaux provenant du Québec, de l’Ontario et du Nouveau-Brunswick. Les actes québécois ajoutés dans cette mise à jour sont issus, pour la plupart, de paroisses non-catholiques de la province.
Une mise à jour a été effectuée sur le Fichier Connolly, un des 15 outils disponibles aux abonnés de Généalogie Québec.
19 219 baptêmes, 13 249 mariages et 42 321 sépultures ont été ajoutés à l’occasion de cette mise à jour.
Qu’est-ce que le Fichier Connolly?
Le Fichier Connolly, produit par la Société de généalogie des Cantons-de-l’Est, est un index de naissances, mariages et décès provenant principalement du Québec mais aussi de communautés francophones des États-Unis et du Canada. Celui-ci couvre une période s’étalant de 1621 à 2020. Au total, on dénombre plus de 6 750 000 fiches de naissance, mariage et décès dans l’outil.
La tenue de registres de naissances, mariages et décès au Québec remonte au tout début de la colonie française en Amérique du Nord.
En effet, c’est en 1621 que voit le jour le premier registre paroissial catholique, consignant les baptêmes, mariages et sépultures de la population de la jeune colonie.
Mariage de Guillaume Couillard et Guillemette Hebert en 1621, extrait du registre de Notre-Dame-de-Québec. On remarque la présence de Samuel De Champlain comme témoin. Source: Acte 66317, LAFRANCE, GenealogieQuebec.com
Dans les année 1760, suite à la conquête de la Nouvelle-France par l’Empire britannique, les registres paroissiaux de l’église protestante s’ajoutent aux registres catholiques dans la documentation des naissance, mariages et décès du Québec.
Mariage de John Cativin et Isabella Donaldson en 1766, extrait du registre anglican de Montréal. Source: Acte 4777972, LAFRANCE, GenealogieQuebec.com
En 1926, l’État établit le Registre de référence à l’état civil, qui vient épauler la pratique de l’enregistrement des naissances, mariages et décès du Québec dans les églises. Ce registre comprend une majorité des mariages et décès enregistrés dans la province entre 1926 et 1997. Il peut être consulté avec un abonnement sur Généalogie Québec à cette adresse.
Mariage de Richard Burton et Elizabeth Taylor à Montréal en 1964, Source: Outil Mariages et décès 1926-1997, GenealogieQuebec.com
Finalement, le Québec centralise entièrement l’enregistrement des événements vitaux de sa population avec la création de la Direction de l’état civil en 1994. La grande majorité de ces documents ne sont pas disponibles publiquement.
Comment les registres de naissance, mariage et décès du Québec sont utilisés en généalogie
Grâce à la consignation des événements vitaux de la population québécoise, en premier lieu par l’église puis par le gouvernement, les descendants des québécois peuvent aujourd’hui aisément retracer l’histoire de leur famille. Mais concrètement, comment utilise-t-on les registres de naissance, mariage et décès pour retracer cette histoire?
Les mariages du Québec
La clé pour retracer une ascendance se trouve au niveau des actes de mariage. La raison en est simple: historiquement, l’officiant du mariage était tenu d’inscrire, dans l’acte de mariage, le nom des parents des époux.
Avec cette information, il est possible de remonter d’une génération et de trouver l’acte de mariage des parents des époux. Une lignée complète peut ainsi être retracée via la chaîne des mariages des individus la formant.
Plusieurs bases de données contenant des actes de naissance, mariage et décès du Québec existent sur le Web, mais la plus complète est le LAFRANCE disponible sur Généalogie Québec. Nous l’utiliserons ici pour illustrer le principe expliqué ci-dessus.
Pour débuter notre recherche, il nous faut un point de départ, soit un mariage de la lignée recherchée. À des fins d’exemple, nous utiliserons le mariage des arrières grand-parents de l’auteur de cet article, François Eugène Desjardins et Anna Jacques.
Nous débutons par une recherche des époux dans le LAFRANCE.
Ceci nous permet de retrouver leur acte de mariage en 1907.
Dans celui-ci, nous obtenons le nom des parents de l’époux, Charles Eugène Desjardins et Marie Malvina Fortin.
Nous effectuons maintenant une recherche pour leur mariage.
Encore une fois, ceci nous permet de retrouver leur acte de mariage, en 1864.
Ce processus est répété pour chaque génération, jusqu’à ce que nous arrivions au premier immigrant de la lignée Desjardins au Québec, Antoine Roy dit Desjardins, dont voici le mariage.
Naissances et décès du Québec
Les naissances et les décès, quant à eux, peuvent être utilisés pour dresser un portrait plus complet de la vie de ses ancêtres.
