Plus de 54 000 avis de décès ont été ajoutés à la Section Nécrologe, un des 15 outils disponibles aux abonnés de Généalogie Québec.
Ces avis de décès proviennent de divers journaux du Québec et datent du 20e et 21e siècle.
Vous pouvez les consulter avec un abonnement à Généalogie Québec à cette adresse.
Abonnez-vous à Généalogie Québec et retracez vos ancêtres dès aujourd’hui à l’aide de dizaines de millions de documents historiques!
La section Nécrologe
Cette section regroupe la majorité des collections d’avis de décès, de cartes mortuaires et de pierres tombales disponibles sur Généalogie Québec. Elle est divisée en 4 sous-sections:
Avis de décès internet, qui contient 2 850 000 avis de décès publiés sur Internet entre 1999 et aujourd’hui.
Avis de décès journaux, qui contient maintenant plus de 1 400 000 avis de décès publiés dans des journaux entre 1860 et aujourd’hui.
Pierres tombales, qui contient 740 000 photos de pierres tombales provenant de centaines de cimetières du Québec et de l’Ontario.
Cartes mortuaires, qui contient près de 100 000 cartes mortuaires publiées entre 1860 et aujourd’hui.
Ces collections sont indexées et peuvent être explorées à l’aide d’un engin de recherche. Vous trouverez plus d’information à propos de celles-ci sur le blog de l’Institut Drouin.
Une mise à jour a été apportée à l’outil Acadie – Familles reconstituées, une des 15 collections disponibles aux abonnés de Généalogie Québec.
Ce sont 12 414 fiches de famille et 27 689 actes de baptême, mariage et sépulture qui ont été ajoutés à l’outil dans le cadre de cette mise à jour. L’outil Acadie – Familles reconstituées peut être consulté avec un abonnement à Généalogie Québec à cette adresse.
Retracez vos ancêtres à l’aide de plus de 100 millions d’images et de documents historiques en vous abonnant à Généalogie Québec dès aujourd’hui!
Qu’est-ce que l’outil Acadie – Familles reconstituées?
L’outil Acadie – Familles reconstituées contient des fiches de familles basées sur les actes paroissiaux de l’Acadie.
Au total, on y dénombre 171 246 fiches de familles. Actuellement, l’outil couvre du début de la colonie acadienne jusqu’à la fin de 1849. De plus 38 lieux couvrant de 1850 à la fin des registres paroissiaux disponibles sont inclus. Une liste des lieux répertoriés ainsi que davantage d’information à propos de l’outil sont disponibles sur le blog de l’Institut Drouin.
Les fiches contiennent généralement le nom et le prénom des parents, le prénom de l’enfant, les dates de naissance et/ou baptême, de décès et/ou d’inhumation, de mariage (un total de 328 623 actes) et la paroisse. Un lien vers l’image du document original est souvent disponible dans la fiche pour les baptêmes, les mariages et les sépultures.
Plus de 135 000 avis de décès ont été ajoutés à la Section Nécrologe, un des 15 outils disponibles aux abonnés de Généalogie Québec.
Ces avis de décès proviennent de divers journaux et sites du Québec et du Canada et datent du 20e et 21e siècle.
Vous pouvez les consulter avec un abonnement à Généalogie Québec à cette adresse.
Abonnez-vous à Généalogie Québec et retracez vos ancêtres dès aujourd’hui à l’aide de dizaines de millions de documents historiques!
La section Nécrologe
Cette section regroupe la majorité des collections d’avis de décès, de cartes mortuaires et de pierres tombales disponibles sur Généalogie Québec. Elle est divisée en 4 sous-sections:
Avis de décès internet, qui contient 2 850 000 avis de décès publiés sur Internet entre 1999 et aujourd’hui.
Avis de décès journaux, qui contient maintenant près de 1 400 000 avis de décès publiés dans des journaux entre 1860 et aujourd’hui.
