Le Fichier Connolly est l’un des 15 outils offerts aux abonnés de Généalogie Québec. Il s’agit d’un index de baptêmes, mariages et sépultures catholiques et protestants provenant principalement du Québec et couvrant une période s’étalant de 1621 à aujourd’hui. Au total, on dénombre 6 839 262 fiches de baptême, mariage et sépulture dans l’outil.
Utiliser le Fichier Connolly
Le Fichier Connolly est équipé d’un engin de recherche spécifique à chaque type d’acte qu’il contient, soit des baptêmes, des mariages et des sépultures. Les champs de recherche diffèrent selon le type d’acte, mais les champs de base tels que le nom et prénom du sujet, la date et le lieu sont toujours présents.
Engin de recherche du Fichier Connolly pour les baptêmes
Pour débuter votre recherche, il vous suffit de remplir les champs de votre choix et d’appuyer sur « Rechercher ». Vous obtiendrez alors une liste de résultats.
Liste de résultats produite par une recherche pour le nom « Pierre Loiselle »
Les résultats sont présentés sous forme de fiches. La fiche contient toute l’information indexée depuis l’acte original.
Boutons de recherche automatique
Sur les fiches, vous remarquerez des boutons de recherche automatiques. Ces boutons vous permettent d’effectuer une recherche automatique dans le Fichier Connolly via un simple clique. Dans la section Baptêmes, le bouton est « Recherche du mariage des parents ».
Dans la section Mariages, vous trouverez 6 boutons par fiche. Ces boutons vous permettent d’effectuer une recherche automatique pour les parents, le baptême et la sépulture des sujets.
Finalement, la section sépultures vous permet d’effectuer une recherche automatique pour les parents ou pour le mariage du sujet, selon le cas.
Attention! Si une recherche automatique ne produit pas de résultats, il ne faut pas présumer que l’acte recherché n’existe pas dans le Fichier Connolly. Il est très possible, par exemple, qu’un individu ait été nommé différemment d’un acte à l’autre, ou que le prêtre ait commis une erreur dans la rédaction d’un acte. Nous vous recommandons fortement d’effectuer une recherche manuelle lorsque la recherche automatique ne produit aucun résultat, et d’essayer plusieurs combinaisons de noms et prénoms si vos recherches initiales ne sont pas fructueuses.
Conseils de recherche
Le Fichier Connolly permettant de rechercher par de nombreuses variables, il peut être tentant de remplir un maximum de ces champs lorsqu’on y effectue une recherche. Cependant, nous vous recommandons de garder votre recherche initiale la plus vague possible, et de la préciser au besoin en y ajoutant une information à la fois. Lorsque le nom ou le prénom recherché est peu commun, il est rarement nécessaire d’ajouter davantage d’information à la recherche.
Plus une recherche est pointue, plus elle risque d’omettre le résultat recherché, puisque tous les champs remplis doivent correspondre. Par exemple, une recherche initiale pourrait débuter avec le nom et le prénom du sujet recherché. Si le nombre de résultat est trop élevé, on peut alors y ajouter une variable telle que l’année de naissance ou le nom de famille d’un autre individu mentionné dans l’acte. Souvent, le simple fait d’ajouter une troisième variable suffit à préciser la recherche de manière suffisante.
Comme dans plusieurs autres de nos outils, vous pouvez utiliser le caractère “%” afin de rechercher une partie d’un nom. Par exemple, une recherche pour “Lar%” vous donnera tous les actes où un nom débutant par “Lar”, tels que Larrivière, Larramée, Larue, etc., est mentionné. Ceci vous permet d’effectuer des recherches plus génériques et est particulièrement pertinent pour les noms à multiples orthographes.
Trouver l’acte original à partir d’une fiche du Fichier Connolly
Vous aurez remarqué que les fiches du Fichier Connolly ne permettent pas de consulter les actes originaux depuis lesquels elles sont créées. Cependant, en tant qu’abonné à Généalogie Québec, vous avez accès à l’entièreté des registres paroissiaux du Québec jusqu’en 1940 via les Registres du Fonds Drouin. Vous pouvez donc retrouver la majorité des actes originaux associés aux fiches du Fichier Connolly via la date et le nom de paroisse donné dans chaque fiche.
Comme exemple, nous utiliserons la fiche de baptême de Jean-Louis Girard.
Celle-ci nous apprend que Jean-Louis est né le 10 octobre 1923 à Bagotville, dans la paroisse de St-Alphonse-de-Liguori. Afin de retrouver l’acte original, il s’agit donc de trouver le registre paroissial de cette paroisse pour l’année 1923 dans les Registres du Fonds Drouin.
Une fois dans les Registres du Fonds Drouin, vous constaterez que les différents registres sont classés par arborescence. Étant donné que l’acte qui nous intéresse a été enregistré au Québec, c’est ce dossier que nous ouvrirons. Une fois dans le dossier Québec, il faut maintenant trouver la paroisse recherchée. Certaines paroisses seront enregistrées sous le nom de la ville ou de la région qu’elles desservent, alors que d’autres le seront selon le nom même de la paroisse. Dans le cas de St-Alphonse-de-Liguori, la paroisse est classée selon la ville qu’elle dessert, soit Bagotville.
Une fois le dossier ouvert, il s’agit de naviguer jusqu’à l’année recherchée afin d’atteindre la liste des images contenues dans le registre pour cette année. Il est important de savoir que dans la plupart des cas, les images sont classées en ordre chronologique. La première image de ce dossier contiendra donc les premiers actes enregistrés lors de cette année, soit les actes du début du mois de Janvier, alors que les actes de fin décembre se trouveront parmi les dernières images. Comme le baptême de Jean-Louis a été célébré le 10 octobre, il est probable que l’acte se trouve plutôt parmi les dernières images que les premières. Il est possible que vous ayez à naviguer à travers quelques images afin de retrouver l’acte recherché.
Ainsi, nous avons été en mesure de retrouver l’acte original à partir de l’information contenue dans la fiche du Fichier Connolly.
Il s’agit d’un index d’actes de baptême, mariage et sépulture catholiques et protestants provenant principalement du Québec. L’outil contient plus de 1.2 millions d’actes et est séparé en 3 sections; baptêmes, mariages, sépultures.
Les régions couvertes par l’outil sont:
Le bas St-Laurent (1727 à 2011)
Les Laurentides (1727 à 2011)
L’Outaouais (1727 à 2011)
La Mauricie, région de Shawinigan (1846 à 1999)
La ville de St-Hubert (1727 à 2011)
De plus, la section mariage contient quelques 120 000 actes de mariage provenant de l’Ontario et des États-Unis datés d’entre le 17e siècle et la fin du 20e siècle.
Utiliser le Petit NBMDS
Le Petit NBMDS est équipé d’un engin de recherche spécifique à chaque type d’acte qu’il contient, soit des baptêmes, des mariages et des sépultures.
Les champs de recherche diffèrent selon le type d’acte, mais les champs de base tels que le nom et prénom du sujet, la date et le lieu sont toujours présents.
Engin de recherche des baptêmes
Pour débuter votre recherche, il vous suffit de remplir les champs de votre choix et d’appuyer sur « Rechercher ». Vous obtiendrez alors une liste de résultats.
Résultats d’une recherche pour « Joseph Tremblay »
Les résultats sont présentés sous forme de fiches. La fiche contient toute l’information indexée depuis l’acte original.
Boutons de recherche automatique
Sur les fiches, vous remarquerez des boutons de recherche automatiques. Ces boutons vous permettent d’effectuer une recherche automatique dans le Petit NBMDS via un simple clique. Dans la section Baptêmes, le bouton est « Recherche du mariage des parents ».
Fiche de baptême du Petit NBMDS
Dans la section Mariages, vous trouverez 6 boutons par fiche. Ces boutons vous permettent d’effectuer une recherche automatique pour les parents, le baptême et la sépulture des sujets.
Fiche de mariage du Petit NBMDS
Finalement, la section sépultures vous permet d’effectuer une recherche automatique pour les parents ou pour le mariage du sujet, selon le cas.
Fiche de sépulture du Petit NBMDS
Attention! Si une recherche automatique ne produit pas de résultats, il ne faut pas présumer que l’acte recherché n’existe pas dans le Petit NBMDS. Il est très possible, par exemple, qu’un individu ait été nommé différemment d’un acte à l’autre, ou que le prêtre ait commis une erreur dans la rédaction d’un acte. Nous vous recommandons fortement d’effectuer une recherche manuelle lorsque la recherche automatique ne produit aucun résultat, et d’essayer plusieurs combinaisons de noms et prénoms si vos recherches initiales ne sont pas fructueuses.
Conseils de recherche
Le Petit NBMDS permettant de rechercher par de nombreuses variables, il peut être tentant de remplir un maximum de ces champs lorsqu’on y effectue une recherche. Cependant, nous vous recommandons de garder votre recherche initiale la plus vague possible, et de la préciser au besoin en y ajoutant une information à la fois. Lorsque le nom ou le prénom recherché est peu commun, il est rarement nécessaire d’ajouter davantage d’information à la recherche.
Plus une recherche est pointue, plus elle risque d’omettre le résultat recherché, puisque tous les champs remplis doivent correspondre.
Par exemple, une recherche initiale pourrait débuter avec le nom et le prénom du sujet recherché. Si le nombre de résultat est trop élevé, on peut alors y ajouter une variable telle que l’année de naissance ou le nom de famille d’un autre individu mentionné dans l’acte. Souvent, le simple fait d’ajouter une troisième variable suffit à préciser la recherche de manière suffisante.