Par exemple, nous trouvons sur PRDH-IGD.com des « fiches de famille » qui regroupent, sur une même page, tous les événements vitaux (baptêmes, mariages et sépultures) appartenant à une unité familiale.
Fiche de famille de Pierre Roy Desjardins et Marie Anne Martin, avec la liste de tous leurs enfants ainsi que des liens vers les baptêmes, mariages et sépultures de tous les individus mentionnés. Source: Fiche de famille 6710, PRDH-IGD.com
Ce portrait global, réalisé à partir des actes de baptême, mariage et sépulture de l’église catholique, nous donne un aperçu unique de la vie de nos ancêtres et de leurs déplacements migratoires au fil des années.
Qu’on consulte un acte de mariage, de naissance ou de décès, on peut espérer y retrouver le ou les noms des individus concernés et de leurs parents, la date et le lieu de l’événement souligné, divers renseignements supplémentaires tels que le lieu de résidence ou d’origine des individus nommés, leur état matrimonial, leur âge, et autres. De quoi en apprendre beaucoup sur nos ancêtres!
Les meilleures sources de registres de naissance, mariage et décès du Québec sur internet
Le Québec est reconnu mondialement pour l’exhaustivité de ses collections généalogiques, et il existe de nombreux sites offrant l’accès à des registres de naissance, mariage et décès québécois sur internet.
Généalogie Québec
Généalogie Québec offre à ses abonnés la plus grande collection de registres québécois disponible sur internet. Ceux-ci se trouvent sous divers formats sur le site: des actes paroissiaux de l’église, des actes civils du gouvernement, des fiches de baptême, mariage et sépulture, des index de registres d’événements vitaux, et autres. La majorité de ces documents se retrouvent dans l’outil LAFRANCE, un index détaillé avec lien au document original de plus de 10 millions d’actes civils et religieux du Québec. L’outil est équipé d’un engin de recherche vous permettant de parcourir de consulter les documents suivants:
Tous les mariages catholiques du Québec de 1621 à 1918
Tous les mariages protestants du Québec de 1760 à 1849
Tous les mariages enregistrés par le gouvernement du Québec entre 1926 et 1997
Tous les baptêmes et sépultures catholiques de Québec de 1621 à 1861
Tous les décès enregistrés par le gouvernement du Québec entre 1926 et 1997
1,7 million de mariages de diverses sources au Québec, en Ontario et aux États-Unis de 1919 à aujourd’hui
Des dizaines de milliers d’actes supplémentaires du Québec, de l’Ontario et de l’Acadie
Acte paroissial tel que présenté dans le LAFRANCE de Généalogie Québec
Un abonnement est nécessaire afin de consulter les collections disponibles sur Généalogie Québec. Vous pouvez vous abonner à cette adresse.
PRDH-IGD
Le PRDH-IGD est un répertoire de tous les actes de baptême, mariage et sépulture catholiques enregistrés au Québec entre 1621 et 1849, soit plus de 2.5 millions d’actes répertoriés, ainsi qu’un dictionnaire généalogique des familles canadiennes françaises.
Ce qui fait du PRDH-IGD une ressource unique est la structure de sa base de données. En plus des actes de baptême, mariage et sépulture, le PRDH-IGD contient ce qu’on appelle des fiches d’individu et des fiches de famille.
Tout individu mentionné dans un acte de la base de données se voit attribuer sa fiche individuelle, qui centralise toute l’information disponible sur l’individu. De même, tout couple marié mentionné dans un acte se voit attribuer une fiche de famille.
Cette fiche de famille regroupe tous les enfants du couple et offre un lien vers les événements ou ces enfants sont mentionnés.
Ultimement, on peut décrire la base de données du PRDH-IGD comme un arbre généalogique massif englobant tous les individus catholiques ayant vécu au Québec entre 1621 et 1849, soit la quasi-totalité des ancêtres de la population canadienne française d’Amérique.
Un abonnement est nécessaire afin de consulter les répertoires disponibles sur PRDH-IGD. Vous pouvez vous abonner à cette adresse.
Bibliothèque et Archives Nationales du Québec
Le site web de BAnQ permet accès à une version numérisée des registres paroissiaux du Québec jusqu’en 1916, pouvant être consultée gratuitement à cette adresse.
Contrairement à la copie de cette collection disponible sur Généalogie Québec, la version de BAnQ n’est pas indexée. Cela signifie qu’il faut naviguer au travers du registre paroissial manuellement, une page à la fois, afin de retrouver l’acte recherché. Il est donc nécessaire de connaître l’année et la paroisse où l’acte désiré à été consigné afin de le retrouver.