Pierres tombales, qui contient 740 000 photos de pierres tombales provenant de centaines de cimetières du Québec et de l’Ontario.
Cartes mortuaires, qui contient près de 100 000 cartes mortuaires publiées entre 1860 et aujourd’hui.
Ces collections sont indexées et peuvent être explorées à l’aide d’un engin de recherche. Vous trouverez plus d’information à propos de celles-ci sur le blog de l’Institut Drouin.
Plus de 100 000 images historiques ont été ajoutées dans les Collections diverses Drouin, un des 15 outils disponibles aux abonnés de Généalogie Québec.
Les Collections diverses Drouin contiennent un assortiment d’images, de documents, de livres, de photos et de répertoires d’intérêt historique et généalogique. Vous pouvez consulter cet outil à cette adresse.
Voici les documents ajoutés via cette mise à jour:
Journal Écho Abitibien
50 000 nouvelles images couvrant de 1950 à 1980
Peut être consulté dans les Collections diverses sous le dossier 23 – Journaux anciens/L’Écho Abitibien/
Fonds André Hurtubise
32 000 nouvelles images ont été ajoutées à ce fonds, qui contient des fiches BMS, des coupures de journaux, des photos historiques, ainsi que de nombreux autres documents historiques.
Peut être consulté dans les Collections diverses sous le dossier 14 – Fonds d’archives/Fonds André-Hurtubise/
Fonds Philippe Beaudry
22 000 images ont été ajoutées au fonds du navigateur Philippe Beaudry. Ce fonds contient des cartes postales et des documents historiques en lien avec le transport maritime.
Peut être consulté dans les Collections diverses sous le dossier 14 – Fonds d’archives/Fonds Philippe BEAUDRY/
Retracez vos ancêtres et découvrez l’histoire de votre famille avec des dizaines de millions d’archives historiques en vous abonnant à Généalogie Québec dès aujourd’hui!
L’arbre généalogique est un outil incontournable pour tout passionné de généalogie, car il permet de retracer et de visualiser l’histoire de sa famille sur plusieurs générations. Si vous souhaitez remplir votre arbre généalogique avec des informations précises et complètes, vous devrez inévitablement vous référer à divers types de documents historiques.
La structure de base d’un arbre généalogique
Dans cet article, nous allons explorer les types de documents historiques les plus utilisés en généalogie, en expliquant comment ceux-ci peuvent vous aider à dresser un arbre généalogique complet et détaillé.
Les registres paroissiaux et civils
Si vous deviez vous limiter à un seul type de document pour vos recherches généalogiques, ce serait sans aucun doute les registres paroissiaux (enregistrés par l’église) et civils (enregistrés par le gouvernement). Ces registres contiennent les événements vitaux d’une population, soit les naissances (ou baptêmes), les mariages, et les décès (ou sépultures).
Exemple d’un acte provenant d’un registre. Source: Acte 7992792, LAFRANCE, GenealogieQuebec.com
Comment les registres vous aident à remplir votre arbre généalogique
Tout acte provenant des registres contient des informations pertinentes sur l’ancêtre concerné; son nom, sa date de naissance, mariage ou décès, son lieu de naissance, de résidence ou de décès, et souvent le nom des parents et/ou du conjoint.
Non seulement ces informations vous permettent-elles de remplir une partie de votre arbre généalogique, elles vous permettent surtout de remonter d’une génération dans la lignée recherchée.
Plus spécifiquement, c’est l’acte de mariage qui est la clé de vos recherches généalogiques, puisque dans la majorité des cas, celui-ci contient le nom des parents des époux.
Mariages provenant de l’outil LAFRANCE disponible sur Généalogie Québec
Les noms des parents des époux sont indiqués dans le mariage de gauche. Effectuer une recherche pour ceux-ci vous permet de retrouver leurs mariages, dans lesquels vous trouverez les noms de leurs parents respectifs. En répétant ce processus, vous pouvez remonter de génération en génération et aisément remplir votre arbre généalogique.