Comme dans plusieurs autres de nos outils, vous pouvez utiliser le caractère “%” afin de rechercher une partie d’un nom. Par exemple, une recherche pour “Lar%” vous donnera tous les actes où un nom débutant par “Lar”, tels que Larrivière, Larramée, Larue, etc., est mentionné. Ceci vous permet d’effectuer des recherches plus génériques et est particulièrement pertinent pour les noms à multiples orthographes.
Trouver l’acte original à partir d’une fiche du Petit NBMDS
Vous aurez remarqué que les fiches du Petit NBMDS ne permettent pas de consulter les actes originaux depuis lesquels elles sont créées. Cependant, en tant qu’abonné à Généalogie Québec, vous avez accès à l’entièreté des registres paroissiaux du Québec jusqu’en 1940 via les Registres du Fonds Drouin. Vous pouvez donc retrouver la majorité des actes originaux associés aux fiches du Petit NBMDS via la date et le nom de paroisse donné dans chaque fiche.
Nous utiliserons la fiche de baptême d’Adélaide Boucher comme exemple.
Fiche de baptême d’Adelaide Boucher dans le Petit NBMDS
La fiche nous indique qu’Adélaide est née le 14 octobre 1818 et baptisée dans la paroisse de St-Eustache. Afin de trouver le document original associé à ce baptême, nous devrons parcourir le registre paroissial de la paroisse de St-Eustache dans les Registres du Fonds Drouin.
Dossier Québec dans les Registres du Fonds Drouin
Une fois dans les Registres du Fonds Drouin, vous constaterez que les différents registres sont classés par arborescence. Étant donné que l’acte qui nous intéresse a été enregistré au Québec, c’est ce dossier que nous ouvrirons. Une fois dans le dossier Québec, il faut maintenant trouver la paroisse recherchée.
Certaines paroisses seront enregistrées sous le nom de la ville ou de la région qu’elles desservent, alors que d’autres le seront selon le nom même de la paroisse. Dans le cas de St-Eustache, les différentes paroisses de la ville se trouvent sous le nom de celle-ci.
Registre de St-Eustache pour 1818
En consultant le dossier St-Eustache dans les Registres du Fonds Drouin, on constate que celui-ci contient plusieurs sous-dossiers associés à différentes paroisses. Ne pouvant savoir dans quelle paroisse ce baptême a été enregistré, nous devrons y aller un dossier à la fois et procéder par élimination.
Une fois le bon dossier ouvert, il s’agit de naviguer jusqu’à l’année recherchée afin d’atteindre la liste des images contenues dans le registre pour cette année. Il est important de savoir que dans la plupart des cas, les images sont classées en ordre chronologique. La première image de ce dossier contiendra donc les premiers actes enregistrés lors de cette année, soit les actes du début du mois de Janvier, alors que les actes de fin décembre se trouveront parmi les dernières images.
Comme le baptême d’Adélaide a été célébré le 14 octobre, il est probable que l’acte se trouve plutôt parmi les dernières images que les premières. Il est possible que vous ayez à naviguer à travers quelques images afin de retrouver l’acte recherché.
Document original du baptême d’Adélaide Boucher
Ainsi, nous avons été en mesure de retrouver l’acte original à partir de l’information contenue dans la fiche du Petit NBMDS.
Il s’agit d’un index détaillé de formulaires de mariage et de décès enregistrés au Québec entre 1926 et 1997, toutes dénominations religieuses confondues. L’outil recense un total de 5 286 169 formulaires. Le document original peut être consulté dans le cas des mariages.
Exemple d’un formulaire de mariage tiré de l’outil Mariages et Décès 1926-1997
Vous pouvez consulter l’outil Mariages et Décès 1926-1997 ainsi que des dizaines de millions de documents et d’images à caractère historique et généalogique en vous abonnant à Généalogie Québec dès aujourd’hui!
Trouver l’acte paroissial associé à un formulaire de l’outil Mariages et Décès 1926-1997
Puisque les formulaires de la collection Mariages et Décès 1926-1997 sont associés à des événements vitaux (naissance, mariage, décès), il existe aussi, dans la plupart des cas, une version de ces événements enregistrée par l’église. Il peut être intéressant de consulter cette version, particulièrement dans le cas des décès ou l’image du formulaire n’est pas disponible sur l’outil.
En tant qu’abonné à Généalogie Québec, vous avez accès à l’entièreté des registres paroissiaux du Québec jusqu’en 1940 via les Registres du Fonds Drouin. Vous pouvez donc retrouver les actes originaux associés aux formulaires datant d’avant 1941 via l’information contenue dans ceux-ci.
Mariages
Dans le cas des mariages, la paroisse dans lequel le mariage a été enregistré est mentionnée dans le formulaire, ce qui nous permet de retrouver l’acte paroissial relativement facilement.
Comme exemple, nous débuterons avec le formulaire de mariage de Florent Beaudoin et Madeleine Lafond que nous avons trouvé dans la collection Mariages 1926-1997 sur le LAFRANCE.
Ceux-ci se sont mariés le 23 février 1935, ce qui signifie que nous pourrons vraisemblablement retrouver leur acte de mariage dans les Registres du Fonds Drouin. Le formulaire nous indique aussi que le lieu du mariage, soit la paroisse, est “Montréal – N-D-du-Rosaire”.
Afin de retrouver l’acte original, il s’agit donc de consulter le registre paroissial de cette paroisse pour l’année 1935 dans les Registres du Fonds Drouin.
Une fois dans la Collection Drouin, vous constaterez que les différents registres sont classés par arborescence. Étant donné que l’acte qui nous intéresse a été enregistré au Québec, c’est ce dossier que nous ouvrirons. Une fois dans le dossier Québec, il faut maintenant trouver la paroisse recherchée.
Certaines paroisses seront enregistrées sous le nom de la ville ou de la région qu’elles desservent, alors que d’autres le seront selon le nom même de la paroisse.
Dans le cas des paroisses montréalaises, elles sont classées sous le dossier « Mtl », puis par dénomination religieuse. On trouve la paroisse sous le nom Montréal (Notre-Dame-du-St-Rosaire).
Une fois le dossier ouvert, il s’agit de naviguer jusqu’à l’année recherchée afin d’atteindre la liste des images contenues dans le registre de cette année. Il est important de savoir que dans la plupart des cas, les images sont classées en ordre chronologique.
La première image de ce dossier contiendra donc les premiers actes enregistrés lors de l’année, soit les actes du début du mois de Janvier, alors que les actes de fin décembre se trouveront parmi les dernières images.
Cependant, dans le cas de Notre-Dame-du-St-Rosaire, les baptêmes et les mariages ont été enregistrés dans deux cahiers distincts. De ce fait, les mariages de l’année 1935 ne débutent qu’au milieu de la série d’images. Un minimum de navigation est donc nécessaire afin de retrouver l’acte qui nous intéresse.
Ainsi, nous avons été en mesure de retrouver l’acte paroissial de ce mariage à partir du formulaire civil de mariage.
Décès
Le cas des décès est un peu plus complexe, car le formulaire de décès ne nous donne pas le lieu où la sépulture a été enregistrée. Cependant, le formulaire nous donne le lieu de résidence du sujet. Il s’agit alors de consulter le registre de la paroisse qui dessert la région en question. Ceci peut être assez compliqué pour les plus grosses villes, car elles sont souvent desservies par plus d’une paroisse. Un travail de détective peut donc parfois être nécessaire.
Comme exemple, nous essaierons de trouver l’acte de sépulture associé au formulaire de décès de Louise Roy.
Celui-ci nous indique que madame Roy est décédée le 11 novembre 1928, et qu’elle habitait à St-Hyacinthe. Bien que St-Hyacinthe ne soit pas définie comme étant la ville ou le décès a été enregistré, il est fort probable qu’on y trouve tout de même la sépulture étant donné que la défunte y habitait.
En consultant le dossier St-Hyacinthe dans les Registres du Fonds Drouin, on constate que celui-ci contient plusieurs sous-dossiers associés à différentes paroisses. Ne pouvant savoir dans quelle paroisse cette sépulture a été enregistrée, nous devrons y aller un dossier à la fois. Le premier dossier est celui contenant le registre paroissial de la Cathédrale de St-Hyacinthe, qui semble être la paroisse la plus ancienne de la ville.
Le décès étant survenu en novembre, nous débutons notre consultation parmi les dernières images. Il est important de noter qu’il est très possible que la sépulture n’ait pas été enregistré le jour même du décès. Il était commun qu’une sépulture ne soit enregistrée qu’une ou 2 journées après le décès de la personne concernée. En parcourant le registre, il faut donc garder en tête que la date d’enregistrement pourrait être le 12 ou même le 13 novembre 1928.
En effet, la sépulture fut enregistrée le 13 novembre. Nous avons maintenant été en mesure d’associer un document original au formulaire trouvé dans la collection Mariages et Décès 1926-1997, ce qui nous donne accès à un complément d’information très intéressant pour nos recherches.
Cette section regroupe la majorité des collections d’avis de décès, de cartes mortuaires et de pierres tombales disponibles sur le site. Elle est divisée en 4 sous-sections:
Avis de décès internet, qui contient des avis de décès publiés sur Internet entre 1999 et aujourd’hui.