Sociétés généalogiques
Rejoindre une société généalogique peut être un excellent moyen d’accéder à de nombreuses collections de registres de naissance, mariage et décès. En effet, les sociétés se spécialisent dans la conservation des archives généalogiques et historiques des régions qu’elles desservent. De plus, les bénévoles et employés des sociétés sont d’excellentes personnes ressources pour vous guider dans vos recherches et vous aider à trouver les documents recherchés.
Vous trouverez une liste des sociétés généalogiques du Québec par région à cette adresse.
Une mise à jour a été apportée à l’outil Acadie – Familles reconstituées, une des 15 collections disponibles aux abonnés de Généalogie Québec.
Quelque 11 453 fiches de famille ont été ajoutées à l’outil via cette mise à jour.
Qu’est-ce que l’outil Acadie – Familles reconstituées?
L’outil Acadie – Familles reconstituées contient 141 795 fiches de familles reconstituées sur la base d’actes originaux de l’Acadie.
Actuellement, les fiches de cet outil couvrent du début de la colonie acadienne jusqu’à la fin de 1849. De plus, les actes issus de 33 lieux couvrant de 1850 jusqu’à la fin des registres paroissiaux disponibles ont été intégrés à l’outil. Une liste des lieux répertoriés ainsi que davantage d’information à propos de l’outil sont disponibles sur le blog de l’Institut Drouin.
Les fiches compilent les informations reliées à une famille. Elles contiennent généralement les noms et prénoms des parents, le prénom de l’enfant, les dates de naissance et/ou baptême, de décès et/ou d’inhumation, de mariage (un total de 263 905 événements) et la paroisse. Un lien vers l’image du document original est souvent fourni dans la fiche pour les baptêmes, les mariages et les sépultures.
Exemple d’une fiche tirée de l’outil Acadie – Familles reconstituées. Les liens bleus mènent aux documents originaux.
Document original provenant d’une fiche de l’outil Acadie – Familles reconstituées
L’outil Acadie – Familles reconstituées peut être consulté avec un abonnement à Généalogie Québec à cette adresse.
Il est maintenant temps d’annoncer les 10 gagnants du Jeu-Concours lancé le 22 février 2021, dans lequel vous pouviez remporter un abonnement annuel à Généalogie Québec, 1000 requêtes sur PRDH-IGD.com ou 200$ sur notre boutique en ligne!
Les gagnants sont:
Lisa Guindon Michel Néron André Coulombe Sylvie Houle Jean Leclerc Guillaume Boissonneault Nathalie Lagassé Gaston Moore Audrey Champagne Rachel Bouffard
Un grand merci à nos 4410 participants!
60% de réduction sur la boutique de l’Institut Drouin
Si vous n’êtes pas un de nos 10 gagnants, ne vous en faites pas! Avec le code DROUIN2021, profitez de 60% de rabais sur toute commande effectuée sur notre boutique en ligne dès aujourd’hui. Cette offre est valide jusqu’au 15 mars 2021.
Pour profiter de la promotion, le code DROUIN2021 doit être entré durant le processus de paiement.
La boutique de l’Institut Drouin comprend tous les livres et CD-ROM produits par l’Institut généalogique Drouin, soit plus de 4000 items. On y trouve aussi des répertoires et livres historiques provenant de diverses sociétés d’histoire et de généalogie du Québec, de l’Ontario et des États-Unis.
Vous pouvez utiliser la fonction recherche afin de trouver des ouvrages portant sur des région, des familles, des individus ou des sujets spécifiques.
Voici quelques exemples de ce que vous trouverez sur la boutique.
La collection Patrimoine national contient divers répertoires généalogiques répertoriant des actes paroissiaux, des cimetières, des avis de décès, des cartes mortuaires, des recensements et autres.
Contient divers livres et répertoires provenant de l’Institut Drouin et de sociétés généalogiques du Québec, de l’Ontario et de la Nouvelle-Angleterre.
Encore une fois merci de votre participation et de votre confiance!
⚠️ Remarque : Ce guide a été rédigé avant la mise en ligne de notre nouveau système de recherche. Son contenu ne s’applique qu’à l’utilisation de nos outils classiques.
Sur le site, vous trouverez au delà de 100 millions d’images et de fiches qui vous permettront de retracer l’histoire de votre famille au Québec et dans les environs. Ces documents sont divisés en plusieurs outils; il est donc important de savoir à quel outil se référer selon la nature de sa recherche afin de profiter au maximum du site web.
Votre première recherche sur Généalogie Québec
Que vous recherchiez un individu en particulier ou que vous souhaitiez retracer une lignée entière, votre première recherche sur notre site devra vraisemblablement se faire sur le LAFRANCE.
Le LAFRANCE contient des millions de naissances, mariages et décès du Québec, de l’Ontario et de l’Acadie de 1621 jusqu’à aujourd’hui. C’est avec ces actes, et particulièrement les mariages, que vous serez en mesure de remonter la lignée de vos ancêtres.