Les meilleures sources de registres paroissiaux et civils du Québec
Les avis de décès et les pierres tombales sont parmi les documents les plus utilisés en généalogie, puisqu’ils contiennent beaucoup d’information à propos de l’individu concerné, et couvrent des périodes qui ne sont pas disponibles via d’autres types de documents.
Avis de décès et pierre tombale provenant de la collection Nécrologe sur Généalogie Québec
Comment les avis de décès et pierres tombales vous aident à remplir votre arbre généalogique
Bien que les registres civils et religieux soient indispensables à vos recherches, ceux-ci ne sont que très rarement disponibles pour la période moderne. En effet, pour des raisons de protection de la vie privée, il peut être très difficile voir impossible de trouver des registres récents, ce qui complique la tâche de remplir la partie contemporaine de son arbre généalogique.
Or, ce problème n’existe pas pour les pierres tombales et les avis de décès. Dans le cas des pierres tombales, elles sont accessibles en tout temps dans les cimetières de la province. Pour les avis de décès, ceux-ci sont publiés quotidiennement dans les journaux et sur internet. De ce fait, de nombreuses collections couvrant la période contemporaine sont disponibles aux généalogistes.
Il faut aussi noter que les avis de décès et les pierres tombales font souvent mention de la parenté de l’individu décédé, ce qui est crucial pour vous permettre de faire le pont entre les générations dans votre arbre généalogique.
Les meilleures sources d’avis de décès et de pierres tombales du Québec
La section Nécrologe sur Généalogie Québec contient près de 5 millions d’avis de décès, de cartes mortuaires et de pierres tombales du Québec et de l’Ontario.
Il existe aussi de nombreux sites dédiés à la publication des avis de décès. Ces sites sont indexés par des moteurs de recherche tels que Google et Bing, ce qui rend la recherche d’un avis de décès sur Internet très simple.
En règle générale, il suffit d’entrer le nom de la personne décédée dans votre moteur de recherche préféré et de consulter les premiers résultats. Toutefois, si le nom est très courant, il peut être nécessaire d’ajouter des termes tels que « avis de décès » ou « nécrologie » à votre recherche. Si un avis de décès est présent sur l’un de ces sites, vous le trouverez parmi les premiers résultats de votre recherche.
Les recensements
Les recensements sont des sources importantes pour la généalogie, car ils fournissent des informations sur les membres d’une famille et leur lieu de résidence à un moment précis.
Comment les recensements peuvent vous aider à remplir votre arbre généalogique
Les recensements peuvent vous aider à identifier les membres de la famille d’une personne, y compris les enfants, les conjoints et les parents. En comparant les recensements de différentes années, vous pouvez également suivre les changements dans la composition de la famille.
De plus, ils vous permettent de confirmer les informations trouvées dans d’autres sources, telles que les registres religieux ou civils. Par exemple, vous pouvez confirmer les dates de naissance, les lieux de résidence, les professions et les noms des membres de la famille.
Finalement, les recensements peuvent vous fournir des détails sur la vie quotidienne des membres de la famille recherchée, tels que leur profession ou leur niveau d’éducation. Ces informations peuvent aider à reconstituer la vie de vos ancêtres au delà des noms et des dates et d’étoffer votre arbre généalogique.
Les meilleures sources de recensements du Québec
Sur Généalogie Québec, vous trouverez les recensements du Québec des années 1881 et 1901, et le recensement de l’Ontario de l’année 1881. Ceux-ci contiennent plus de 5 millions d’individus.
Il y a quelques semaines, alors que je fouillais dans la banque de données de Généalogie Québec, je suis tombée sur un dossier, dans le fonds Raymond-Gingras, qui s’intitulait « Cercle de Fermières ».
La petite histoire de Saint-Antoine-de-Tilly, rédigée par le Cercle des Fermières de la municipalité. Source : Généalogie Québec, Fonds Raymond-Gingras.