Avis de décès journaux, qui contient des avis de décès publiés dans des journaux entre 1860 et aujourd’hui.
Pierres tombales, qui contient des photos de pierres tombales provenant de centaines de cimetières du Québec et de l’Ontario.
Cartes mortuaires, qui contient des dizaines de milliers de cartes mortuaires publiées entre 1860 et aujourd’hui.
Toutes ces sous-sections sont indexées et peuvent être consultées via un engin de recherche.
Avis de décès Internet
Cette section contient des avis de décès provenant de diverses maisons funéraires et journaux canadiens. Ces avis datent de 1999 à aujourd’hui. La section est mise à jour de manière hebdomadaire, avec l’ajout de plusieurs milliers de nouvelles notices par mois. Elle contient, en date de novembre 2019, près de 2,7 millions de notices nécrologiques.
Avis de décès de Suzanne Bertrand provenant des avis de décès Internet de Généalogie Québec
Utiliser les avis de décès Internet
La section avis de décès Internet est équipée d’un engin vous permettant de rechercher par nom, prénom, date, ainsi que le contenu du texte de la notice.
De plus, les notices sont organisées par catégories de province, ville et publication.
Ceci vous permet de consulter manuellement tous les avis d’une ville, d’une région ou d’une publication de votre choix .
Avis de décès journaux
Cette section contient près de 1 300 000 avis de décès publiés dans des journaux au Québec entre 1860 et aujourd’hui.
Utiliser les avis de décès journaux
La section est munie d’un engin de recherche vous permettant de rechercher par nom, prénom et date de décès du défunt.
Il est toujours conseillé de garder ses recherches initiales plus vagues et de les préciser si le nombre de résultats est trop élevé. Par exemple, il peut être préférable d’omettre le prénom du défunt dans votre recherche si vous y incluez déjà son nom de famille et l’année de son décès. Effectuer plusieurs variations de votre recherche (nom de famille + date, prénom + nom de famille, prénom + date, etc.) peut aussi augmenter vos chances de retrouver la notice recherchée, dans l’éventualité où l’une des informations entrées serait erronée.
Afin de consulter une notice nécrologique, il vous suffit de cliquer sur celle-ci.
Vous pouvez utiliser le caractère “%” afin de rechercher un nom partiel. Une recherche pour “Des%” trouvera toutes les nécrologies où le sujet porte un nom débutant par “Des” (Desjarlais, Desjardins, Desaulniers, etc.). Ceci vous permet d’effectuer des recherches plus génériques et est particulièrement pertinent pour les noms à orthographes multiples.
Cartes mortuaires
Cette section contient près de 100 000 cartes mortuaires publiées entre 1860 et aujourd’hui. La plupart de ces cartes portent sur des individus décédés au Québec.
Utiliser les cartes mortuaires
La collection « Cartes mortuaires » est équipée d’un engin de recherche vous permettant de rechercher par nom et prénom du défunt ainsi que par la date de décès.
Comme avec les avis de décès journaux, il est toujours conseillé de garder votre recherche initiale vague et de la préciser si le nombre de résultats est trop élevé. Par exemple, il peut être préférable d’omettre la date de décès dans votre recherche si vous y incluez déjà le nom et le prénom du défunt.
Afin de consulter un résultat, il vous suffit de cliquer sur celui-ci.
Vous pouvez aussi utiliser le caractère “%” afin de rechercher une partie d’un nom. Par exemple, une recherche pour “Lar%” vous donnera toutes les cartes mortuaires dont le sujet porte un nom débutant par “Lar” (Larivière, Larue, Laramée, etc.) . Ceci vous permet d’effectuer des recherches plus génériques et est particulièrement pertinent pour les noms à orthographes multiples.
Pierres tombales
Cette section contient 740 000 photos de pierres tombales, accompagnées d’un index détaillé, provenant de divers cimetières du Québec et de l’Ontario. Vous trouverez la liste de ces cimetières à cette adresse.
Utiliser les pierres tombales
La section est munie d’un engin vous permettant de rechercher par nom de famille ou par texte, soit l’inscription sur la pierre. Vous pouvez limiter votre recherche à un cimetière spécifique ou rechercher dans tous les cimetières disponibles.
La case Texte peut être utilisée pour rechercher les noms des autres individus inscrits sur la pierre, souvent le ou la conjoint(e) ou les enfants du couple. Elle peut aussi contenir la date de naissance et/ou de décès du ou des défunts. Si votre recherche initiale ne vous permet pas de retrouver la pierre recherchée, n’hésitez pas à tenter une recherche à partir des informations complémentaires que vous possédez sur le défunt. Par exemple, vous pourriez retrouver la pierre tombale d’un individu en recherchant son année de décès et le nom de sa femme plutôt qu’en recherchant son nom directement.
Lorsque vous effectuez une recherche, les résultats sont présentés sous forme de fiches. Chaque fiche contient le nom du défunt, le nom du cimetière, la date où la photo de la pierre tombale a été prise, et le texte inscrit sur la pierre. Pour consulter la photo de la pierre elle-même, vous n’avez qu’à cliquer à l’intérieur de la fiche appropriée.
Comme avec les cartes mortuaires et les avis de décès journaux, le caractère “%” peut être utilisé pour rechercher un nom partiel.
C’est avec le LAFRANCE que vous effectuerez la majorité de vos recherches sur Généalogie Québec, puisqu’il contient plus de 10 940 000 actes de naissances, mariages et décès du Québec, de l’Ontario, de l’Acadie et des États-Unis. Les actes sont répartis comme suit :
Tous les mariages catholiques du Québec de 1621 à 1918
Tous les mariages protestants du Québec de 1760 à 1849
Tous les mariages enregistrés par le gouvernement du Québec entre 1926 et 1997
Tous les baptêmes et sépultures catholiques de Québec de 1621 à 1861
Tous les décès enregistrés par le gouvernement du Québec entre 1926 et 1997
1,7 million de mariages de diverses sources au Québec, en Ontario et aux États-Unis de 1919 à aujourd’hui
Des dizaines de milliers d’actes supplémentaires du Québec, de l’Ontario et de l’Acadie
Sur le LAFRANCE, vous trouverez ces actes paroissiaux sous 2 formats:
Document original – il s’agit d’une image numérisée du registre paroissial original, tel qu’il fut rédigé à l’époque.
Image du registre paroissial de St-Philippe, tirée de la collection Drouin
Fiche de l’acte – Chaque acte se voit attribué une fiche sur laquelle se trouve l’information pertinente extraite de l’acte original, soit les noms, les dates, les rôles dans l’acte, les professions, les liens de parentés, l’état civil, etc.
Fiche d’un acte de mariage tirée du LAFRANCE
Utiliser le LAFRANCE
Le LAFRANCE est divisé en 3 sections de recherche: Mention, Couple et Lieu. Ces sections vous permettent d’effectuer des recherches pour un individu, un couple, ou pour les actes enregistrés dans une paroisse spécifique, respectivement.
Mention
L’engin de recherche Mention vous permet de rechercher toutes les mentions d’un individu dans les actes répertoriés par le LAFRANCE.
Nom et surnom – Nom(s) de famille de la personne recherchée
Prénom – Prénom de la personne recherchée
Ressemblance – Permet plus de variabilité dans les noms recherchés et donc une recherche plus vague, explication détaillée plus bas dans l’article
Période – Plage de dates dans laquelle la recherche est effectuée. Laisser vide pour inclure toutes les années couvertes par la base.
Rôle dans l’acte – Rôle de l’individu recherché dans l’acte (Sujet de l’acte, conjoint du sujet de l’acte, père du sujet de l’acte, mère du sujet de l’acte)
Type d’acte – Baptême, mariage ou sépulture
Sexe – Homme, femme ou indéterminé
Paroisse – Pour limiter la recherche à une paroisse spécifique
Couple
L’engin de recherche Couple vous permet de recherche toutes les mentions d’un couple dans les actes du LAFRANCE. Un couple peut être le sujet d’un mariage, ou les parents du ou des sujets dans un baptême, un mariage ou une sépulture. Un couple peut aussi être le sujet d’une sépulture et son ou sa conjoint(e).
Nom et surnom de l’homme – Nom(s) de famille de l’homme
Prénom de l’homme – Prénom de l’homme
Nom et surnom de la femme – Nom(s) de famille de la femme
Prénom de la femme – Prénom de la femme
Ressemblance – Permet plus de variabilité dans les noms recherchés et donc une recherche plus vague, explication détaillée plus bas dans l’article
Période – Plage de dates dans laquelle la recherche est effectuée. Laisser vide pour inclure toutes les années couvertes par la base.
Rôles – Rôles que porte le couple dans l’acte, soit Sujet-Sujet (mariage), Père-Mère (mariage, baptême, sépulture) et Sujet-Conjoint (sépulture)
Paroisse – Pour limiter la recherche à une paroisse spécifique
Lieu
L’engin de recherche Lieu vous permet de rechercher tous les actes d’une paroisse spécifique. Vous pouvez limiter cette recherche à une plage de dates et au type d’acte voulu (baptême, mariage ou sépulture)
Paroisse – Sélectionner la paroisse dans laquelle rechercher
Période – Plage de dates dans laquelle la recherche est effectuée. Laisser vide pour inclure toutes les années couvertes par la base.