Retracer une lignée sur Généalogie Québec
Le processus est simple. En premier lieu, il s’agit de trouver le mariage d’un couple de la lignée recherchée dans le LAFRANCE. Si vous recherchez votre propre lignée, le mariage de vos parents, grand-parents ou arrière-grands-parents est un bon point de départ.
Dans la majorité des actes de mariage, les noms des parents des époux sont indiqués. En recherchant ces noms, toujours sur le LAFRANCE, vous serez en mesure de trouver leur mariage et aurez alors remonté d’une génération dans la lignée. Vous pouvez ainsi retracer une lignée complète via la chaîne des mariages des individus la formant.
Les noms des parents de l’époux sont indiqués dans le mariage de gauche. Nous effectuons une recherche pour ceux-ci dans le LAFRANCE, ce qui nous permet de retrouver leur mariage. En répétant le processus, nous pouvons remonter jusqu’au premier arrivant d’une lignée en territoire québécois.
Vous trouverez un guide détaillant ce processus à cette adresse.
Conseil: Vous ne trouvez pas le mariage recherché? Essayez à nouveau en limitant votre recherche aux noms de famille des époux, ou essayez différentes variations de la recherche en incluant que le prénom de l’époux et le nom de famille de l’épouse, ou le nom de l’époux et le prénom de l’épouse. Ainsi, vous limitez les chances que l’acte recherché soit exclu des résultats de votre recherche, ce qui peut survenir lorsqu’un des paramètres recherché ne concorde pas avec l’information contenue dans le document.
Recherches plus avancées et autres types de documents
En plus de ses collections de naissances, mariages et décès, Généalogie Québec offre une multitude d’outils contenant des documents variés.
Par exemple, tous les avis de décès, les pierres tombales et les cartes mortuaires du site se trouvent dans l’outil Nécrologe.
Généalogie Québec vous permet aussi de rechercher des naissances, mariages et décès qui pourraient ne pas être répertoriés dans le LAFRANCE à travers les outils Fichier Connolly, Petit NBMDS et Fiches BMS.
Vous trouverez une liste détaillée des outils et de leur contenu sur la page Outils.
Conseil: Nous vous recommandons de garder vos recherches les plus vagues possible, et de les préciser au besoin en y ajoutant une information à la fois. Lorsque le nom ou le prénom recherché est peu commun, il est rarement nécessaire d’ajouter davantage d’informations à une recherche.
Plus une recherche est pointue, plus elle risque d’omettre le résultat recherché, puisque tous les champs remplis doivent correspondre. Par exemple, une recherche initiale pourrait débuter avec les noms de famille des époux. Si le nombre de résultats est trop élevé, on peut alors y ajouter une variable supplémentaire telle qu’un prénom ou une année.
(Cet article est en 3 parties. Cliquez pour consulter: Partie 1, Partie 3)
Dans le précédent article de cette série, nous avons déterminé que les femmes sont souvent invisibilisées en généalogie, notamment parce que les lignées patrilinéaires sont les plus répandues (Jetté, 1991 : 110 ; Drouin, 2015) et que les femmes sont peu présentes dans le vocabulaire généalogique (Cousteau Serdongs, 2008 : 133). Ce problème est ancré dans l’organisation patriarcale de la société et dans la reproduction du sexisme dans les pratiques généalogiques. Nous nous attarderons maintenant à détailler les conséquences de cette invisibilisation et à comprendre pourquoi cette problématique mérite qu’on y accorde notre temps et attention en tant que généalogistes.
L’invisibilisation des femmes dans la construction des lignées généalogiques s’inscrit dans un système d’invisibilisation et de dévalorisation de leurs accomplissements ainsi que d’appropriation et de contrôle de leur travail et de leurs corps. Les conséquences sont bien tangibles. Francine Cousteau Serdongs affirme que « la méconnaissance de l’histoire des femmes à partir des femmes de sa propre lignée implique l’impossibilité de s’identifier à elles » (2008 : 138), l’impossibilité d’identifier aussi, ce qui a forgé notre famille et comment le genre a pu y jouer un rôle. Le patriarcat se reproduit non seulement dans la sphère publique, mais aussi dans la sphère privée, car les valeurs patriarcales (comme les impératifs imposés aux femmes sur leur apparence ou leurs comportements) sont souvent transmises dès leur plus jeune âge aux enfants, dans la sphère familiale.