À l’intérieur, j’ai trouvé une série de photographies d’un court texte produit par un Cercle de Fermières, qui relate l’histoire de Saint-Antoine-de-Tilly, une petite municipalité située dans Chaudière-Appalaches. Ma curiosité était piquée. Les Cercles de Fermières… Je me rappelais avoir déjà vu ce nom quelque part. Je savais que c’était une association de femmes, et qu’elles faisaient de l’artisanat. Pas grand chose de plus. Intriguée, je me suis lancée dans plus de recherches.
Qu’est-ce que sont les Cercles de Fermières du Québec ?
En fait, les Cercles de Fermières ne sont pas qu’un regroupement de femmes, mais la première association de femmes du Québec ! Ils ont été fondés en 1915 (un peu ironiquement) par un homme, Alphonse Désilets, un agronome qui défendait « le principe des associations rurales pour résoudre la crise du monde moderne » (Cohen, 1990 : 28). Les membres de l’association étaient, comme son nom l’indique, des fermières, et elles se regroupaient au sein des Cercles principalement pour s’entraider dans leurs diverses tâches et arriver à mieux subvenir aux besoins de leurs familles. Elles tenaient des jardins coopératifs ou s’aidaient à confectionner des vêtements pour la famille par exemple, contribuant à l’amélioration de leur qualité de vie. Les groupes sont alors sous la direction du Ministère de l’agriculture, de concert avec l’Église.
À partir de 1940, les Cercles gagnent progressivement en autonomie, jusqu’à ne plus dépendre ni de l’Église, ni de l’État. Au fur et à mesure que le Québec s’urbanise, on compte de moins en moins de fermières parmi les membres, mais le regroupement choisit de conserver son nom. Malgré l’évolution de la société, on observe une certaine continuité dans les activités des Cercles : les membres font toujours de l’artisanat, du tricot, du tissage et de la cuisine. Elles se considèrent comme les gardiennes du patrimoine artisanal et culinaire (Beaudoin et Joncas, 2021 : 46) et transmettent leurs savoirs à des membres plus jeunes, ou à la communauté plus large. Les Cercles sont aussi des lieux importants de sociabilité pour les femmes qui y participent, et ils permettent de briser l’isolement, chez les femmes retraitées par exemple. Les Cercles de Fermières occupent finalement une fonction politique, aidant leurs membres à s’informer en tant que citoyennes, tentant d’influencer les politiques gouvernementales, mais aussi en entretenant des liens avec diverses organisations (comme l’Union mondiale des femmes paysannes, la Coalition pour le contrôle des armes, le Réseau canadien du cancer du sein, etc) (Lagarde, 2015 : 5).
Les Cercles de Fermières participent grandement à la transmission des savoirs artisanaux au sein de la société québécoise. Ici, une enfant apprend à utiliser un métier à tisser lors d’un atelier donné par le Cercle de Fermières d’Alma. Source : Wikimedia Commons.
Cercles de Fermières et féminisme
Bien qu’ils soient une association de femmes, gérée par et pour les femmes, les Cercles de Fermières du Québec ne s’imposent pas au premier abord comme des groupes féministes. En effet, les Cercles se sont notamment prononcés contre le droit de vote des femmes et contre le droit à l’avortement. Bien que leurs positions aient évolué avec le temps, les Cercles s’inscrivent toujours dans la promotion des rôles traditionnellement attribués aux femmes, comme le soin de la famille et les tâches domestiques. Cette posture les écarte encore des revendications féministes, qui lient souvent l’émancipation et la possibilité pour les femmes de sortir des stéréotypes et des rôles genrés si elles le désirent.