Type d’acte – Baptême, mariage, sépulture
Résultats d’une recherche
Pour effectuer une recherche, il vous suffit de remplir le ou les champs de votre choix puis d’appuyer sur Rechercher. Vous atteindrez alors une liste de résultats basée sur vos critères de recherche.
Résultats d’une recherche pour un couple Roy – Lavoie sur le LAFRANCE
Num.: Numéro de l’acte, attribué à des fins de classement dans la base de données
Date: Date de rédaction de l’acte
Type: Le type d’acte en question, soit b (baptême), s (sépulture) et m (mariage)
Paroisse: Paroisse où l’événement fut célébré
Rôles: Rôles que les individus recherchés tiennent dans l’acte, soit P-M (Père et Mère), S-C (Sujet et Conjoint) ou S-S (Sujet et Sujet, réservé aux couples qui se marient)
Âge: Âge du ou des sujets, maj pour majeur et min pour mineur
Noms: Il s’agit de la version standardisée du nom recherché. Vous trouverez plus de détails sur la standardisation des noms plus tard dans ce guide.
Cliquer sur le nom de la paroisse vous amènera à l’emplacement de cette paroisse sur notre carte interactive des paroisses catholiques du Québec.
Cliquez sur cette image pour accéder à la carte des paroisses
Pour atteindre la fiche de l’acte, vous devrez cliquer sur la date associée à cet acte dans la liste des résultats.
La fiche de l’acte contient toute l’information pertinente extraite depuis le document original. Vous y trouverez le nom du ou des sujet(s) et des parents, le rôle et le lien de parenté entre chaque individu mentionné dans l’acte, la date de rédaction de l’acte ainsi que la date de l’événement, l’état civil du ou des sujets, l’âge du ou des sujets, et encore plus.
Pour voir le document original lui même, cliquez sur le lien à l’image qui se trouve sous la date d’événement.
Noms « dit »
Si vous avez déjà effectué des recherches généalogiques au Québec, il est probable que vous ayez eu à faire à des noms “dit”. Un nom “dit” était utilisé pour distinguer les noms de familles similaires se trouvant dans une même région. Dans le contexte de la recherche généalogique, on peut considérer les noms dit comme un second nom de famille donné à un individu.
Par exemple, Roy dit Desjardins est une combinaison courante de noms “dit”. Si vous descendez de la ligne Roy dit Desjardins, vos ancêtres pourraient avoir porté le nom Desjardins, Roy, ainsi que Roy dit Desjardins au fil des générations. Cela peut porter à confusion si vous n’êtes pas familier avec le concept des noms “dit” puisque vos ancêtres pourraient être passé d’un nom à l’autre au fil des actes.
C’est pourquoi vous trouverez, sur le LAFRANCE, une fenêtre dédiée aux associations de noms et surnoms “dit”. Vous trouverez cette fenêtre dans l’engin de recherche.
Lorsque vous entrez un nom de famille à rechercher, vous verrez apparaître les noms “dit” associés à ce nom de famille selon leur fréquence dans la base de données. Cet outil est très utile car il peut vous permettre de retracer une lignée ayant porté différents noms de famille au fil des générations. Par exemple, si vous ne retrouvez pas le mariage des parents de votre ancêtre Pierre Desjardins, vous saurez qu’il est possible que le père de Pierre Desjardins ait porté le nom Roy à son mariage, vous permettant ainsi de retracer l’acte en question.
Pour plus d’information sur les surnoms et les « noms dit » Canadiens-français, consultez cet article sur notre blog.
Standardisation des noms
Le LAFRANCE utilise un dictionnaire de noms, qui associe un nom à toutes ses variations. Par exemple, une recherche pour un individu portant le nom de famille Gauthier va produire une liste de résultats contenant toute mention du nom Gauthier ainsi que toutes ses variations, telles que Gautier, Gaulthier, Gotier, etc. Il n’est donc pas nécessaire d’effectuer plusieurs recherches pour les différentes variations d’un nom de famille.
Toutes les variations du nom Lavoie sur le LAFRANCE
Vous pouvez consulter le dictionnaire de noms du LAFRANCE à cette adresse.
Veuillez noter que lorsque vous effectuez une recherche sur le LAFRANCE, la liste de résultats affichera toujours le nom standard associé à la graphie recherchée. Cependant, le certificat de l’acte vous donnera la graphie spécifique utilisée dans l’acte original.
La fonction ressemblance
La fonction ressemblance permet d’élargir sa recherche en recherchant tous les patronymes semblables à celui recherché. La fonction ressemblance va au delà de la standardization des noms, car elle englobe non seulement les divers variations d’un même patronyme, mais aussi les noms semblables à celui-ci au niveau de l’orthographe et de la phonétique. Par exemple, une recherche pour le nom Gauthier, en plus d’inclure les différentes variations mentionnées plus tôt, inclura aussi les noms Gonthier, Vauthier, Gouthier, Authier ainsi que leurs nombreuses variations.
Vous pouvez activer la fonction ressemblance en cochant la case à cet effet dans le moteur de recherche du LAFRANCE.
Nous vous recommandons d’utiliser la fonction ressemblance en tout temps.
Conseils de recherche
L’engin de recherche du LAFRANCE permettant de rechercher par de nombreuses variables, il peut être tentant de remplir un maximum de ces champs lorsqu’on y effectue une recherche. Cependant, nous vous recommandons de garder votre recherche initiale la plus vague possible, et de la préciser au besoin en y ajoutant une information à la fois. Lorsque le nom ou le prénom recherché est peu commun, il est rarement nécessaire d’ajouter davantage d’information à la recherche.
Plus une recherche est pointue, plus elle risque d’omettre le résultat recherché, puisque tous les champs remplis doivent correspondre. Par exemple, une recherche initiale pourrait débuter avec le nom et le prénom du sujet recherché. Si le nombre de résultats est trop élevé, on peut alors y ajouter une variable telle que l’année de naissance ou le nom de famille d’un autre individu mentionné dans l’acte. Souvent, le simple fait d’ajouter une troisième variable suffit à préciser la recherche de manière suffisante.
Nous vous recommandons aussi, au besoin, d’essayer plusieurs combinaisons de noms lorsque vous cherchez un acte. Par exemple, imaginons que nous étions à la recherche du mariage de Louis Lamontagne et de Cécile Dubé. Il est possible, pour divers raisons, qu’un des époux porte un nom partiellement différent dans son acte de mariage. Si par exemple une recherche pour “Lamontagne” au nom de l’homme et “Dubé” au nom de la femme ne vous permet pas de retrouver ce mariage, il peut être intéressant d’essayer d’autres combinaisons:
Prénom de l’homme: Louis
Nom de l’homme: vide
Prénom de la femme: vide
Nom de la femme: Dubé
OU
Prénom de l’homme: vide
Nom de l’homme: Lamontagne
Prénom de la femme: Cécile
Nom de la femme: vide
Et ainsi de suite. De ce fait, si une erreur existe au niveau d’un des noms ou prénoms des sujets, vous serez quand même en mesure de retrouver l’acte.
Finalement, comme dans plusieurs autres de nos outils, vous pouvez utiliser le caractère “%” afin de rechercher une partie d’un nom. Par exemple, une recherche pour “Lar%” vous donnera tous les actes où un nom débutant par “Lar”, tels que Larrivière, Larramée, Larue, etc., est mentionné. Ceci vous permet d’effectuer des recherches plus génériques et est particulièrement pertinent pour les noms à multiples orthographes.
Consulter une fiche d’individu PRDH-IGD à partir du LAFRANCE
Si vous êtes abonné à PRDH-IGD.com en plus de GenealogieQuebec.com, vous pouvez consulter la fiche PRDH-IGD des individus mentionnés dans les actes du LAFRANCE.
Pour se faire, assurez-vous tout d’abord d’être connecté aux deux sites. Par la suite, il vous suffit de cliquer sur “individu prdh” dans une fiche du LAFRANCE pour être redirigé automatiquement vers la fiche d’individu appropriée sur PRDH-IGD.com
En cliquant sur la mention encerclée en rouge, vous passez d’une fiche d’acte sur GenealogieQuebec.com (gauche) à une fiche d’individu sur PRDH-IGD.com (droite)
La fiche d’individu regroupe toutes les mentions d’un individu dans la base de données, soit son baptême, sa sépulture et son mariage. La fiche d’individu mentionne aussi les parents ainsi que le ou la conjoint(e) de l’individu. Vous trouverez plus d’information sur la fiche d’individu et sur le PRDH-IGD dans cet article.
Vous pouvez aussi en apprendre plus sur les similarités et les différences en PRDH-IGD et GenealogieQuebec.com sur cette page.
Les Registres du Fonds Drouin, aussi appelés “collection Drouin”, sont une collection d’images de registres paroissiaux (baptêmes, mariages et sépultures) et d’autres documents divers couvrant le Québec et l’Acadie française ainsi qu’une partie de l’Ontario, du Nouveau-Brunswick et du Nord-Est des États-Unis.
Cette collection massive contient notamment l’entièreté de l’État civil québécois de 1621 aux années 1940, et répertorie donc la quasi-totalité des individus ayant vécu au Québec durant cette période, ce qui en fait un outil inégalé pour la recherche généalogique dans la province.
Les Registres du Fonds Drouin sont présentés en arborescence.