Ne pas connaître l’histoire des femmes de sa famille peut donc nous empêcher de comprendre comment des traumas générationnels ou des perspectives genrées particulières se sont insérées dans nos dynamiques et notre culture familiale. Une meilleure compréhension de ces phénomènes jouerait certainement un rôle important dans la déconstruction des schèmes patriarcaux transmis dans la famille et dans la consolidation d’une solidarité entre femmes (Cousteau Serdongs, 2008 : 138).
Quatre générations de femmes en une photo, Wikimedia Commons.
L’effacement des femmes en généalogie a également tendance à aller de pair avec leur effacement dans la grande Histoire. Francine Cousteau Serdongs en donne plusieurs exemples (2008 : 135-136) mentionnant les femmes présentes sur le bateau la Grande Recrue et les épouses d’hommes célèbres comme Charles Le Moyne.
Mariage de Charles Le Moyne et Catherine Primot le 28 mai 1654 à Montréal. Source: Acte 47196, LAFRANCE, GenealogieQuebec.com
Cette invisibilisation joue un rôle certain dans la dévalorisation du rôle et du travail des femmes qui se perpétue dans notre société d’aujourd’hui : en effet, si on ne peut pas reconnaître les réalisations féminines du passé, pourquoi serait-on à même de le faire pour celles d’aujourd’hui ? Sans compter que, symboliquement, en négligeant les mères dans les recherches généalogiques, on dévalorise ce rôle et on nie leur implication dans la passation de l’héritage, alors que les hommes, de par la simple transmission de leur nom de famille, s’inscrivent très clairement dans une lignée (Cousteau Serdongs, 2008 : 132). Francine Cousteau Serdongs dira ainsi : « À la deuxième génération, les femmes sont ignorées, prétendument parce qu’elles ne portent plus le même nom de famille. Tout se passe comme si les femmes n’avaient pas de descendance et qu’elles ne faisaient qu’aider leur conjoint à en avoir une » (2008 : 133). On perpétue ainsi dans l’imaginaire collectif une longue tradition de conception des femmes uniquement comme « objets » et on leur retire leur agentivité (Cousteau Serdongs, 2008 : 139-140), alors que dans le concret, les femmes jouaient un rôle essentiel et actif, dans leurs familles comme dans la société.
Le domaine de la reproduction, l’espace privé, a même été historiquement relégué aux femmes. On a tenté de les y enfermer, pour les maintenir hors de l’espace public, des lieux de décision et de pouvoir : on retrouve des traces de cette division privé/public depuis l’époque de la Grèce antique et malgré les avancées féministes elle est encore, à certains égards, reproduite aujourd’hui (voir Bereni et Revillard, 2009). On les y a enfermées, certes, mais on ne les a même pas laissées être les maîtresses de ce domaine privé, les normes patriarcales s’y infiltrant sans cesse pour contrôler comment les femmes accomplissent leur charge de travail. La médicalisation des grossesses et des accouchements, tous les impératifs sur la façon d’élever leurs enfants, d’entretenir leurs maisons, les restrictions entourant l’avortement sont des exemples criants de ce contrôle et de l’appropriation du travail des femmes (dont celui qu’elles font avec les enfants) par les hommes (à propos de l’appropriation du travail des femmes, voir Cousteau Serdongs, 2008 : 141-142 ; Guillaumin, 1978).
Peinture d’une femme faisant la lessive
Comme s’il ne suffisait pas que la sphère privée soit contrôlée par des normes patriarcales, elle a aussi été largement dévalorisée (voir, entre autres, Robert, 2017). Le fait qu’on a longtemps refusé aux femmes la transmission de leur nom de famille à leur descendance et qu’on ne leur permet même aujourd’hui que très rarement d’apparaître de manière prédominante dans les histoires familiales, participe à l’appropriation du travail des femmes par les hommes ainsi qu’à ce contrôle patriarcal et à cette dévalorisation de la sphère privée.
Ces conséquences sont d’autant plus grandes pour les femmes racisées, qui se trouvent à l’intersection de plusieurs systèmes d’oppressions, comme le racisme et le sexisme. Pour les femmes autochtones par exemple, cette invisibilisation de leur rôle dans l’histoire familiale s’est reflétée par le retrait du « statut d’Indien » de celles qui mariaient un non-autochtone et de leurs enfants, les privant ainsi souvent de l’accès à leur communauté ainsi que de certains droits sociaux, culturels et politiques (voir Arnaud, 2014 : 213-217). La loi C-31 adoptée en 1985 a permis aux femmes qui avaient perdu leur statut à cause d’un mariage avec un allochtone de le regagner : toutefois, leurs enfants n’ont acquis qu’un statut non-transmissible, contrairement aux enfants nés d’un père autochtone, disposition qui ne sera changée qu’en 2010 (Arnaud, 2014 : 216). Le changement de loi n’a pas non plus suffi à faire accepter avec enthousiasme le retour de ces femmes autochtones et de leurs enfants par leurs communautés : celles-ci étaient en manque d’espace et d’argent et ne recevaient aucun support pour accueillir le retour de toutes ces personnes. Les femmes donnaient ainsi l’impression de bousculer l’ordre établi et de forcer la main à leurs communautés : le travail est donc loin d’être terminé.