Néanmoins, il serait à mon sens démesuré de les écarter complètement de l’histoire du féminisme au Québec. En effet, les Cercles ont fortement travaillé à l’amélioration des conditions de vie des femmes et ont été un moteur de valorisation des activités typiquement féminines, notamment en faisant la promotion des réalisations culinaires et artisanales de leurs membres. Ils sont aussi un lieu où l’éthique du care1 peut se vivre et se mettre en pratique. En effet, les Cercles de Fermières ont été créés d’abord pour favoriser l’entraide entre les femmes membres, mais au-delà de cette mission, les Cercles prennent aussi soin de leurs communautés plus larges, à travers par exemple l’organisation de repas communautaires, du bénévolat et des partenariats avec des associations caritatives ou l’influence qu’ils exercent sur les politiques publiques2. Surtout, bien que les Cercles fassent la promotion des rôles traditionnels que les femmes occupent dans la sphère privée, ils ont été à l’époque et sont peut-être à certains égards encore aujourd’hui, un espace public que les femmes peuvent habiter entièrement, où elles peuvent prendre la parole, s’exprimer, effectuer du travail organisationnel, et même faire de la politique3, bref, où elles peuvent, apprendre le travail typiquement masculin mais l’effectuer à leur manière.
Les Cercles de Fermières occupent donc une position très particulière dans notre histoire et sont victimes d’un double effacement : on en parle peu lorsqu’on fait l’histoire du Québec, parce qu’on y parle peu des femmes en général ; mais on en parle aussi peu lorsque nous construisons une histoire des femmes dans une perspective féministe, puisque leurs prises de positions déviaient (et dévient toujours, à certains égards) de celles prises par le mouvement féministe. Il est pourtant impossible de nier le rôle que les Cercles ont joué autant globalement dans l’histoire de la société québécoise que plus spécifiquement dans l’histoire des femmes au Québec. Ils ont été un des premiers moteurs d’autonomisation et d’affirmation des femmes, favorisant leur sortie de la sphère privée et familiale (Cohen, 1990 : 263). Les Cercles ont aussi participé pleinement à l’élaboration du projet national. En effet, à travers leurs demandes formulées à l’État et leur rejet de l’influence du clergé sur leur organisation, elles ont participé à l’établissement de deux piliers centraux au développement du Québec : le développement d’un État moderne et protecteur et la déconfessionnalisation de la société (Cohen, 1990 : 263). Comme toute organisation, il convient bien sûr de ne pas idéaliser les Cercles de Fermières et de souligner leurs limites, notamment en termes de positionnement féministe. Toutefois, il me semble aussi essentiel de visibiliser leur contribution à l’histoire des femmes et de la société québécoise.
Pour en apprendre plus sur les Cercles de Fermières du Québec, je vous invite vivement à lire le livre Femmes de Parole : l’histoire des Cercles de Fermières du Québec, de Yolande Cohen (1990) ou à visionner le documentaire Fermières réalisé par Annie Saint-Pierre (2013).
Audrey Pepin
1 L’éthique du care est ancrée dans le maintien des relations humaines et dans l’interdépendance des individus. Le care vise à « maintenir, perpétuer et réparer notre monde, de sorte que nous puissions y vivre aussi bien que possible. Ce monde comprend nos corps, nous-mêmes et notre environnement, tous éléments que nous cherchons à relier en un réseau complexe, en soutien à la vie » (Tronto, 2009 [1993] : 143). Pour plus de détails, vous pouvez consulter mon article sur la généalogie et le care ici. Il est également important de noter que cette éthique peut par ailleurs clairement être liée aux valeurs chrétiennes de l’organisation.
2 Elles sont notamment à l’origine des programmes de distribution de berlingots de lait dans les écoles (Radio-Canada, 2015).
3 Je pense notamment aux femmes qui s’impliquent dans l’organisation des Cercles et qui sont démocratiquement élues comme présidentes, que ce soit au niveau régional ou national.
Bibliographie :
Beaudoin, Christiane et Joncas, Gisèle. « Le Cercle de Fermières de Gaspé : 50 ans par et pour les femmes ». Magazine Gaspésie, vol.57, no.3 (199), p.46-48.
Cohen, Yolande (1990). Femmes de parole : l’histoire des Cercles de Fermières du Québec 1915-1990. Montréal : Le Jour Éditeur, 315 pages.