On y trouve les collections suivantes:
00_Inventaire des microfilms
Acadie
Lieux de A à W
Registres paroissiaux du nord-ouest du Nouveau-Brunswick
Divers – Miscellaneous
États-Unis – USA
France
Notaires – Notaries
Ontario
Québec
Fonds Drouin
Registres paroissiaux 1621-1876
Registres paroissiaux du Fonds Létourneau (1820-2013)
Registres québécois, Actes découpés
Registres québécois, Série 4000 (1801-2008)
Recensements – Censuses
Qu’est-ce qu’un registre paroissial?
Les registres paroissiaux contiennent essentiellement trois types d’actes (baptême, mariage, sépulture) correspondant à trois sacrements conférés par l’Église catholique pour permettre d’attester de la chrétienté et de l’état matrimonial de ses membres. Ces actes paroissiaux peuvent contenir les informations suivantes :
Nom et prénom du ou des sujet(s)
Nom et prénom des parents du ou des sujet(s)
Date d’enregistrement de l’acte
Date de l’événement célébré
Paroisse dans laquelle l’événement a été célébré
Lieu d’origine et/ou de résidence des individus mentionnés
Liste des témoins, parrain et marraine et autres individus mentionnés selon le type d’acte
Signatures du ou des sujet(s), des parents et des témoins
Âge du ou des sujet(s)
Informations complémentaires telles que l’état matrimonial, le nom du ou de la conjoint(e) précédent(e), la mention qu’un individu mentionné est décédé au moment de l’enregistrement de l’événement dans le registre, et autres.
Exemple d’un acte paroissial tel que présenté dans l’outil LAFRANCE de GenealogieQuebec.com
Si en France ils existent depuis le Moyen-Âge, c’est au 16e siècle que leur tenue est devenue obligatoire. Reproduite dans la colonie dès ses premiers jours, cette pratique ne pouvait manquer d’intéresser le pouvoir civil puisqu’elle permettait d’établir les points essentiels de l’état juridique des personnes, de sorte que l’État exigeât que les registres soient tenus en double, une copie lui étant systématiquement remise.
Dans les Registres du Fonds Drouin de Généalogie Québec, on trouve cette copie civile sous le dossier Fonds Drouin, alors que la copie religieuse de l’église se trouve sous le dossier Registres paroissiaux 1621-1876.
Cette façon de faire a perduré jusqu’au XXe siècle et les registres paroissiaux constituent aujourd’hui l’une des sources archivistiques québécoises les plus importantes par leur masse et leur utilité aux fins de l’histoire de la population.
00_Inventaire des microfilms
Ce dossier contient l’inventaire des microfilms depuis lesquels ont été numérisés l’entièreté des images de la collection Drouin.
Acadie
Lieux de A à W
Le dossier Lieux de A à W contient les registres paroissiaux de nombreuses paroisses de l’Acadie française. À noter qu’une grande partie des registres acadiens ont été perdu lors de la Déportation (1755), la plupart des registres de cette collection datent donc d’après cette date.
Les registres sont organisés en arborescence. Les images sont séparées par nom de paroisse puis par année. Certaines paroisses sont enregistrées sous le nom de la ville ou de la région qu’elles desservent, alors que d’autres le sont selon le nom même de la paroisse.
Il est important de savoir que dans la plupart des cas, les images d’une année sont classées en ordre chronologique. La première image d’un dossier contiendra donc les premiers actes enregistrés lors de cette année, soit les actes du début du mois de janvier, alors que les actes de fin décembre se trouveront parmi les dernières images.
En date de janvier 2020, ces paroisses sont actuellement en processus d’indexation et seront ajoutées graduellement au LAFRANCE, un index détaillé des registres paroissiaux du Québec, de l’Ontario et de l’Acadie disponible aux abonnés de Généalogie Québec.
Voici la liste des paroisses disponibles dans le dossier Acadie :
Acadieville
Gagetown
Remous-Bridge
Ardouane voir Cocagne
Gédaic voir Cocagne
Restigouche, comté de
Argyle (Ste-Anne)
Gloucester, comté
Rexton
Arichat
Golding-Grove
Richibouctou
Baie-des-Winds voir Cocagne
Grande-Digue
Richmond
Baie-du-Vin
Grand-Sault
Riverside
Baie-Ste-Marie (Nouvelle-Écosse)
Haute-Aboujagane
Rivière-Jacquet
Baie-Verte voir Cocagne
Hillsborough
Robertville
Balmoral
Île-du-Prince-Édouard
Rogersville
Barachois
Île-Royale
Sackville
Barnaby-River
Île-St-Jean
Scoudouc
Bartibogue
Johnville
Shédiac
Bathurst
Kent, comté de
Shemogue
Beaubassin
Kouchibouguac
Shippagan
Belledune
Lac Baker
St-André
Blackville
Lamèque
St-Andrew
Bouctouche
Loch-Lomond
St-Anselme
Boujagane voir Cocagne
Louisbourg
St-Basile
Burnt
Lower-Caraquet
St-Charles-Borromée
Cam’s River
Madawaska
St-Charles-les-Mines
Cap-Pelé
Maliseet
Ste-Anne
Caraquet
Memramcook
Ste-Anne-de-Kent
Central Kingsclear
Milltown
Ste-Anne-de-Restigouche
Charlo
Moncton
St-François-Xavier
Chatham
Mont-Carmel
St-Georges
Chigibouachis voir Cocagne
Nash Creek
St-Ignace-de-Kent
Chigibougouet voir Cocagne
Néguac (Northumberland)
St-Isidore
Chimougouis voir Cocagne
Nelson
St-Jacques
Clair
Newcastle
St-Jean
Cocagne
Comté de Northumberland
St-Léonard
Dalhousie
Norton
St-Louis-des-Français
Dorchester
Notre-Dame-de-Kent
St-Paul-de-Kent
Drummond
Paquetville
St-Stephen
Ecouipahaq
Petersville
Sunbury
Edmunston
Petit-Rocher
Sussex
Eel-Ground
Plaisance
Tracadie
Escuminac
Pokemouche-en-Bas
Victoria
Fairville
Pokemouche-en-Haut
Wellington
Fort St-Jean
Port-Royal
Westmorland
Frédéricton
Red-Bank
Woodstock
Registres paroissiaux du nord-ouest du Nouveau-Brunswick
Le dossier Registres paroissiaux du nord-ouest du Nouveau-Brunswick contient les registres paroissiaux de nombreuses paroisses du nord-ouest du Nouveau-Brunswsick jusqu’aux années 1990.
Les registres sont organisés en arborescence. Les images sont séparées par nom de paroisse puis par année. Certaines paroisses sont enregistrées sous le nom de la ville ou de la région qu’elles desservent, alors que d’autres le sont selon le nom même de la paroisse.
Il est important de savoir que dans la plupart des cas, les images d’une année sont classées en ordre chronologique. La première image d’un dossier contiendra donc les premiers actes enregistrés lors de cette année, soit les actes du début du mois de janvier, alors que les actes de fin décembre se trouveront parmi les dernières images.
Voici la liste des paroisses disponibles dans le dossier Registres paroissiaux du nord-ouest du Nouveau-Brunswick :
Aroostook
Red Rapids
Baker-Brook
Rivière-Verte
Blue Bell
Saint-André
Clair
Saint-Basile
Connors
Sainte-Anne-de-Madawaska
Drummond (Catholique)
Saint-François-Xavier
Edmunston (Immaculée-Conception)
Saint-Georges
Edmunston (Notre-Dame-des-Sept-Douleurs)
Saint-Hilaire
Edmunston (Notre-Dame-du-Sacré-Coeur)
Saint-Jacques
Fredericton (Ste-Anne)
Saint-Joseph
Grand-Sault
Saint-Léonard
Kedgwick
Saint-Léonard-Parent
Lac-Baker
Saint-Léonard-Ville
Limestone Siding
Saint-Martin
Maliseet
Saint-Quentin
Perth-Andover
St-Jean-Baptiste
Plaster Rock
Tilley
Divers
Le dossier Divers contient, comme son nom l’indique, des collections de documents divers d’intérêt historique et généalogique en tout genre.
On y trouve des registres, des archives familiales, des généalogies, des archives juridiques, des lettres, des documents religieux divers, des recensements, des cartes et bien plus encore.
Comme pour les autres sections de la collection Drouin, les dossiers y sont organisés en arborescence et leur contenu se navigue à la souris. Le nom du dossier en décrit sommairement le contenu.
États-Unis
Le dossier États-Unis contient principalement des registres paroissiaux américains couvrant plusieurs régions et périodes. La plupart des paroisses répertoriées dans cette collection se trouvent dans le Nord-Est des États-Unis et ont été sélectionnées parce qu’elles ont accueilli de nombreux Canadiens français au cours de leur existence.
Les registres sont organisés en arborescence. Les images sont séparées par État puis par nom de paroisse et par année. Certaines paroisses sont enregistrées sous le nom de la ville ou de la région qu’elles desservent, alors que d’autres le sont selon le nom même de la paroisse.
Il est important de savoir que dans la plupart des cas, les images d’une année sont classées en ordre chronologique. La première image d’un dossier contiendra donc les premiers actes enregistrés lors de cette année, soit les actes du début du mois de janvier, alors que les actes de fin décembre se trouveront parmi les dernières images.