Femmes autochtones avec leurs enfants, Vancouver, 1901, Wikimedia Commons
(Avertissement : mention de viol dans le prochain paragraphe.)
Cette conception des femmes comme porteuses de la lignée des hommes est aussi à l’origine d’un contrôle accru sur le corps des femmes notamment à travers des impératifs et de chasteté et de fidélité afin de tenter de s’assurer de l’origine paternelle des enfants (Knibiehler, 2012). Si on sort un peu du contexte québécois, on peut constater de nombreux exemples dans lesquels le viol a été utilisé comme une arme de guerre, passant par le corps des femmes pour punir certains peuples en « salissant leurs lignées généalogiques », les rendant « impures ». Véronique Nahoum-Grappe dira ainsi, concernant l’ex-Yougoslavie que « le viol devient une espèce de victoire sur le front de la guerre contre l’identité collective de l’ennemi, une invasion victorieuse de l’espace de sa reproduction » (1996 : 153). Bien que ça n’ait pas été documenté à ma connaissance, il est très possible que de tels événements aient aussi eu lieu lors de la colonisation du Québec. En 2014, Statistiques Canada rapportait d’ailleurs que les femmes autochtones avaient trois fois plus de chances d’être victime d’une agression sexuelle au cours de leur vie qu’une femme non-autochtone (Boyce, 2014).
L’effacement des femmes en généalogie contribue donc à perpétuer une culture patriarcale qui invisibilise et dévalorise les accomplissements des femmes ainsi que les oppressions qu’elles ont vécues dans la société et dans la famille, et qui s’approprie et contrôle leur travail et leurs corps. Il est donc primordial de trouver des moyens pour remédier à cette situation et participer à l’établissement d’une société plus juste à travers nos pratiques généalogiques : ce sera le sujet de mon prochain article.
Audrey Pepin
Bibliographie
Arnaud, Aurélie. (2014). Féminisme autochtone militant : quel féminisme pour quelle militance? Nouvelles pratiques sociales, vol. 27, no. 1, p.211-222.
Baillargeon, Denyse. Compte-rendu de Yvonne Knibiehler, La virginité féminine. Mythes, fantasmes, émancipation. Paris , Odile Jacob, 2012 221 p. Recherches féministes, vol. 25, no. 2, p.191-193.
Bereni, Laure et Revillard Anne. (2009). La dichotomie “Public-Privé» à l’épreuve des critiques féministes: de la théorie à l’action publique. Dans Genre et action publique : la frontière public-privé en questions, Muller, P. et Sénac-Slawinski, R (dir.). Paris : L’Harmattan. p. 27-55.
Cousteau Serdongs, Francine. (2008). Le Québec, paradis de la généalogie et « re-père » du patriarcat : où sont les féministes? De l’importance d’aborder la généalogie avec les outils de la réflexion féministe. Recherches féministes vol. 21, no. 1, p.131-147. https://doi.org/10.7202/018313ar
Guillaumin, Colette. (1978). Pratique du pouvoir et idée de nature : 1- L’appropriation des femmes. Questions féministes, no.2, p.58-74.
Jetté, René. (1991). Traité de Généalogie. Montréal : Les Presses de l’Université de Montréal, 716 p.
Knibiehler, Yvonne (2012). La virginité féminine. Mythes, fantasmes, émancipation. Paris : Odile Jacob, 221 p.
Nahoum-Grappe, Véronique (1996). Purifier le lien de filiation : Les viols systématiques en ex-Yougoslavie, 1991-1995. Esprit, no. 227 (12), p.150-163. https://www.jstor.org/stable/24277272
Robert, Camille. (2017). Toutes les femmes sont d’abord ménagères. Histoire d’un combat féministe pour la reconnaissance du travail ménager. Montréal : Éditions Somme toute, Coll. « économie politique », 178 p.
L’Institut Drouin, en collaboration avec la Fédération québécoise des sociétés de généalogie, est heureux d’annoncer la seconde édition de son concours annuel, dans lequel vous pouvez remporter un abonnement annuel à Généalogie Québec, 1000 requêtes sur PRDH-IGD.com, ou 200$ à dépenser sur notre boutique en ligne. Participer est simple, rapide et gratuit!