Lagarde, Louise (2015). « Les Cercles de Fermières du Québec : 100 ans de savoir à partager ». Histoire Québec, vol.20, no.3, p.5-9.
135 000 images provenant des registres de 158 paroisses catholiques et protestantes du Québec ont été renumérisées sur Généalogie Québec, dans le but d’en améliorer la qualité et la lisibilité.
Plus d’un million d’images de la collection Drouin ont été renumérisées au cours des dernières années.
La résolution de ces nouvelles images est de deux à trois fois plus élevée que celle de la copie initiale, ce qui assure une lisibilité inégalée.
Consultez tous les registres paroissiaux du Québec ainsi que des millions d’autres documents historiques en vous abonnant à Généalogie Québec dès aujourd’hui!
Les Registres du Fonds Drouin
Les Registres du Fonds Drouin, aussi appelés “collection Drouin”, sont une collection d’images de registres paroissiaux (baptêmes, mariages et sépultures) couvrant l’entièreté du Québec et de l’Acadie française ainsi qu’une partie de l’Ontario, du Nouveau-Brunswick et du Nord-Est des États-Unis, de l’ouverture des registres paroissiaux jusqu’aux années 1940 et parfois 1960.
Vous pouvez les consulter avec un abonnement à Généalogie Québec à cette adresse.
L’outil LAFRANCE, aussi disponible aux abonnés de Généalogie Québec, est un engin de recherche vous permettant d’explorer ces registres paroissiaux en cherchant par le nom du ou des individus mentionnés dans les actes.
Exemple d’une recherche dans l’outil LAFRANCE de GenealogieQuebec.com
Les 2 802 719 décès de la collection Décès 1926-1997 ont été importés dans le LAFRANCE, un des 15 outils disponibles aux abonnés de Généalogie Québec.
Ces décès couvrent l’ensemble du Québec de 1926 à 1997.
Décès de Léon Desjardins le 25 décembre 1938. Comme le document source des actes de cette collection ne contient pas d’information quant au lieu de décès de l’individu, c’est son lieu de résidence qui est affiché au haut de l’acte.
En plus d’avoir été importés dans le LAFRANCE, les actes cette collection ont été sujets à une vérification exhaustive, et des centaines de milliers de corrections ont été effectuées. Ces corrections touchent les noms et les lieux.
Vous pouvez retracer vos ancêtres avec le LAFRANCE ainsi que des millions d’autres documents historiques en vous abonnant à Généalogie Québec dès aujourd’hui!
Standardisation des noms et ressemblance
La principale raison pour laquelle nous avons importé les actes de la collection Décès 1926-1997 au LAFRANCE est l’avantage important que celui-ci possède sur les autres outils de recherche disponibles sur Généalogie Québec: sa standardisation des noms et sa fonction ressemblance.
Lorsque vous effectuez une recherche sur le LAFRANCE, le système associe automatiquement le nom recherché à toutes ses variantes. Par exemple, une recherche pour un individu portant le nom de famille Gauthier produira une liste de résultats contenant tous les actes contenant un Gauthier ainsi que ses nombreuses variations, telles que Gautier, Gaulthier, Gotier, etc. Il n’est donc pas nécessaire d’effectuer plusieurs recherches pour les différentes variations d’un nom de famille comme c’était le cas sur l’outil Décès 1926-1997.
En plus de sa standardisation de noms, le LAFRANCE est équipé d’une fonction appelée la ressemblance. Celle-ci permet d’élargir une recherche en y incluant tous les patronymes semblables à celui recherché. La fonction ressemblance va au delà de la standardisation des noms du fait qu’elle englobe non seulement les diverses variations d’un même patronyme, mais aussi les noms semblables à celui-ci au niveau de l’orthographe et de la phonétique. Par exemple, une recherche pour le nom Gauthier, en plus d’intégrer les différentes variantes mentionnées plus haut, englobera les noms Gonthier, Vauthier, Gouthier, Authier ainsi que leurs nombreuses variations.