Voici la liste des différentes paroisses et régions contenues dans cette collection :
Alabama:
Piercefield
Michigan :
Mobile
Pierrepont
Cadillac’s Village of Detroit under Cadillac
Pitcairn
Detroit Society for Genealogical Research Magazine
Arkansas :
Port Henry
Détroit, L’Assomption de Sandwich de Windsor
Fort St-Philippe
Potsdam
Détroit, Ste-Anne
Rossie
Journal «Le Francais pour Tous»
État de New York (State of New York) :
Saranac Lake
L’Arbre Croche (Mission)
American Legion Births
Schroon Lake
Makinac, Ste-Anne
Brushton
Schuyler Falls
Palena
Burke
Shoen Family Bible
St-Joseph de Michigan
Canton (Military Records)
St. Lawrence County
Chasm Falls
St. Regis Falls
Missouri :
Chateaugay
The Kalb
Florissant
Civil War Veterans 1890
Ticonderoga
St-Louis
Dickinson
Trout River
Edward (Military Records)
Tupper Lake
New York :
Edwards
Waddington
Brasher Falls voir Hogansburg
Fine
Westport
Chazy voir Cooperville
Fine (Military Records)
Cooperville
Fort Covington
Illinois :
Fort Covington voir Hogansburg
Harrietstown
Caskakias
Fort Frédéric ou Fort Beauharnois
Hermon
Fort de Chartres
Hogansburg
Hogansburg
Prairie du Rocher
Malone voir Hogansburg
Hopkinton
Massena voir Hogansburg
Lisbon
Indiana :
Lisbon Centre
Fort Vincennes
Pennsylvanie :
Macomb
Fort Duquesne
Madrid
Louisiane :
Fort Presqu’Ile
Malone
Saint Gabriel
Massena
USA :
Mineville
Maine :
Births
Morristown
Frenchville
Massachusetts Births 1880
Norfolk
Van Buren
Massachusetts Births 1909
Norwood
Ogdensburg
Massachusetts :
Wisconsin :
Ogdensburgh
Archives of Massachusetts, Commonwealth of Massachusetts
Green Bay, Baie-Verte
Parishville
Prairie-du-Chien
France
Le dossier France contient actuellement des registres de baptêmes, mariages et sépultures provenant de la ville de Cannes.
Nous espérons pouvoir y ajouter davantage de registres et d’archives françaises dans les années à venir.
Notaires
Le dossier Notaires contient un index des minutes de quelque 600 notaires du Québec.
Les minutes sont classées en arborescence sous le nom du notaire.
Ontario
Le dossier Ontario contient les registres paroissiaux de nombreuses paroisses ontariennes de leur ouverture jusqu’aux années 1960. La plupart des paroisses répertoriées dans cette collection se trouvent à proximité de la frontière entre le Québec et l’Ontario et ont été sélectionnées parce qu’elles ont accueilli de nombreux Canadiens français au cours de leur existence.
Les registres sont organisés en arborescence. Les images sont séparées par nom de paroisse puis par année. Certaines paroisses sont enregistrées sous le nom de la ville ou de la région qu’elles desservent, alors que d’autres le sont selon le nom même de la paroisse.
Il est important de savoir que dans la plupart des cas, les images d’une année sont classées en ordre chronologique. La première image d’un dossier contiendra donc les premiers actes enregistrés lors de cette année, soit les actes du début du mois de janvier, alors que les actes de fin décembre se trouveront parmi les dernières images.
En date de janvier 2020, ces paroisses sont actuellement en processus d’indexation et seront ajoutées graduellement au LAFRANCE, un index détaillé des registres paroissiaux du Québec et de l’Ontario disponible aux abonnés de Généalogie Québec.
Voici la liste des paroisses disponibles dans le dossier Ontario :
Alban
Fort Frontenac
Paincourt
Alexandria
Fort William
Pakenham
Alfred
Fournier
Pembroke
Almonte
Garden River
Plantagenet
Amherstburg
Garson
Pointe-aux-Roches
Apple-Hill
Gatchell
Port-Arthur
Arnprior
Glen-Nevis
Richmond
Azilda
Glen-Robertson
River Valley
Belle-Rivière
Glen-Walter
Rivière-aux-Canards
Bell’s Corners
Greenfield
Rockland
Billing’s Bridge
Hammond
Sarsfield
Blezard Valley
Hanmer
Sault-Ste-Marie
Blind River
Hawkesbury
Skead (Sudbury)
Bonfield
Îles Manitoulin
South Gloucester
Bourget
Killarney
South March
Brightside
Lafontaine
Spanish
Brudenell
Lancaster
Spragge
Burwash
LaPasse
St-Albert
Cache Bay
Larchwood
St-Andrew’s West
Callander
Lavigne
St-Bernadin
Capreol
Leamington
St-Charles
Carlsbad Spring
Lebel
Ste-Anne, Prescott
Cartier
Lefaivre
St-Eugène, Prescott
Casselman
Lemieux
St-Isidore, Prescott
Chatham
Levack
St-Joachim
Chelmsford
Limoges
St-Pascal-Baylon
Chrysler
Little Current
St-Pierre
Chute-à-Blondeau, Prescott
Lively
St-Raphaël
Clarence Creek
Lochiel
Sturgeon Falls
Coniston
Lockerby
Sudbury
Cooper Cliff
L’Orignal
Tecumseh
Corbeil
Maidstone
Temagami
Corkery
Manitouwadge
Thessalon
Cornwall
Manotick
Tilbury
Creighton Mines
Marionville
Treadwell
Cumberland
Markstay
Val Caron
Curran
Massey
Vankleek Hill
Cyrville
Matachewan
Vars
Dickenson’s Landing
Mattawa
Verner
Douglas
McGregor
Wahnapitei
Dwyer
Metcalfe
Warren
Eastview
Metcalfe et Osgoode
Wawa
Eganville
Minnow Lake
Wawa et Michipicoten
Elliot Lake
Mont-St-Patrick
Webbwood
Embrun
Moose Creek
Wendover
Espanola
Moose Factory Mission Church Records
White Fish
Essex
New Sudbury
White River
Estaire
Noëlville
Wikwemikong
Falconbridge
North Bay
Williamstown
Fallowfield
Orleans
Windsor
Field
Osgoode
Woodslee
Fitzroy Harbor
Ottawa
Québec
Fonds Drouin
Le dossier Fonds Drouin contient tous les registres paroissiaux du Québec de l’ouverture des registres en 1621 jusqu’aux années 1940 et parfois même jusqu’en 1967 selon la paroisse.
Les registres sont organisés en arborescence. Les images sont séparées par nom de paroisse puis par année. Certaines paroisses sont enregistrées sous le nom de la ville ou de la région qu’elles desservent, alors que d’autres le sont selon le nom même de la paroisse.
Il est important de savoir que dans la plupart des cas, les images d’une année sont classées en ordre chronologique. La première image d’un dossier contiendra donc les premiers actes enregistrés lors de cette année, soit les actes du début du mois de janvier, alors que les actes de fin décembre se trouveront parmi les dernières images.
Dans plusieurs cas, un index des actes de l’année est disponible dans les dernières images d’un dossier. La présence de cet index dépend des pratiques du prêtre ayant tenu le registre à l’époque.
C’est sur cette collection qu’est basé l’index du LAFRANCE, un autre des outils disponibles aux abonnés de Généalogie Québec, qui s’étend actuellement de 1621 à 1861 pour les baptêmes et sépultures catholiques, de 1621 à 1919 pour les mariages catholiques et de 1760 à 1849 pour les mariages protestants.
Registres paroissiaux 1621-1876
Le dossier Registres paroissiaux 1621-1876 contient tous les registres paroissiaux du Québec de 1621 à 1876. Cependant, ce ne sont pas les mêmes images que celles disponibles sous le dossier Fonds Drouin. Le prêtre enregistrant les baptêmes, mariages et sépultures de sa paroisse avait l’obligation de produire deux copies de son registre. Une copie était conservée à l’église, et l’autre était envoyée au greffe, ce qu’on appelle la copie civile. La copie présente dans le dossier Fonds Drouin est cette copie civile, et celle présente dans le dossier Registres paroissiaux 1621-1876 est la copie dite religieuse, conservée à l’église.
De ce fait, de nombreux registres paroissiaux du Québec existent en double. Ceci peut être très pratique pour les généalogistes, particulièrement lorsqu’une des copies de l’acte est manquante ou illisible.
Les registres sont organisés en arborescence. Les images sont séparées par nom de paroisse puis par année. Certaines paroisses sont enregistrées sous le nom de la ville ou de la région qu’elles desservent, alors que d’autres le sont selon le nom même de la paroisse.
Il est important de savoir que dans la plupart des cas, les images d’une année sont classées en ordre chronologique. La première image d’un dossier contiendra donc les premiers actes enregistrés lors de cette année, soit les actes du début du mois de janvier, alors que les actes de fin décembre se trouveront parmi les dernières images.
Dans plusieurs cas, un index des actes de l’année est disponible dans les dernières images d’un dossier. La présence de cet index dépend des pratiques du prêtre ayant tenu le registre à l’époque.
Registres non-catholiques 1760-1885
Le dossier Registres non-catholiques 1760-1885 contient les registres de diverses paroisses non-catholiques du Québec de 1760 à 1885.
La majorité de ces registres sont aussi disponibles dans le dossier Fonds Drouin, mais la version disponible dans Registres non-catholiques 1760-1885 a été photographiée plus récemment, elle peut donc être utile si la copie du Fonds Drouin est de mauvaise qualité.