Comment participer
Pour participer, il vous suffit de créer un compte sur Généalogie Québec ou de vous connecter à un compte existant entre le 22 février 2021 et le 8 mars 2021 à 15:00 heure de l’Est. Vous n’avez PAS besoin d’acheter ou d’avoir un abonnement actif sur le compte pour être éligible au tirage.
Si vous ne possédez pas de compte sur Généalogie Québec, vous n’avez qu’à en créer un (pas de carte de crédit nécessaire). Vous en aurez pour une minute!
Si vous possédez déjà un compte sur Généalogie Québec, il vous suffit de vous y connecter entre le 22 février 2021 et le 8 mars 2021 à 15:00 heure de l’Est afin d’assurer votre participation au concours.C’est tout!
10 gagnants seront choisis au hasard le 8 mars 2021 à 15:00 heure de l’Est parmi les participants.
Assurez-vous que le courriel utilisé sur votre compte Généalogie Québec est valide! C’est via cette adresse courriel que vous serez contacté si vous remportez un prix. Vous aurez alors 48h pour choisir et réclamer votre prix. Si nécessaire, un second tirage aura lieu le 10 mars 2021 à 16:00 heure de l’Est afin d’attribuer le ou les prix non réclamés à de nouveaux gagnants.
Les prix
Abonnement annuel à Généalogie Québec (Valeur de 100 $CAD)
Un abonnement annuel à Généalogie Québec vous donne accès au site et à toutes ses collections pour une durée de 365 jours. Généalogie Québec est un site de recherche par abonnement qui regroupe l’ensemble des collections et données généalogiques acquises par l’Institut Drouin au cours de son existence.
Au total, 47 millions d’images et de fiches sont regroupées en 15 outils et collections divers couvrant l’ensemble du Québec ainsi qu’une partie de l’Ontario, des États-Unis et de l’Acadie de 1621 à aujourd’hui. Généalogie Québec est de loin la plus grande collection de documents généalogiques et historiques québécois sur le Web. Vous trouverez plus d’information à propos du site sur le blog de l’Institut Drouin.
1000 requêtes sur PRDH-IGD.com (Valeur de 79,99 $CAD)
Le PRDH-IGD est un répertoire de tous les actes de baptême, mariage et sépulture catholiques enregistrés au Québec entre 1621 et 1849, soit plus de 2,5 millions d’actes répertoriés, ainsi qu’un dictionnaire généalogique des familles qu’on surnomme les reconstructions familiales.
Ce qui fait du PRDH-IGD une ressource unique est la structure de sa base de données. En plus des actes de baptême, mariage et sépulture, le PRDH-IGD contient ce qu’on appelle des fiches d’individu et des fiches de famille.
Tout individu mentionné dans un acte de la base de données se voit attribuer sa fiche individuelle. De même, tout couple marié mentionné dans un acte se voit attribuer une fiche de famille. Ces fiches regroupent tous les actes et l’information disponible sur les individus et familles en question.
Les abonnements au PRDH fonctionnent par requête. Ces requêtes vous permettent de consulter l’entièreté des éléments du site (fiches d’acte, d’individu, de famille ou d’union) jusqu’à leur écoulement.
Une requête se comptabilise à chaque fois qu’une fiche d’acte, d’individu, de famille ou d’union est affichée. Cependant, la recherche initiale qui permet d’atteindre une liste de résultats est gratuite. Vous trouverez plus de détails sur la structure de la base de données à cette adresse.
200$ à dépenser sur notre boutique en ligne (Valeur de 200 $CAD)
La boutique de l’Institut Drouin comprend tous les livres et CD-ROM produits par l’Institut généalogique Drouin, soit plus de 4000 items. On y trouve aussi des répertoires et livres historiques provenant de diverses sociétés d’histoire et de généalogie du Québec, de l’Ontario et des États-Unis. Vous aurez 200$ de crédit à l’achat de tout produit sur la boutique si vous choisissez ce prix.
Règles
Pour être éligible au tirage, vous devez posséder un compte Généalogie Québec qui a été créé ou sur lequel vous vous êtes connecté au moins une fois entre le 22 février 2021 et le 8 mars 2021 à 15 h 00 heure de l’Est.
Ce concours prend fin le 8 mars 2021 à 15 h 00 heure de l’Est, auquel moment les gagnants seront choisis aléatoirement. Le tirage aura lieu à cette heure.
Les 10 gagnants seront contactés par courriel une heure après le tirage (8 mars 2021 à 16 h 00 heure de l’Est), et auront jusqu’au 10 mars 2021 à 16 h 00 heure de l’Est pour réclamer leur prix. Les prix non réclamés à ce moment feront objet d’un nouveau tirage le 10 mars 2021 à 16 h 00 heure de l’Est, et ne pourront plus être réclamés par les gagnants initiaux.