Centralisation des actes
Un autre bénéfice évident de l’ajout de ces actes au LAFRANCE est leur centralisation sur un seul et même outil. Regrouper les documents du site sous une seule collection permet à nos abonnés d’effectuer des recherches plus efficaces et rapides.
En plus des actes ajoutés aujourd’hui, le LAFRANCE contient:
TOUS les mariages catholiques du Québec de 1621 à 1919
TOUS les baptêmes catholiques du Québec de 1621 à 1861
TOUTES les sépultures catholiques du Québec de 1621 à 1861
TOUS les mariages protestants du Québec de 1760 à 1849
2 580 000 mariages civils du Québec de 1926 à aujourd’hui
1 450 000 mariages catholiques du Québec datant de 1919 à aujourd’hui.
68 000 actes de baptême et sépulture divers du Québec de 1862 à 2019
80 000 mariages civils du Québec datant de 1969 à aujourd’hui
140 000 mariages de l’Ontario datant de 1850 à aujourd’hui
38 000 mariages des États-Unis
3000 mariages Protestants du Québec de 1850 à 1941
Une mise à jour a été effectuée sur le Fichier Connolly, un des 15 outils disponibles aux abonnés de Généalogie Québec.
17 095 naissances, 4514 mariages et 7978 décès du Québec et des États-Unis ont été ajoutés à l’occasion de cette mise à jour.
Qu’est-ce que le Fichier Connolly?
Le Fichier Connolly, produit par la Société de généalogie des Cantons-de-l’Est, est un index de naissances, mariages et décès provenant principalement du Québec mais aussi de communautés francophones des États-Unis et du Canada. Le Fichier Connolly couvre une période s’étalant de 1621 à aujourd’hui. Au total, on dénombre 6 868 849 actes de naissance, mariage et décès dans l’outil.
Vous pouvez consulter le Fichier Connolly avec un abonnement à Généalogie Québec à cette adresse.
Vous pouvez retracer vos ancêtres avec le Fichier Connolly ainsi que des dizaines de millions d’autres documents en vous abonnant à Généalogie Québec dès aujourd’hui!
Détails de la mise à jour
Voici la liste des actes ajoutés via cette mise à jour.
Plus de 22 000 avis de décès ont été ajoutés à la Section Nécrologe, un des 15 outils disponibles aux abonnés de Généalogie Québec.
Ces avis de décès proviennent de divers journaux du Québec et datent du 20e et 21e siècle.
Vous pouvez les consulter avec un abonnement à Généalogie Québec à cette adresse.
Abonnez-vous à Généalogie Québec et retracez vos ancêtres dès aujourd’hui à l’aide de plus de 50 000 000 d’images et de documents généalogiques et historiques!
La section Nécrologe
Cette section regroupe la majorité des collections d’avis de décès, de cartes mortuaires et de pierres tombales disponibles sur Généalogie Québec. Elle est divisée en 4 sous-sections:
La section Nécrologe
Cette section regroupe la majorité des collections d’avis de décès, de cartes mortuaires et de pierres tombales disponibles sur Généalogie Québec. Elle est divisée en 4 sous-sections:
Avis de décès internet, qui contient 2 795 000 avis de décès publiés sur Internet entre 1999 et aujourd’hui.
Avis de décès journaux, qui contient maintenant plus de 1 332 000 avis de décès publiés dans des journaux entre 1860 et aujourd’hui.
Pierres tombales, qui contient 740 000 photos de pierres tombales provenant de centaines de cimetières du Québec et de l’Ontario.
Cartes mortuaires, qui contient près de 100 000 cartes mortuaires publiées entre 1860 et aujourd’hui.
Ces collections sont indexées et peuvent être explorées à l’aide d’un engin de recherche. Vous trouverez plus d’information à propos de cette section sur le blog de l’Institut Drouin.