Voici la liste des paroisses disponibles dans ce dossier:
Abénakis (Anglican Church)
Baie Missisquoi (Anglican Church)
Berthier (Anglican Church)
Bolton (Methodist Church)
Bolton (Wesleyan and Methodist Church)
Bolton and Potton (Methodist Church)
Bolton, Stukely and Ely (Methodist Church)
Brome (Methodist Church)
Canada-East (Methodist Church)
Chambly (Methodist Church)
Chambly (Saint Stephen Anglican Church)
Clarenceville (Anglican Church)
Clarenceville (Methodist Church)
Clarenceville (Wesleyan Methodist Congregation)
Clarenceville Circuit (Wesleyan Methodist Church)
Cowansville (Methodist Church)
Dunham (Methodist Church)
Dunham (Wesleyan Methodist Church)
Dunham (Wesleyan Methodist New Connexion Church)
Dunham Circuit (Wesleyan Methodist Church)
Dunham Flat (Wesleyan Methodist Church)
Farnham, canton (Anglican Church)
Frelighsburg (Anglican Church)
Frelighsburg (Church of England)
Glen Sutton (Anglican Church)
Granby, canton (Anglican Church)
Grande-Ligne (Baptist Church))
Hemmingford-Sherrington (Episcopal Church)
Henrysburg (Methodist Church)
Henryville (Anglican Church)
Isle-aux-Noix (Episcopal Church)
La Prairie (Presbyterian Church)
La Prairie (Saint Luke Anglican Church)
L’Acadie (Anglican Church)
Lachine (Presbyterian St. Andrew’s Church)
Lacolle (Episcopal Church)
Longueuil (Saint Mark’s Anglican Church)
Mansonville (Church of England)
Milton et Roxton (Anglican Church)
Montréal (Advent Christian Church)
Montréal (Christ Church Anglican)
Montréal (Jewish German, Polish)
Montréal (Jewish, Spanish and Portuguese)
Montréal (Lutheran St. John German Evangelical Church)
Montréal (Methodist Centenary Church, Pointe St. Charles )
Montréal (Methodist Dominion Square Church)
Montréal (Presbyterian Erskine Church)
Montréal (Presbyterian Knox Church)
Montréal (Saint Jude Anglican Church)
Montréal (Saint Luke Anglican Church)
Montréal (Saint Martin’s Anglican Church)
Montréal (St John the Evangelist, Anglican Church)
Registres paroissiaux du Fonds Létourneau (1820-2013)
Le Fonds Létourneau est une collection de registres paroissiaux provenant de la Société de Généalogie des Cantons-de-l’Est.
Ces registres couvrent la région de Sherbrooke et ses environs de l’ouverture des registres jusqu’en 2013.
Registres québécois, Actes découpés
Le dossier Registres québécois, Actes découpés contient des actes provenant de divers paroisses de l’Abitibi-Témiscamingue ainsi que de la Gaspésie. Cette collection se différencie par le fait que les actes y sont présentés de manière individuelle, ayant été découpés et extraits de l’image du registre original. Ceci permet de naviguer le registre de manière plus conviviale.
Registres québécois, Série 4000 (1801-2008)
La Série 4000 contient des registres paroissiaux de diverses régions au Québec, principalement la Gaspésie, la Mauricie, les Laurentides, l’Outaouais et l’Estrie. Ces registres s’étendent du début du 19e siècle à 2008.
Les registres sont organisés en arborescence. Les images sont séparées par nom de paroisse puis par année. Certaines paroisses sont enregistrées sous le nom de la ville ou de la région qu’elles desservent, alors que d’autres le sont selon le nom même de la paroisse.
Il est important de savoir que dans la plupart des cas, les images d’une année sont classées en ordre chronologique. La première image d’un dossier contiendra donc les premiers actes enregistrés lors de cette année, soit les actes du début du mois de janvier, alors que les actes de fin décembre se trouveront parmi les dernières images.
Recensements
Le dossier Recensements contient des recensements provenant de trois régions canadiennes. Le recensement du Bas-Canada de 1861, les recensements du Nouveau-Brunswick de 1851, 1861, 1871, 1881, 1891 et 1901, ainsi que de nombreux extraits des recensements de la Nouvelle-France datant d’entre 1666 et 1765. À noter que ces recensements ne sont pas exhaustifs.
Les recensements sont présentés en arborescence et se naviguent à l’aide de votre curseur.
Renumérisation d’images
L’Institut Drouin est actuellement en processus de renumérisation de plusieurs registres paroissiaux de la collection Drouin, dans le but d’améliorer la lisibilité de ceux dont la numérisation initiale laissait à désirer. Ces images renumérisées sont exclusives à GenealogieQuebec.com.
Ancienne imageImage renumérisée
Les Registres du Fonds Drouin peuvent être consultés avec un abonnement à Généalogie Québec à cette adresse.
La quête des origines est un besoin ressenti par de nombreux êtres humains. Il est tout à fait sain de vouloir comprendre d’où l’on vient. Dans le cas d’une personne adoptée, cette inclinaison est encore plus forte. Car même lorsqu’on a été adopté par une famille aimante, il reste à retracer plusieurs morceaux du casse-tête pour savoir qui l’on est et d’où l’on vient.
La généalogie d’une personne adoptée peut lui servir à mieux comprendre son histoire, mais aussi à connaître ses prédispositions génétiques. Il y a donc plusieurs raisons pour lesquelles celle-ci pourrait vouloir retrouver ses racines familiales biologiques.
Ancêtres d’une personne adoptée: comment les retracer?
On a tous en tête des émissions de retrouvailles et des documentaires où une personne adoptée trouve des informations sur sa famille biologique. Ces portraits illustrent des parcours assez compliqués, mais qui finissent généralement par porter fruit. La plupart des personnes adoptées ont accès à quelques documents de base, ceux qui ont été remis à leur famille d’adoption. Ces papiers peuvent leur être utiles mais bien souvent, cela ne représente que la base des informations nécessaires pour aller plus loin.
Il faut aussi savoir que chaque cas est différent. Certaines personnes adoptées ont gardé contact avec leurs parents biologiques alors que d’autres n’ont même pas idée du nom de ceux-ci. Évidemment, plus il y a d’information et de liens qui demeurent, plus la recherche sera simplifiée.
De surcroît, il est important de faire une distinction entre les personnes adoptées au Québec et celles qui proviennent d’un pays étranger. En effet, les démarches sont bien différentes pour ceux qui sont nés ici que pour ceux qui sont arrivés d’un autre pays.
Retrouver ses ancêtres lorsqu’on a été adopté au Québec
Pour question de proximité, il peut être plus facile de retracer la généalogie de la famille biologique d’une personne adoptive lorsque celle-ci est née au Québec. Cependant, il y a de gros bémols à cette affirmation car pendant longtemps, les associations et orphelinats qui s’occupaient des adoptions remettaient peu d’informations précises permettant d’identifier les parents.
Les parents biologiques ont aussi le droit de signer un refus pour rencontrer et renouer avec les enfants qu’ils ont mis en adoption. Ces deux faits peuvent donc mettre des bâtons dans les roues des personnes dans cette situation qui souhaite renouer avec leurs origines.
Les lois sont en train de changer afin de faciliter la mise en contact des personnes adoptées avec leurs parents biologiques. Il faut donc rester à l’affût de ces modifications pour connaître la marche à suivre lors du contact initial. En général, tout est question de consentement et d’ouverture de part et d’autre. Le Centre jeunesse de la région où a eu lieu l’adoption pourra contribuer à la recherche de renseignements et guider la personne dans sa quête.
Une fois que la personne a accès à plus d’information, ou si c’était déjà le cas à la base, il est possible de consulter des registres disponibles en ligne. Ces registres permettent de construire un arbre généalogique en consultant les actes de mariage, de naissance et de décès. Les sociétés d’histoire régionales peuvent aussi être des endroits très utiles pour trouver des archives contenant de l’information de cette nature.
Finalement, ceux qui préfèrent confier le travail à quelqu’un d’autre pourront faire appel à un spécialiste de la généalogie qui puisera dans des documents et saura exactement où et comment faire les recherches.
Retrouver ses ancêtres lorsqu’on a été adopté à l’international
Pour toute adoption provenant d’un autre pays, il faut aller voir auprès du Secrétariat à l’adoption internationale (SAI). Cet organisme offre aussi des services pour les gens adoptés au Québec, par exemple, pour demander un sommaire des antécédents sociobiologiques, qui contient quelques renseignements, dont la date de naissance, les circonstances de l’adoption et quelques informations de base au sujet des parents. Toutefois c’est pour les démarches effectuées vers l’étranger que l’organisme peut s’avérer particulièrement utile.
Les employés du SAI sont en mesure d’établir des contacts avec les autorités étrangères afin de voir s’il est possible d’accéder à des informations sur la généalogie de l’enfant adopté. De là, ils remettent les informations à la personne qui en fait la demande. Cependant, il arrive que cette requête soit sans résultats car certains pays ont des lois qui interdisent les retrouvailles, ne tiennent pas de registre ou ne sont pas en mesure de fournir les informations souhaitées. Encore une fois, c’est du cas par cas et il faut savoir gérer ses attentes.
La généalogie et l’histoire familiale sont des concepts qui peuvent sembler à la fois intimidants et fascinants pour les jeunes. Comment comprendre que des gens qu’ils n’ont jamais rencontrés aient contribué à leur présence sur terre? Comment décrire les liens qui unissent chaque membre de la famille, qu’ils soient vivants ou des ancêtres lointains?