48 h après le tirage initial, si nécessaire, un nouveau tirage sera effectué pour attribuer les prix non réclamés à de nouveaux gagnants. Ceux-ci auront aussi 48 h pour réclamer leur prix. Ce processus sera répété tant que les 10 gagnants n’auront pas été sélectionnés.
Les 10 gagnants seront annoncés publiquement sur notre Page Facebook et via notre infolettre une fois les 10 prix distribués.
Sont exclus de ce concours : Tout employé ou représentant de l’Institut généalogique Drouin et les personnes avec qui ils sont domiciliés. Tout compte institutionnel (bibliothèque, société, musée, établissement scolaire, etc.).
Un différend quant à l’organisation ou à la conduite d’un concours publicitaire peut être soumis à la Régie des alcools, des courses et des jeux afin qu’il soit tranché. Un différend quant à l’attribution d’un prix peut être soumis à la Régie uniquement aux fins d’une intervention pour tenter de le régler.
Il est interdit de créer plusieurs comptes Généalogie Québec afin d’augmenter ses chances de remporter le tirage. Les individus créant plus d’un compte à cette fin seront disqualifiés.
Afin de sélectionner les 10 gagnants, une liste sera produite à partir des personnes éligibles au tirage. Chaque individu dans cette liste se verra attribuer un numéro (1, 2, 3, et ainsi de suite). Un générateur de nombres aléatoires sera utilisé pour produire une liste de 10 nombres, et les individus associés à ces nombres seront les gagnants du concours.
Un abonnement présentement ou anciennement actif sur Généalogie Québec n’est PAS nécessaire afin d’être éligible à ce concours.
Si vous avez des questions, vous pouvez nous rejoindre à l’adresse contact@institutdrouin.com.
Plus de 500 000 avis de décès provenant de journaux québécois, ontariens et américains ont été ajoutés à la section Nécrologe, une des 15 collections disponibles aux abonnés de Généalogie Québec.
Voici la liste des sources (lieu ou publication) de provenance de ces nouvelles notices nécrologiques:
Brockville, Ontario
Chesterville, Morrisburg et Winchester, Ontario (principalement de 2003 à 2007)
Evening Citizen, Ottawa, Ontario (1949)
Journal de Montréal, Québec
Journaux de Tampa Bay, Floride (années 2000)
Valleyfield, Québec (années 2000)
La Nouvelle, Ontario (2001)
Le Carillon d’Hawkesbury, Ontario (années 80 et 90)
Le Droit d’Ottawa, Ontario (21e siècle)
Le Quotidien de Chicoutimi, Québec (1999 à 2006)
Le Reflet, Lachute, Québec
Massena Observer, New York (2002 à 2005)
Northern Times, Kapuskasing, Ontario (années 90 et 2000)
Ogdensburg et Watertown, New York
Ottawa Citizen, Ontario (années 90 à 2018)
Cornwall Standard Freeholder, Ontario (1904 à 2017)
Sudbury Voyageur, Ontario (années 80, 90 et 2000)
The Glengarry News, Ontario
The Vision, Comté Prescott Russell, Ontario
Women Dixon Institute, Cornwall, Ontario.
Notices nécrologiques de l’Ontario de la Collection Cayer (1960 à 2010)
Ces nécrologies sont indexées sous le nom et le prénom du sujet ainsi que la date de décès. Vous pouvez les consulter dès aujourd’hui avec un abonnement à Généalogie Québec à cette adresse.
Veuillez noter que le document original est absent pour certaines notices. Les images manquantes seront ajoutées dès que possible.
La section Nécrologe
Cette section regroupe la majorité des collections d’avis de décès, de cartes mortuaires et de pierres tombales disponibles sur Généalogie Québec. Elle est divisée en 4 sous-sections:
Avis de décès internet, qui contient 2 500 000 avis de décès publiés sur Internet entre 1999 et aujourd’hui.
Avis de décès journaux, qui contient maintenant plus de 1 250 000 avis de décès publiés dans des journaux entre 1860 et aujourd’hui.
Pierres tombales, qui contient 710 000 photos de pierres tombales provenant de centaines de cimetières du Québec et de l’Ontario.
Cartes mortuaires, qui contient des dizaines de milliers de cartes mortuaires publiées entre 1860 et aujourd’hui.
Ces collections sont indexées et peuvent être explorées à l’aide d’un engin de recherche.
Vous pouvez consulter ces documents ainsi que des dizaines de millions d’images et de fiches d’intérêt généalogique et historique en vous abonnant à Généalogie Québec.
Pour terminer, nous aimerions remercier Généalogie et archives Saint-Laurent et particulièrement Norbert Lussier, sans qui cette impressionnante collection d’avis de décès n’aurait pas vu le jour.