On partage souvent des histoires familiales avec les plus jeunes et afin d’illustrer celles-ci, un arbre généalogique pour enfant peut s’avérer bien utile.
Voici quelques astuces pour expliquer l’arbre généalogique à un enfant
Il existe plusieurs types d’arbres généalogiques, dont l’arbre descendant et l’arbre ascendant. Étant donné que l’arbre ascendant est plus commun, nous allons prendre celui-ci dans les exemples. La différence entre les deux est que l’arbre ascendant part d’une personne et retrace ses ancêtres, alors que l’arbre descendant prend forme en partant de l’ancêtre et en illustrant les lignées de ses descendants.
Pour l’enfant, l’arbre ascendant est aussi plus facile à comprendre car il peut rapidement faire des liens entre les personnes en débutant avec celles qu’il connaît déjà.
Susciter l’intérêt des jeunes pour leur histoire familiale
Le premier défi consiste à éveiller la curiosité des jeunes, si ce n’est pas déjà quelque chose qu’ils ont développé. En leur contant des histoires mettant en scène leurs ancêtres, ils ressentiront une fierté et une fascination envers cette appartenance familiale. Dans beaucoup de cas, cela aura pour résultat de leur donner envie d’en savoir plus. Afin que les choses soient bien claires, il est suggéré de commencer avec les personnes qu’ils connaissent déjà, comme leurs grands-parents, leurs cousins et leurs oncles et tantes. Ensuite, on remonte la lignée en présentant les ancêtres qui précèdent. Le fait de pouvoir associer des histoires et des faits aux différents membres de la famille aidera à concrétiser l’arbre généalogique qui se trouve devant leurs yeux.
Pousser l’explication des liens familiaux
Un enfant comprend très rapidement qu’il vit dans une cellule familiale. Il connaît ses parents, ses frères et sœurs et tous les autres membres de la famille qu’il côtoie régulièrement. Ce concept étant assimilé par l’enfant, il sera plutôt simple de lui faire comprendre les liens familiaux des personnes faisant partie des autres sections de l’arbre généalogique.
En effet, au départ il est recommandé de regarder chaque partie de l’arbre séparément pour que l’enfant puisse absorber les informations à son rythme. On peut, dès le départ, regarder l’ensemble de l’arbre et faire une présentation générale mais lorsque vient le temps d’expliquer plus en détail, il est mieux de le faire petit à petit.
Introduire le concept des générations et de la fraternité
Les jeunes ont tendance à vivre dans le moment présent. Bien qu’ils comprennent le fait que leurs parents et grands-parents soient plus vieux, ils ne font pas toujours la distinction comme quoi il y a différentes générations de personnes. Sur un arbre généalogique, la ligne verticale permet de séparer les générations d’une famille. La ligne horizontale désigne quant à elle un concept de fraternité. En regardant ces lignes, l’enfant peut donc vite comprendre la différence et devenir mieux équipé pour saisir l’idée du passé et le fait que chaque être provient d’une cellule familiale.
Poser des questions et leur faire jouer au détective
Pour voir si votre enfant a bien compris, il est intéressant de poursuivre en lui demandant à son avis, à quoi servent les arbres généalogiques. Sa réponse permettra de savoir s’il a saisi le concept. Afin d’approfondir ses connaissances, vous pouvez aussi transformer l’exploration de l’arbre en jeu. L’enfant se transforme alors en détective qui a pour mission de découvrir les liens et de retracer des histoires familiales. Demandez-lui de vous dire qui est cette personne par rapport à lui ou par rapport à un autre membre de la famille.
Même pour les plus jeunes, ce genre d’interaction avec le schéma familial peut aider à rendre les choses plus claires et faciles à comprendre.
La mise à jour bimestrielle du LAFRANCE a été effectuée au cours des derniers jours. Les ajouts au LAFRANCE concernent la période 1850-1861 pour les baptêmes et sépultures catholiques du Québec.
La mise à jour en chiffre
Baptêmes catholiques 1850-1861 : 25917 actes ajoutés Sépultures catholiques 1850-1861 : 11084 actes ajoutés En plus de ces ajouts, les corrections signalées par nos utilisateurs au cours des 2 derniers mois ont été appliquées. Vous pouvez consulter un aperçu plus détaillé des paroisses mises à jour à cette adresse.
À propos du LAFRANCE
Le LAFRANCE, un des 16 outils offerts aux abonnés de GenealogieQuebec.com, est un index détaillé avec lien au document original de TOUS les mariages catholiques du Québec de 1621 à 1916, TOUS les baptêmes et TOUTES les sépultures catholiques du Québec de 1621 à 1849 ainsi que TOUS les mariages protestants du Québec de 1760 à 1849. Les baptêmes et sépultures de la période 1850-1861 sont ajoutés graduellement via des mises à jour bimestrielles.
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Bénévolat
L’Institut Drouin et son partenaire le Groupe-Nécro sont à la recherche de volontaires pour faire de l’indexation d’avis de décès et de pierres tombales, ainsi que de la photographie de cimetières.
La saisie des avis de décès
La saisie des avis de décès est très simple. Il s’agit de relever le nom du défunt ainsi que sa date de décès, et d’inclure ces informations dans le nom du fichier selon une structure prédéfinie.
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La saisie des pierres tombales se fait via un fichier Microsoft Excel. Dans ce cas ci, l’indexation comprend le texte et les noms inscrits sur la pierre.
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Près de 1100 cimetières du Québec ont été photographiés par le Groupe-Nécro jusqu’à aujourd’hui, ce qui totalise plus de 600 000 photos de pierres tombales. Cette collection peut être consultée avec abonnement à GénéalogieQuébec.com dans la section Nécrologies.
Nous sommes à la recherche de volontaires afin de poursuivre la photographie des cimetières du Québec et de l’est de l’Ontario.
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Curieux d’en savoir plus sur l’histoire de leur famille rapprochée et de leurs ancêtres, de nombreuses personnes décident de faire des recherches pour découvrir leur généalogie familiale. Ce travail d’enquête est souvent effectué par un spécialiste, maîtrisant les outils et les techniques pour retrouver les informations convoitées. Certaines personnes en font aussi un projet personnel, décidant d’effectuer eux-mêmes leurs recherches. Avec les masses d’information disponibles sur internet, il est relativement facile de trouver des plateformes et des bases de données pour consulter des documents d’archives et découvrir des arbres généalogiques pouvant être utiles.
Il existe deux grandes tactiques distinctes pour remonter à travers la généalogie d’une personne et/ou d’une famille: la généalogie ascendante et la généalogie descendante. Afin de tracer un portrait de la lignée familiale, il faut donc choisir entre les deux avant d’entamer les recherches.
La différence entre ascendance et descendance
Étant donné que les mots sont souvent employés de façon interchangeable, et qu’il s’agit d’une erreur, il est important de faire le point sur les définitions des deux mots, avant tout chose. Le mot ascendance sert à décrire un mouvement de bas en haut, alors que le terme descendance provient quant à lui d’un dérivé du mot descendre, qui ramène au fait d’aller de haut en bas. Dans un contexte de généalogie, ce mot est synonyme de postérité et désigne ainsi les générations suivant un individu (sa descendance).
Lorsqu’on décide de faire un portrait de ses ancêtres, il y a deux façons principales de s’y prendre pour obtenir des résultats clairs. On peut partir de soi-même et de sa famille, pour découvrir son ascendance, ou on peut entamer le travail en tentant de distinguer les liens à partir d’un ancêtre connu et de sa descendance.
La généalogie ascendante
Cette technique est la plus répandue entre les deux présentées ci-haut, car les recherches sont beaucoup plus faciles à faire. De plus, la personne qui souhaite tracer sa lignée possède généralement déjà une part des informations, ce qui peut grandement simplifier le processus. Par la suite, en employant un mélange de ressources, il est possible de remonter très loin dans le passé pour découvrir les ancêtres faisant partie de la généalogie familiale.
La généalogie descendante
Une recherche de généalogie descendante consiste à retrouver les descendants d’une personne spécifique. Dans le cas d’une famille, on pourrait parler d’un arrière-arrière-arrière-grand-père et de tous les descendants appartenant à sa lignée. Lorsqu’on part d’un ancêtre dont l’existence remonte à très loin, cette stratégie peut être quelque peu complexe, en plus d’entraîner davantage de coûts que ceux encourus pour une recherche de généalogie ascendante. Cependant, elle est souvent considérée comme étant plus efficace pour retrouver des cousins et d’autres ancêtres éloignés.
Quoi choisir entre une généalogie ascendante ou descendante ?
Pour trouver réponse à cette question, il est important de définir quelles sont nos attentes exactes par rapport à l’enquête. Est-ce que l’on cherche précisément à identifier et à retrouver nos ancêtres ? Si tel est le cas, c’est à travers une recherche ascendante que l’on aura le plus de succès.
Autrement, si l’on vise plutôt à préciser certains aspects de notre généalogie familiale en étudiant les descendants de nos ancêtres, une recherche par généalogie descendante pourra rapporter des informations plus précises, répondant à nos attentes.
Bien sûr, si les investigations sont complétées par un généalogiste, il faudra spécifier quel est le but de la recherche et à quel type de résultat on s’attend. Ces derniers ont à leur disposition des outils qui permettent d’employer les deux stratégies, et ils savent comment étudier et analyser les documents qu’ils trouvent au fil de leurs enquêtes pour tracer un portrait de généalogie familiale.